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1.3. Lieu(x) d’implantation :

- Positionnement dans l’organigramme Ifremer : le département EMH est rattaché au Centre de Nantes et constitue un des Départements de la Direction des Infrastructures et des Opérations.

- Groupes homologues ou proches (du point de vue de l’activité) en France et à l’étranger (Citer les groupes).

(Présentations très synthétiques, voire schématiques).

En dehors de l’Ifremer, en France, la recherche en modélisation et écologie pour l’halieutique est conduite dans différentes structures :



  • L’IRD, dans le cadre de différentes unités de recherche (UR) :

    • l’UR ECO-UP, équipe principalement implantée à Sète (Centre de Recherche Halieutique méditerranéenne et tropicale, CRH) dont les travaux portent sur la structuration et le fonctionnement des écosystèmes d’upwellings exploités ;

    • l’UR THETIS, implantée au CHR/Sète et à La Réunion, composée d’une dizaine de chercheurs et ingénieurs, spécialisée dans les recherches sur la dynamique des populations de thonidés tropicaux et l’incidence du comportement sur la structure et la capturabilité des populations ;

    • l’UR RAP (Réponses Adaptatives des populations et des peuplements de Poissons aux pressions de l'environnement), localisée à Sète, Brest et Dakar, composée d’une dizaine de chercheurs et ingénieurs et dont les travaux portent principalement sur les mécanismes d'action et les conséquences des pressions naturelles et anthropiques exercées sur les systèmes perturbés et/ou surexploités, avec des applications aux systèmes aquatiques continentaux, mais aussi estuariens.

  • Agrocampus Rennes, et plus particulièrement son laboratoire d’écologie halieutique composé d’une dizaine de chercheurs et ingénieurs et qui développe en propre ou en partenariat avec les organismes de recherche nationaux (INRA, IRD, Ifremer, Universités), des travaux sur le fonctionnement des habitats essentiels (nourriceries en particulier), les aires marines protégées comme outil de gestion des écosystèmes, l’impact du changement global sur la stratégie démographique des populations de saumon atlantique, le développement de modèles trophodynamiques, le fonctionnement des écosystèmes estuariens ;

  • Le CEMAGREF de Bordeaux, dont l’UR DYMECO mène des recherches sur les communautés de poissons des écosystèmes lacustres et estuariens et sur les populations de poissons amphihalins : facteurs structurant des écosystèmes estuariens et des populations, liens entre structure et fonctionnement de ces systèmes, mécanismes d'utilisation des espaces aquatiques par les poissons migrateurs, allocation d'énergie entre croissance, reproduction et migration, transfert de biomasse dans et entre les réseaux trophiques, etc.

  • L’INRA sur l’écologie comportementale et la biologie des populations de poissons amphihalins (Saint Pée sur Nivelle, partenariat avec l’Université de Pau et des Pays de l’Adour), l’impact des perturbations environnementales sur les stratégies d’histoire de vie et l’évolution des populations et des communautés, leurs conséquences sur la dynamique des réseaux trophiques, le rôle des habitats et de leur niveau de connectivité dans les processus écologiques (Rennes, en partenariat notamment avec Agrocampus)

  • Quelques Universités : l’UPPA (partenariat avec INRA Saint Pée), le laboratoire d’océanologie et de géosciences de l’université du Littoral/Côte d’Opale (habitats essentiels, étude de la croissance, …), laboratoire de biologie et biotechnologies marines de l’Université de Caen (biologie, dynamique des populations et écologie des céphalopodes).

A l’étranger, la structuration de la recherche en halieutique est très différente selon les pays. Ainsi, en Europe, les schémas sont très divers, entre l’Italie, avec un éclatement géographique et inter organismes, et le Royaume Uni qui concentre sa recherche halieutique essentiellement sur deux Centres (Lowestoft et Aberdeen). Dans ce panorama, il n’est pas aisé d’identifier des « structures » proches de EMH, mais dans des organismes comme l’IMARES (Institute for Marine Resources and Ecosystem Studies, Pays Bas), le DTU Aqua, (National Institute of Aquatic Resources, Pays Bas), l’Institut of Marine Research de Bergen (Norvège), le DIFRES (Danish Institute for Fisheries Research), le Cefas (Centre for Environment, Fisheries and Aquaculture Science (Royaume Uni), Pêches et Océans (Canada), l’Institute of Marine Biological Resources (Hellenic Centre for Marine Research, Grèce), ou la NOAA (USA), on retrouve des thèmes identiques à ceux abordés par le département.



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