Universite jean Monnet – Saint Etienne (établissement porteur) dossier de demande d’habilitation


– CONTEXTE 4. 1. Positionnement dans l’offre de formation des établissements



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4– CONTEXTE
4. 1. Positionnement dans l’offre de formation des établissements
Le MASTER "Optique, Image, Vision" a été créé à la rentrée 2003 en restructurant l’offre de formation antérieure du secteur disciplinaire concerné (physique, physique appliquée et génie informatique) à l’Université Jean Monnet et à l’Ecole des Mines de Saint-Etienne sous une mention unique proposant initialement un parcours de M1 et quatre spécialités de M2. Il remplaçait 2 Maîtrises, 3 DEA et 2 DESS.
Il est positionné comme une poursuite d’études possible après certaines Licences locales : la Licence de Physique (25 étudiants*), la Licence de Physique-Chimie (30 étudiants*) et, moins directement, la Licence d’Informatique (32 étudiants*).
* effectif annuel moyen en L3 sur la période 2005-2009
Il constitue l’offre alternative locale pour ces étudiants entre le Master mention « Ingénierie des Matériaux et Procédés » dont les spécialités sont orientées vers les matériaux polymères, la mécanique et le génie des procédés et le Master mention « Informatique » dont l’unique spécialité « Web intelligence » est principalement orientée vers les techniques de fouille de données et l’apprentissage automatique, avec lesquels il échange des enseignants et des modules optionnels.
Ce master a aussi des liens historiques avec le Master de « Biologie, Biophotonique », qui fonctionne en partenariat entre la Faculté des Sciences et Techniques, la Faculté de Médecine et le Centre Ingénierie et Santé commun entre l’Université et l’Ecole des Mines, pour les aspects liés à l’imagerie médicale.
Il ouvre des perspectives de poursuite en thèse dans le cadre de l’Ecole Doctorale N°488 Sciences, Ingénierie et Santé, commune à l’UJM et à l’Ecole des Mines de Saint-Etienne.
Ce master s'inscrit résolument, et depuis son origine, dans le cadre de la construction de l'Espace Européen de l'Enseignement Supérieur et relève d’une politique d’établissements cohérente entre :

- la Faculté des Sciences et Techniques qui pilote la formation sur l’ensemble des deux années,

- l’école d’ingénieurs interne Télécom Saint-Etienne (ex-ISTASE) avec laquelle les parcours de formation de niveau M2 des élèves ingénieurs orientés vers la recherche en optique et en traitement des images sont mutualisés,

- l’Ecole des Mines de Saint-Etienne avec laquelle les parcours de formation de niveau M2 orientés vers la recherche en analyse des images et des formes sont mutualisés,



- et l’antenne stéphanoise de l’Institut d’Optique Graduate School (sous convention d’hébergement avec l’Université) pour les élèves de laquelle la formation de M2 en traitement d’image constitue une double compétence appréciée.
Pour la prochaine période quadriennale, nous proposons des évolutions du master à la fois sur le plan de la structure partenariale et sur le plan pédagogique.
Concernant les partenaires co-habilités, les deux évolutions importantes concernent l’IOGS et la demande nouvelle de co-habilitation avec Mines ParisTech (ex-Ecole des Mines de Paris).
Le projet de l’IOGS d’être désormais présent à Saint-Etienne sur deux ans (2ème et 3ème année du cycle d’ingénieur), au lieu d’une seule option de 3ème année actuellement, permet à cet établissement de participer à la présente demande d’habilitation au titre du M1 aussi bien que du M2. Il propose de plus de s’associer à l’UJM de façon plus étroite par une formule qui reste originale : au lieu de proposer, comme le font la plupart des écoles d’ingénieurs, y compris jusqu’à présent l’IOGS, de compléter la scolarité des élèves-ingénieurs de dernière année désireux d’être titulaires d’un diplôme national de master par un certain nombre d’enseignements complémentaires nécessaires pour obtenir le master, il proposera désormais à tous ses élèves-ingénieurs stéphanois de suivre un parcours complet (60 ECTS en M1 et 60 ECTS en M2) dans le présent master et exigera d’eux un certain nombre de compléments pour l’obtention de son diplôme d’ingénieur. Cela permet une mutualisation totale de l’offre des cours relevant du master.
Le partenariat avec Mines ParisTech est une ouverture à un partenaire nouveau avec lequel la co-habilitation sera plus « classique » et affirmera l’approche traitement morphologique (historiquement suivie depuis la création de la formation image au niveau « Master » à l’université de Saint-Etienne), cela en cohérence avec la nouvelle orientation proposée en M2 dans le domaine de la traçabilité sécurisée.
D’un point de vue pédagogique, afin de tirer les leçons de l’expérience de la période 2003-2009, tant en matière d’effectifs, que de poursuites en thèse et d’insertion professionnelle, nous proposons pour le prochain contrat quadriennal des évolutions une restructuration de ce MASTER en fusionnant toutes les spécialités actuelles en une unique spécialité à finalité duale Professionnelle & Recherche déclinée en 5 parcours connexes et fortement mutualisés. Cette évolution doit permettre d’améliorer la lisibilité de l’offre au regard des débouchés professionnels, de mieux affirmer ce qui fait la spécificité de la recherche locale à savoir l’interface entre l’optique et le traitement des images et de consolider les effectifs.


4. 2. Positionnement dans l’environnement régional et national
De par son ouverture large aux élèves de troisième année d'Ecole d'Ingénieurs désireux d’acquérir des compétences approfondies ou de poursuivre des études doctorales, ce master fédère les offres de formation de différents établissements dans le domaine (UJM, Ecole des Mines de Saint-Etienne, Institut d’Optique Graduate School, CPE Lyon, ENISE, Mines ParisTech).
Au niveau régional, et national, il adopte une configuration originale de mention/spécialité qui s’appuie sur la spécificité et la transversalité de la recherche locale à l’interface entre l’optique et le traitement des images alors que la plupart des formations en optique sont hébergées dans des mentions de Physique fondamentale ou de Physique appliquée (une spécialité « Optique, physique atomique et moléculaire » est proposée à Lyon 1) et que les formations en image sont hébergées des mentions d’Informatique (exemple de Lyon 1) ou STIC voire parfois Mathématiques ou Physique ou encore intégrées dans des mentions pluridisciplinaires thématiques (par exemple à Grenoble 1 : « Ingénierie de l’Image et de la CAO », « Ultrasons, images, signal », « Ingénierie, Traçabilité et Développement Durable »).
Au niveau national et international, ce master, via son parcours ERASMUS MUNDUS, ambitionne d’être le master européen de référence en traitement de la couleur. Il est en concurrence directe avec la seule formation analogue dans le domaine, le master américain de l’Université de Rochester soutenu par The Kodak Company.
Au niveau national, l’UJM et l’IOGS sont membres du consortium UNIT et les responsables de ce master participent au projet « Optique pour l’Ingénieur » piloté par l’Université du Maine pour la production de cours en ligne s’appuyant sur ceux proposés dans le master.
Enfin ce master s’appuie sur une dynamique de développement territorial de part ses liens avec le Pôle Optique Rhône-Alpes et son adossement au pôle de compétitivité MINALOGIC, avec le Centre Ingénierie et Santé à Saint-Etienne, et plus récemment avec le Pôle Traçabilité implanté à Valence (cf § 3.3 et § 3.4) et le Pôle Design à Saint-Etienne (via l’intégration d’un module optionnel « Color in Art and Design »).


4. 3. Adossement à la recherche
Liste des laboratoires d’appui 

- Laboratoire Hubert Curien, UMR CNRS 5516, Saint-Etienne :

- Département « Optique et Photonique »

- Département « Informatique et Image »

- Laboratoire DIOM, EA 3523, Saint-Etienne

- Laboratoire LASPI, EA 3059, Roanne

- Centre de Recherche et de Restauration des Musées de France (C2RMF), UMR CNRS 171 – Musée du Louvre, Paris

- Laboratoire Charles Fabry, UMR CNRS 8501, Palaiseau

- Centre des Matériaux, Centre de Morphologie Mathématique, UMR CNRS 7633, Mines ParisTech

- Laboratoires de l’Ecole des Mines de Saint-Etienne : PECM UMR CNRS 5146 et LPMG UMR CNRS 5148


Le MASTER bénéficie d’un contexte local particulièrement favorable à un adossement fort aux axes structurants de la recherche puisqu’il est totalement intégré :

- dans les axes de recherche des laboratoires d’appui et principalement du Laboratoire Hubert Curien UMR 5516; en effet le potentiel de recherche local en DSPT 9 est principalement organisé autour de l’optique, l’image, la vision, l’instrumentation et l’informatique avec diverses déclinaisons applicatives ;

- dans la dynamique Pôle Optique Rhône-Alpes, de son adossement au pôle de compétitivité MINALOGIC et la mise en œuvre du programme ATMOSS (Atelier des Technologies de Micro-structuration pour les applications Optiques sur Surfaces et Substrats non conventionnels) soutenu dans le cadre d’un CIADT (Comité Interministériel d’Aménagement Du Territoire) qui a permis l’implantation récente sur le site stéphanois d’une antenne du CEA LITEN dans le cadre d’un laboratoire commun avec le Laboratoire Hubert Curien ;

- dans la dynamique récente du Pôle Traçabilité dont l’Université Jean Monnet est partenaire.


Il s’adosse également à l’Institut Fédératif de Recherche Sciences Ingénierie et Santé IFRESIS (IFR INSERM 143) piloté par l’UJM, l’ENSMSE et le CHU de Saint-Etienne. D’un point opérationnel, l’adossement du Master à la recherche, et ses relations avec les laboratoires, se décline ainsi selon 5 aspects principaux :
1) constitution de l’équipe de formation : le responsable de la mention et les responsables de parcours sont des enseignants-chercheurs des laboratoires d’appui ;
2) constitution de l’équipe pédagogique : tous les enseignants-chercheurs intervenant dans le master sont intégrés dans des équipes de recherche reconnues (UMR ou EA) et majoritairement de l’Université Jean Monnet ou de l’un des établissements partenaires ;
3) stages de recherche : tous les étudiants ont la possibilité d’effectuer deux stages en laboratoire l’un en M1 (3 mois minimum et 10 crédits), l’autre en M2 (5 mois minimum et 25 crédits) ; ces stages peuvent s’effectuer dans l’un des laboratoires d’accueil du master, dans un organisme de recherche en France ou à l’étranger (notamment dans nos universités partenaires) ou bien dans le département Recherche ou R&D d’une entreprise, dans tous les cas une convention est établie et le sujet de stage validé par le responsable du parcours ;
4) comité de pilotage et de perfectionnement : les directeurs des laboratoires d’appui du Master sont membres du comité de pilotage et de perfectionnement du master (cf § 5.3 Pilotage de la formation). L’une des missions de cette structure est de veiller à l’harmonisation des programmes pédagogiques du master avec les avancées les plus récentes de la recherche et la politique des laboratoires ;
5) un certain nombre de séminaires de recherche organisés par les laboratoires ou l’Ecole Doctorale « Sciences, Ingénierie et Santé » sont ouverts aux étudiants du Master.
Associé à une très longue tradition de collaboration industrielle des laboratoires, cet adossement recherche permet de proposer une formation de haut niveau scientifique avec de multiples contacts industriels favorables au développement et au transfert de technologie.

4. 4. Adossement aux milieux socio-professionnels
Quatre points essentiels :
1) La région Rhône-Alpes concentre environ 25% de l'activité du secteur de l'optique-photonique en France, représentant un chiffre d'affaires de 2 milliards d'euros et plus de 8000 salariés, dont 1000 dans l'agglomération stéphanoise. L’ensemble de forces vives scientifiques et industrielles rassemblées en font ainsi la seconde région française dans le domaine de l'optique-photonique1.
La mise en place récente des pôles de compétitivité de la région a initié des interactions fortes entre les différents acteurs propres à stimuler les interdisciplinarités. Ceci est particulièrement propice aux secteurs de l'optique-photonique qui constituent une interface d'expérimentation riche et fertile du fait du caractère très diffusant de ces disciplines techniques.
Dans ce contexte, l’adossement du Master au Pôle Optique Rhône-Alpes est un élément déterminant. En effet, le Pôle Optique Rhône-Alpes se situe au carrefour des échanges entre l'enseignement supérieur, la recherche fondamentale, la recherche technologique et la production industrielle.
En maintenant plus de 10 ans d’existence et de structuration, le Pôle Optique et Vision à Saint-Etienne, devenu Pôle Optique Rhône-Alpes, a permis de conforter cette synergie recherche/entreprise et réunit dans un unique consortium de compétences l’ensemble des acteurs régionaux de la recherche, de l’enseignement et du transfert technologique du domaine de l’optique, de la photonique et du traitement des images. Cette organisation a conduit à la mise en place de 7 plates-formes de transfert technologique :

• Surfaces asphériques de haute résolution ;

• Eléments optiques diffractants ;

• Composants optiques à gradient d’indice ;

• Traitements optiques par dépôts de couches minces sol-gel ;

• Laser femto-seconde et applications ;

Diagnostics optiques ;

• Vision industrielle / Vision active.


Le fonctionnement des plates-formes assure le développement d’un travail collaboratif entre chercheurs et utilisateurs industriels, et permet donc de consolider les liens de partenariat entre universitaires (enseignants-chercheurs et étudiants) et acteurs économiques.
Le tissu économique ligérien repose sur une tradition d’industrie mécanique et l’implantation du Pôle Optique Rhône-Alpes, et des formations qui y sont associées, sur ce bassin d’activités permet d’accentuer les efforts de pénétration de technologies innovantes dans un secteur d’activités plus traditionnelles.
Les plateformes fonctionnent ainsi en relation étroite avec l’implantation ancienne de THALES Group à Saint-Héand (ex-Angénieux). Elles ont permis la création de start-up (dont Impulsion, issue des travaux du Laboratoire Hubert Curien, qui fait de l’usinage par laser femto-seconde) et l’implantation prochaine d’une division de l’entreprise HEF sur le campus universitaire sur lequel sont implantés le Master, le Laboratoire Hubert Curien, la Faculté des Sciences et Techniques, Télécom Saint-Etienne et l’antenne locale de l’IOGS.
2) Plus récemment, début 2009, le Pôle Traçabilité (implanté à Valence et membre fondateur du Centre National référent RFID) et l'Université Jean Monnet, associée au CNRS par le biais du Laboratoire Hubert Curien, se sont alliés dans la recherche de solutions de prévention de la contrefaçon et d'outils de protection de la propriété industrielle.

Dans ses différentes missions, de conseils, de contribution à la standardisation, le Pôle Traçabilité compte sur le soutien scientifique de l’Université et de l’IOGS, et de leurs réseaux internes de compétences pour développer des techniques avancées d'authentification et de marquage par voie optique. Cette association d'acteurs publics complémentaires, expérimentés en traçabilité sécurisée, constitue une articulation opérationnelle forte, unique dans le domaine, et le master se trouve lui aussi au carrefour de cette opération pour le volet formation des futurs cadres et ingénieurs spécialisés.


3) La région Rhône-Alpes est, après l'Ile de France, la deuxième région pour les industries et le secteur de la santé. 20% de l'activité française y sont installés, totalisant ainsi 66 000 emplois dont 21 000 industriels dans 450 entreprises (Aventis-Pasteur, bioMérieux, Merck, Mérial, Rhodia…) et 36 000 emplois dans le secteur hospitalier dont 9 000 dans des laboratoires de recherche. Pour sa part, la région de Saint-Etienne assure 30% de l'activité régionale. Dans ce contexte l’Ecoles des Mines de Saint-Etienne, l’Université, le CHU, le CNRS et l’INSERM ont créé le Centre Ingénierie et Santé dans le but de stimuler les synergies entre les équipes de recherche et de favoriser les transferts de technologies vers l’industrie médicale. Au niveau pédagogique, le CIS devra assurer la formation de cadres scientifiques et techniques aptes à exercer leurs métiers dans les différents domaines de l'ingénierie de la santé, et le master contribuera ainsi à la formation dans le domaine particulier de l’imagerie médicale.
4) Enfin, le parcours ERASMUS MUNDUS, « Color in Informatics and Media Technology » est soutenu au niveau international par les entreprises Nokia (FI), Thomson (FR), Hewlett Packard (USA), GreenLight Solutions (ES), Tecnalia (ES), VGA (ES), Infaimon.com (ES) et Indra (ES). Ces entreprises sont intéressées par la formation de spécialistes du traitement de la couleur pour des applications multimedia (systèmes de projection, imprimantes, …).

Un représentant de Nokia et un représentant de Thomson siègent d’ailleurs au conseil de perfectionnement du master.




4. 5. Liens pédagogiques avec d’autres écoles et instituts
Outre les partenaires co-habilités, le master entretien des relations avec :
CPE Lyon : le master intègre des élèves ingénieurs de CPE Lyon en double cursus (niveau M2) et plusieurs enseignants de CPE Lyon, rattachés pour leur recherche au Laboratoire Hubert Curien, font partie de l’équipe pédagogique.
ENISE : le master intègre des élèves ingénieurs de l’ENISE en double cursus (niveau M2).
Les élèves-ingénieurs étudiants en M2 sont dispensés ou exemptés d’une partie des cours en fonction de leur école et de leur parcours initial.
Dans le cadre du parcours ERASMUS MUNDUS (cf Annexe 2), le master partage une maquette pédagogique et des éléments de formation avec l’Université de Grenade en Espagne, l’Université de Joensuu en Finlande et le Collège Universitaire de Gjovik en Finlande dans le but de délivrer un diplôme multiple.

Le semestre 1 du parcours est proposé en parallèle et à l’identique par les 4 établissements partenaires. Le semestre 2 est proposé à Saint-Etienne et à Grenade uniquement. Le semestre 3 est proposé à Joensuu et à Gjovik uniquement. Des cours sont mutualisés en visio-conférence et nous échangeons des enseignants entre les partenaires. Les jurys sont communs.


A compter de la rentrée 2009, l’UJM et l’Université Mentouri de Constantine proposent un parcours commun en « optique et micro-électronique » (cf Annexe 1) avec un double diplôme. Pour ce parcours, le M1 est délocalisé intégralement sur place à Constantine et fait appel à des interventions d’enseignants de l’UJM. Le recrutement et le jury sont communs. D’un point de vue pédagogique, le parcours reprend la partie « optique » de la maquette stéphanoise et remplace la partie « image » par une formation en « micro-électronique » commune avec le master local algérien.


4. 6. Ouverture internationale
L’ouverture internationale est l’une des ambitions complémentaires de ce master, depuis sa création en 2003, dans le but de proposer une formation associant des possibilités de mobilité internationale et des compétences linguistiques qui préparent efficacement l'insertion professionnelle tout en fournissant les outils nécessaires à une bonne communication dans le domaine scientifique.
Pour cela :

- l’enseignement de l’anglais est renforcé dans le cursus des deux années et vise une certification des compétences par le TOEIC proposée à tous les étudiants (cf § 5.4) ;

- un certain nombre d’enseignements sont assurés en anglais (100% pour ce qui concerne le parcours ERASMUS MUNDUS) soit par des enseignants-chercheurs statutaires à l’UJM, soit par des professeurs invités, soit par des enseignants anglophones dans le cadre des échanges ERASMUS avec nos universités partenaires ;

- et nous développons une politique volontariste de relations internationales et d’échanges d’étudiants.


Le soutien à cette mobilité internationale des étudiants s’appuie sur le chargé de mission aux relations internationales de la Faculté des Sciences et Techniques. Celui-ci est plus particulièrement en charge du suivi des accords internationaux, de l’information aux étudiants sur les possibilités offertes et sur les systèmes de bourses de mobilité et de la coordination avec le Pôle International de l’Université. Il est ainsi le premier interlocuteur des étudiants en matière de définition de leur projet de mobilité, mais assure aussi le relais entre les enseignants et enseignants-chercheurs des composantes et le pôle International de l’Université. L’établissement est par ailleurs en position de permettre le cumul des différentes aides financières à la mobilité (bourse nationale, bourse de mobilité, bourse Explo’RA Sup de la Région Rhône-Alpes, bourse Erasmus).
Les étudiants de Master sont donc incités à la mobilité internationale via un certain nombre de conventions d’échanges dans le cadre du programme ERASMUS (en particulier des accords avec Glasgow Caledonian University, Heriot-Watt University à Edinburgh, Technical University of Eindhoven, ou University of Oulu en Finlande) mais aussi des programmes ISEP (USA), Fairbanks (Alaska), CREPUQ, ORA (Ontario-Rhône-Alpes) et des conventions bilatérales. En pratique, et si excepte le parcours ERASMUS MUNDUS (cf ci-après) cette mobilité est mise en œuvre principalement au niveau du M1 et par des étudiants issus des Licences locales avec lesquels nous avons pu préparer les échanges en amont. Elle est aussi mise en œuvre au niveau du stage, en M1 ou en M2, en entreprise ou en laboratoire de recherche, pour tous les étudiants.
Le nombre d’étudiants concernés fluctue beaucoup d’une année à l’autre et on a pu atteindre le niveau du quart d’une promotion en mobilité les meilleures années.
L’ouverture internationale du master se décline aussi au travers de deux opérations particulières :

- un parcours de spécialité bi-compétence en « optique et micro-électronique » mis en place à partir de la rentrée 2009 (M1 délocalisé) avec l’Université Mentouri de Constantine (Algérie) (cf Annexe 1);



- un parcours européen dans le cadre du programme ERASMUS MUNDUS intitulé « Color in Informatics and MEdia Technology » (CIMET - ouvert à la rentrée 2008) et mis en place dans le cadre d’un consortium formé avec l’Université de Grenade en Espagne, l’Université de Joensuu en Finlande et le Collège Universitaire de Gjovik en Norvège, et dont notre Université est l’établissement coordinateur. (cf Annexe 2).

5 - ORGANISATION GLOBALE DE LA MENTION/SPECIALITE
5. 1. Equipe de formation


Personnels assurant l’assistance administrative

NOM Prénom

Statut / Fonction

BROUILLET Stéphanie

MC / Chargée de mission FST à l’Insertion Professionnelle

FOURNEL Thierry

PR / Responsable pédagogique des parcours à dominante « image »

GALIFI Angelo

APASU / Responsable Administratif FST

GOODSIR Hélène

Contractuelle cat. A / Assistante à l’international pour le parcours ERASMUS MUNDUS à la FST

GUILLOBEZ Thomas

Contractuel cat. A / Coordinateur administratif des masters ERASMUS MUNDUS de l’Université

JOURDA Marie-Josée

ASU / Service de la Scolarité

LEPINE Thierry

MC / Coordinateur IOGS

MARET Pierre

PR / Chargé de mission RI

MARIN Emmanuel

MC / Responsable pédagogique des parcours à dominante « optique »

MIGNARD Nathalie

MC / Chargée de mission FST pour l’Accueil des Publics Handicapés

MOINE Baptiste

MC / Responsable pédagogique M1

PINOLI Jean-Charles

PR / Coordinateur EMSE

ROBERT Stéphane

MC / Coordinateur TSE

TREMEAU Alain

PR / Responsable pédagogique du parcours ERASMUS MUNDUS

TROUILLET Alain

PR / Directeur FST - Responsable du Domaine STS

Responsable de la mention



VASSELON Françoise

ASU / Service de la Scolarité / Secrétariat Master

VIVIER Hervé

PR / Vice-Président Université TICE-C2i


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