This Week's News 5 August 2011


"La pénurie des médecins généralistes va s'accentuer"



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"La pénurie des médecins généralistes va s'accentuer"

RTBF, Belgium

04/08/2011
AdC et A. Ruyssen

Selon le cabinet de la ministre de la Santé, 232 communes belges n'ont plus assez de médecins généralistes. Arnaud Ruyssen évoque cette pénurie avec Bernard Vercruysse, président du conseil fédéral des cercles de médecins généralistes. "Une pénurie qui va s'accentuer dans le futur", prévient-il.


Bernard Vercruysse estime dans Matin Première qu'on peut parler de "pénurie" dans certaine régions. "Peut-être plus dans les régions rurales". Mais à cela s'ajoute le problème du futur. Parce que les généralistes actifs ont, en majorité, plus de cinquante ans, relève le président du conseil fédéral des cercles de médecins généralistes. Ces médecins relativement âgés vont donc arrêter de travailler. "Et la relève des moins de 30 ou 40 ans n'est pas là", constate-t-il.
Pas de menace pour les patients mais pour la santé des médecins

L'invité d'Arnaud Ruyssen se refuse de parler pour l'instant d'une quelconque menace pour l'accès aux soins dans les zones rurales. Il y voit plutôt une menace pour la santé de ces médecins: "On voit une série de généralistes débordés, ils continuent à voir tous les patients parce qu'ils ont l'habitude de travailler énormément". Mais l'accès pourrait être mis à mal dans un avenir proche, "parce que cette surchage de travail n'est pas possible". Certains médecins généralistes arrêtent même de travailler à cause de cette charge de travail trop forte, explique Bernard Vercruysse.


Tout le monde n'est pas de cet avis. Jacques de Toeuf, ex-président de l'ABSyM (association belge des syndicats médicaux) estimait de son côté qu'on était loin de la pénurie. Selon lui, un tiers des généralistes ne voient pas plus de cinq patients par jour. Bernard Vercruysse tient à relativiser ces propos. Il affirme ne viser que les médecins généralistes "actifs", pas ceux qui gardent un numéro INAMI mais qui ne consultent presque plus.
Dans le studio de Matin Première, l'invité d'Arnaud Ruyssen estime qu'il manque de "vrais" médecins généralistes. Selon lui, beaucoup de médecins ayant le titre de "généralistes" ne pratiquent pas de médecine générale, mais sont spécialisés dans un domaine ou un autre. "Mais ils ont suffisamment d'activité, ils sont repris dans les chiffres", précise le président du conseil fédéral des cercles de médecins généralistes. C'est donc parfois un peu difficile de savoir quels sont les généralistes actifs, surtout dans les grandes villes où le recensement est moins évident.
Il faut une place mieux définie

Le constat est clair, la carrière de médecin généraliste ne fait plus vraiment rêver. "La profession a fortement évolué en trente ans", explique Bernard Vercruysse en précisant que le type de travail lui semble "plus lourd" aujourd'hui. "La médecine spécialisée devenant de plus en plus pointue, il y a de moins en moins de médecins qui peuvent prendre en charge la totalité des personnes", relève-t-il.


Bernard Vercruysse revendique une place "mieux définie" pour le généraliste. "Parce que dans le système de soins de santé tel qu'il existe, le patient consulte où il veut, qui il veut, quand il veut", explique-t-il. Mais selon lui, il vaudrait mieux voir le patient d'abord, "pour mieux l'orienter" chez le spécialiste quand c'est nécessaire.
Spécialiste, un choix d'excellence ?

Pour l'invité de Matin Première, "il faut donner des nouvelles lettres de noblesse à la médecine générale". Des pistes ? Il évoque notamment un meilleur salaire en dressant des comparaisons avec d'autres pays. Bernard Vercruysse explique qu'en Belgique, le différentiel entre le revenu des spécialistes et de généralistes est le plus grand.


Mais pour lui, la base du problème n'est pas là. Il en appelle à une revalorisation "au niveau du monde scientifique": dans les facultés de médecine, l'option généraliste doit être vue comme un "choix d'excellence" et "pas un choix de 'si je ne suis pas pris dans une spécialité, je ferai généraliste'", explique-t-il. Selon lui, un discours est encore trop présent. Celui qui dit que "tu es trop bon que pour faire médecin généraliste". Bernard Vercruysse regrette que médecin généraliste soit, quelque part, considéré comme "moins scientifique".
Les primes, "ça aide, mais ça ne suffit pas"

Les primes offertes aux nouveaux médecins établis en zones rurales "aident certainement" ces médecins, assure le président du conseil fédéral des cercles de médecins généralistes. "Mais ce n'est pas déterminant dans une carrière", prévient-il.


Il n'y a plus de numerus clausus pour l'instant. Ce qui fait plus de médecins en bout de course, donc. Ce n'est pas la solution selon Bernard Vercruysse. On aurait beau avoir trois plus de médecins, on n'aurait sans doute pas trois fois plus de généralistes, déplore-t-il. Une profession qui ne fait, apparemment, plus vraiment rêver.

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NHS needs a cure, not just more cuts (Editorial)

Belfast Telegraph

02/08/2011
Health Minister Edwin Poots is a man with an uneviable task, trying to satisfy increasing demands for services with diminishing resources and he is to be commended for acting speedily in tackling the problem of rationalising accident and emergency (A&E) services.
It was a courageous decision to flag up the closure of the emergency unit at Belfast City Hospital and cut back opening hours at the unit at Lagan Valley Hospital in Lisburn. Politicians don't win votes by threatening provision of facilities to voters, however rational the decision may be.
But the minister must go further. There are a whole raft of problems in the health service locally. There is a shortage of junior doctors and an uneven spread of specialisms throughout the hospital sector. There is also a question mark over the number of hospitals and the length of waiting lists. Should the number of hospitals be reduced, never mind just the number of A&E units and would that provide a higher level of medical care through the concentration of resources on fewer sites?
Mr Poots has initiated a consultation on A&E services, but he should move to have a strategic examination of the entire service. Perhaps the formation of a commission at Stormont to hear evidence from both medical and lay people would be a good starting point. The medical viewpoint on how to provide optimum services can differ widely from public expectation and doctors, managers and politicians need to listen to all sides of the argument before formulating a way ahead.
The public concern is that the current serious financial problems will lead to the health service being salami sliced simply in an attempt to meet the budget without a proper cohesive and coherent strategy in place. Services will be sacrificed as and when required, leading to an overall diminution of care and treatment. The NHS is too important - it literally is about life and death - to be treated on an ad hoc basis. Creating a workable over-arching plan for the future should be an Executive priority.

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Latin America & Caribbean

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Con urgencia se necesitan hospitales nuevos”: Tuky

La Prensa, Honduras

03/08/2011
San Pedro Sula, Honduras
La salud pública es uno de los asuntos que más interesa a los hondureños, ya que la mayoría de la población no tiene acceso a atención privada y depende de los servicios que se ofrecen en los centros del Estado.
Arturo Bendaña, ministro de Salud, visitó diario LA PRENSA para hablar de los puntos de actualidad sobre la realidad de la salud en el país, analizar problemas y carencias y dar a conocer la visión del futuro en esta Secretaría.
Hospitales deteriorados

“La red sanitaria del país ha sido evaluada por mí a partir de las constantes visitas que hacemos a los 28 hospitales regionales y cinco nacionales. Los hemos recorrido en varias ocasiones e identificamos sus necesidades reales.


Algunos soportan reparaciones que puedan mejorar su infraestructura y obviamente la oferta para los pacientes, pero otros hospitales están totalmente deteriorados y sólo pueden superarse estos problemas haciendo hospitales nuevos”, expresó.
Buscando alternativas

El ministro reveló que trabajan en importantes proyectos para cambiar esta situación que perjudica a tantos hondureños.


“Para los hospitales estamos consiguiendo financiamiento, pero también estamos explorando la nueva figura de la alianza público-privada y ya hemos tenido pláticas con inversionistas mexicanos, europeos y nacionales para hacer hospitales en todos esos sectores. Estamos con el pie en el acelerador porque la gente ya no puede seguir esperando que se hagan esos hospitales”.
Bendaña informó que a finales de este año se espera un importante cargamento de equipo que ayudará a mejorar la situación logística de los hospitales.
“Para diciembre esperamos algo histórico en el país en el ramo de salud: 25 millones de dólares en equipo para los hospitales Catarino Rivas, Leonardo Martínez, Escuela y San Felipe y el Instituto Nacional del Tórax.
Este equipo es sobre todo para las áreas de imágenes, resonancias magnéticas, tomografías computarizadas, mamógrafos, ultrasonido, rayos X convencionales y equipo de endoscopia, que sólo en algunos hospitales privados se está haciendo, pero ahora lo haremos también en los hospitales del Estado gracias al apoyo del Gobierno de Dinamarca, que nos ha conseguido un préstamo con condiciones sumamente favorables”, manifestó.
Medicamentos

El ministro de Salud se refirió a las dificultades de abastecimiento de muchos hospitales del país.


“Encontramos cero abastecimiento en los hospitales y esto ha sido nuestra preocupación porque tengo 27 años de trabajar en los hospitales del Estado y ahora quiero cambiar esa historia tradicional de que no se encuentren medicamentos”.
Prosiguió: “Mediante compras por licitación hemos tenido un abastecimiento del 80% en los hospitales. Obviamente habrá medicamentos que estén fuera del cuadro básico y que no tengamos, pero tratamos de que los medicamentos, especialmente para las enfermedades crónicas, estén disponibles, porque conocemos que la interrupción del tratamiento en estas enfermedades puede condicionar la muerte de nuestros pacientes.
Los recursos son limitados. Estamos trabajando bajo un techo presupuestario similar al de los años anteriores, mientras que la demanda sigue aumentando. Tenemos que optimizar al máximo los recursos, pues, por ejemplo, el presupuesto actual es exactamente el anterior.
Por lo menos en esta administración hemos logrado que exista lo elemental”.
Bendaña descartó que por negligencia no se distribuyen bien los medicamentos.
“No creo que haya negligencia, pero falta programación adecuada, en la que las existencias puedan visualizarse cuando vayan disminuyendo para que haya una alarma que permita pedir ese medicamento antes de que caiga en cero la existencia. Hay hospitales donde todavía los controles de existencia se llevan en cárdex, o sea manualmente”.
Fortalezas y debilidades

Bendaña comparó las fortalezas y las debilidades en los hospitales del país.


“Las fortalezas es que dos centros como el Escuela y el Catarino Rivas, aún con sus deficiencias, cuentan con mejor equipo que cualquier hospital privado y el médico que le cobra mucho afuera es el mismo que gratuitamente le da la atención en el público.

Se necesita optimizar los espacios en estos hospitales y una forma de hacerlo es que los centros de salud trabajen mejor y los hospitales regionales también, porque a los hospitales de referencia sólo deben llegar los casos que realmente ya no puedan ser atendidos en la red sanitaria primaria.


En cierta medida se ha logrado mejorar la red sanitaria primaria”, señaló.
Prevención

Arturo Bendaña consideró que es vital dar prioridad a la prevención de enfermedades, no sólo a la curación.


“La mayor parte de las enfermedades de los niños son inmunoprevenibles y con la aplicación de vacunas se han logrado resultados positivos.
Desde 1998 tenemos el dengue en el país. Históricamente había 18 ó 20 muertes. En 2010 fueron 83 muertes, pero porque encontramos un programa de prevención cerrado. Este año hemos logrado que no haya ni una sola muerte por dengue.
Ha sido importante que la gente ahora sea más responsable en prevenir. Las municipalidades también han tenido un papel importante. En los casos de dengue clásico se ha logrado una reducción del 82% y en hemorrágico han disminuido 98% y no hemos tenido muertes”.
Habló de los demás programas de prevención que se están ejecutado en el territorio nacional.
“También trabajamos contra otras dolencias como tuberculosis y enfermedad de Chagas y estamos tratando de impulsar todos los programas preventivos en el país, que son 23 en total.
El Ministerio de Salud fue evaluado como el mejor por la Secretaría Técnica de Planificación y Cooperación Externa, la Secretaría de la Presidencia y la Secretaría de Finanzas.
Hay un concepto erróneo en salud: algunos creen que tomar en cuenta el número de atenciones es la mejor manera de medir el buen trabajo, o sea que mientras más pacientes reciban atención en los hospitales, mejor servicio se está dando; pero no es así porque si más pacientes llegan a los hospitales, significa que hay más enfermos y que los programas preventivos no trabajan.
Por ejemplo decir que en el Catarino Rivas se vio a 600,000 pacientes en 2009 y en 2010 se atendió a 800,000 no sería bueno porque quiere decir que hay más enfermedades”.
Las vacunas

El funcionario aseguró que Honduras se ha convertido en un pionero en vacunación y que los resultados positivos de esto se están observando.


“La gente se está enfermando menos y los trabajos de prevención están funcionando bien. La introducción de la vacuna del neumococo y del rotavirus ha sido muy importante para reducir las enfermedades en niños.
En un hospital privado, la vacuna del neumococo cuesta aproximadamente 3,800 lempiras, mientras que en los hospitales públicos se da gratuitamente.
Gracias a la vacuna del rotavirus se han reducido las diarreas en un 28%. Todavía no se ha hecho la evaluación de impacto de la vacuna del neumococo, pero estamos seguros de que habrá resultados muy positivos”, refirió Bendaña.
Informó que en una importante reunión en Inglaterra se garantizó la continuidad de las campañas de vacunación por un importante período de tiempo en el país.
“En la reciente visita que hicimos a Londres, donde estuvimos con el filántropo Bill Gates, se consiguieron L 1,500 millones en vacunas para los niños y niñas de Honduras, con lo que se garantiza el suministro en los próximos cinco años.
En los próximos meses vendrá a Honduras la vacuna del virus del papiloma humano. Es un gran logro porque evitaremos el cáncer en muchas mujeres, particularmente el de cérvix. Tenemos lotes para Cortés y Santa Bárbara, entre otros.
También tendremos próximamente la vacuna contra el paludismo. Esperamos tenerla disponible en noviembre. En un país tropical como el nuestro es muy importante tenerla”, manifestó.
Hospital de Puerto Cortés

“El hospital de Puerto Cortés, primer puerto de Centroamérica y uno de los que más aportan a la economía nacional, está deteriorado completamente. El error es que se construyó a cuadra y media del mar. Seguramente cuando se construyó quedaba lejos, pero como el mar va robando tierra firme ahora está más cerca.


El salitre del agua salada deteriora el equipo y la infraestructura. Ese hospital no puede seguir brindando servicio de salud. Se necesita un nuevo hospital, obviamente en otro lugar, alejado del mar y comunicado para que los pacientes que lo visiten tengan acceso a él”.
Hospitales regionales

El ministro de Salud hizo una radiografía de los hospitales regionales con más problemas en el país.


“El hospital de Roatán tiene 30 camas y atiende a toda esa región insular. Eso no es posible. Además da atención a turistas que en gran cantidad nos visitan. En este lugar también es necesario hacer un nuevo hospital.
El hospital de Santa Bárbara tiene 54 años de existencia y en todo ese tiempo únicamente se le han hecho obras pequeñas de maquillaje, si se puede decir así; remiendos. Ahorita estamos entrando con ganas en las obras de infraestructura para mejorar el hospital cambiando el techo, mejorando la sala de operaciones, la cocina, el laboratorio y haciendo un albergue para los familiares de los pacientes.
El hospital de Santa Rosa de Copán, el de occidente, tiene muchos años de existencia y ha dado muchos años de servicio, pero ya es necesario renovarlo porque la población ha crecido. No es posible que haya un hospital con la misma infraestructura, con la misma oferta de atención, cuando la demanda de atención es mucho mayor”.
Hospital para Choluteca

“En octubre comenzamos el hospital de Choluteca, que tendrá 50 camas y equipo de punta. Se hará con financiamiento del Gobierno coreano y unido a ese centro vienen cuatro hospitales móviles, algo que por primera vez va a tener nuestro país. Éstos podrán ser desplazados a las áreas rurales y es importante decir que estos hospitales móviles incluso tendrán capacidad para hacer cirugías en su interior.


Con esto, la mora quirúrgica en los hospitales regionales va a reducirse. Los móviles fueron adquiridos mediante un préstamo del Gobierno de Corea”, señaló el ministro.
Plazas nuevas

“Próximamente serán anunciadas las plazas nuevas sometidas a concurso para fortalecer áreas donde se define la vida o la muerte de muchas personas. A medida que podamos, trataremos de abrir más espacios en cuidados intensivos.


Escasean los especialistas en áreas como urología, pero no hay mucho recurso humano en el país; también en cirugía plástica y en cardiología. Claro que falta presupuesto para contratar a todo el personal que quisiéramos para satisfacer la demanda.
Acabamos de terminar un concurso para fortalecer todos los hospitales del país con cien plazas de médicos y este mes abriremos otro concurso con 120 plazas para médicos especialistas”.

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Médicos atienden emergencias entre armas, golpes y amenazas

El Nacional, Venezuela



28/07/2011
Para los especialistas de la salud, la violencia es mayor en las salas de emergencia ya que si los hospitales públicos no cuentan con recursos ni profesionales suficientes para tratar a los pacientes, los usuarios se desesperan, agreden y amenazan a los médicos.
La creciente violencia que sufre Venezuela se ha trasladado a los hospitales públicos, donde los médicos son atacados por familiares de pacientes que se alteran por la espera o la falta de insumos, y por criminales que los roban o amenazan con armas para que traten a un herido.
"Ningún médico está seguro en un hospital público. La inseguridad empieza por la falta de vigilantes, sigue por los familiares que quieren que el paciente sea atendido de inmediato y se complica con criminales que ingresan armados y asaltan a los médicos", dijo a la AFP Manuel Alcántara, médico del hospital Periférico de Catia.
Según los médicos, la violencia es mayor en las salas de emergencia ya que si los hospitales públicos no cuentan con recursos ni profesionales suficientes para tratar a los pacientes, los usuarios se desesperan, agreden y amenazan a los médicos.
A esto se le suma la situación general de violencia del país, donde según cifras oficiales 14.000 personas fueron asesinadas en 2010, que se traslada al sistema público de salud cuando delincuentes amenazan de muerte a los médicos si no salvan a un herido o aprovechan la falta de seguridad para robar.
"A un superior mío lo vinieron a buscar al hospital unas personas en moto y armadas, porque había atendido a un paciente en la madrugada con heridas de bala en el cráneo y otras partes.
Él lo remitió a otro centro, porque no tenemos instalaciones adecuadas para atenderlo, y pensaron que no había querido tratarlo", relató Alcántara.
La mayoría de la población venezolana debe acudir a los hospitales públicos ya que no posee un seguro de salud y las clínicas privadas resultan demasiado caras.
Los médicos reprochan al gobierno del presidente Hugo Chávez que no haya invertido recursos suficientes para mejorar el sistema público y haya creado un modelo paralelo, gracias a centenares de médicos cubanos que trabajan en las zonas más pobres de Venezuela.
En junio, una doctora fue encontrada degollada en una habitación del hospital Victorino Santaella, ubicado en Los Teques (25 km al sur de Caracas).
Las circunstancias de su muerte no han sido aclaradas, pero su fallecimiento puso en alerta al gobierno, que inició un plan piloto de seguridad en ese centro que prevé extender a los principales hospitales públicos.
"No sólo es el lamentable caso de esta doctora, también otros médicos han muerto en otras partes del país.
Hay una gran inseguridad en los hospitales públicos y parece que existiera una orden de actuar contra los médicos para que no puedan ejercer", declaró el presidente de la Federación Médica de Venezuela, Douglas León Natera.
León Natera lidera las protestas de los médicos para exigir mejoras en sus condiciones de trabajo en el sistema público de salud: piden recursos para atender a los pacientes, mejoras de infraestructura, un mejor salario, además de mayor seguridad.
Ante la situación de violencia y la falta de oportunidades, muchos médicos optan por seguir estudios fuera de Venezuela, lo que agrava la falta de profesionales en el sistema público.
"En las noches, asaltan a los médicos en las escaleras. Una vez, apuñalaron a un doctor a las dos de la madrugada. Obviamente, esa persona ya no trabaja en el hospital.
Todo, por diez bolívares (2,3 dólares) que le pedía el ladrón y que él, en el momento, no tenía", dijo por su parte Jorgelin Miranda, pediatra del hospital público Domingo Luciani, cercano a una gran y peligrosa barriada de Caracas.
Miranda ha sido golpeada por madres desesperadas que quieren que sus hijos sean atendidos primero, y asaltada cinco veces al salir del trabajo. Dice que la inseguridad ha disminuido desde hace unos meses, con la custodia que lleva a cabo la militarizada Guardia Nacional, pero también lamenta que los efectivos sólo estén de día y no en la noche, cuando ocurren más crímenes.
"El año pasado hubo hasta un tiroteo en el hospital y el delincuente murió en un consultorio", comentó a la AFP Leymilena Jaime, pediatra del Hospital de Niños, quien lamentó que el personal de seguridad esté desarmado y poco preparado para enfrentarse a estos hechos violentos.

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Anestesiólogos insisten en contar con una ley que regule la profesión

ABC Color, Paraguay

30/07/2011
Teniendo en cuenta la aprobación en la Cámara de Diputados del proyecto de ley que reglamenta el ejercicio de la anestesia, la Sociedad Paraguaya de Anestesiología emitió un comunicado ratificando la necesidad de contar con un instrumento jurídico que regule la práctica de este acto. Asegura que se pretende optimizar y agilizar el trabajo dentro de los quirófanos.
“El acto de la anestesia, de acuerdo con parámetros científicos actuales, es un acto eminentemente médico. El mismo debe practicarse bajo supervisión directa de un profesional con el título de doctor en Medicina, y además especializado en anestesiología”, expresa la nota de los profesionales.
Añade que ni la urgencia, ni el desconocimiento deben privar al paciente de su derecho de ser atendido por un anestesiólogo profesional, pues su labor en el acto médico es casi tan consecuente como la consecuente cirugía.
Debe primar necesidad del paciente

“La salud y el bienestar de los pacientes deben primar sobre toda intención de querer paliar la falta de médicos anestesiólogos, a fin de aumentar la productividad, con personal que no se encuentra capacitado para atender un acto tan complejo como es la anestesia”, remarcan los galenos.


De igual modo, afirman que los técnicos y licenciados solo pueden dar un grado de asistencia al médico especializado.
Para agilizar el trabajo

Los profesionales reconocen además los trastornos administrativos que pueden devenir en la promulgación de la ley, que fue aprobada en la Cámara de Diputados de nuestro país, y afirman que la misma legislación no tiene intenciones políticas o de ningún otro tipo de intención, salvo garantizar una atención de calidad y seguridad a los pacientes.


“Esta ley no está destinada a dejar sin trabajo a nadie, los técnicos anestesistas continuarán trabajando como apoyo en la función del médico, para optimizar y agilizar el trabajo dentro de los quirófanos”, señala el comunicado de la Sociedad Paraguaya de Anestesiología.
Esperan apoyo del Ministerio de Salud

Añadió: “Y al Ministerio de Salud hemos ofrecido nuestro apoyo y nos hemos sentado a trabajar a fin de encontrar soluciones a esta problemática, de tal manera a dotar las cabeceras departamentales de centros quirúrgicos en condiciones, edilicias, de equipamiento y con personal de blanco capacitado para atender adecuadamente a los usuarios”, remarca el escrito que fue difundido ayer.


Finalmente, los anestesiólogos señalan en el documento que esperan que el Ministerio de Salud Pública realice una recomendación favorable a la ley, y que el veto representaría la existencia de un Paraguay con ciudadanos de primera y segunda categoría.

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