A la memoire des 1 500 000 victimes armeniennes
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- «Président Obama, évitez le mot « génocide »»
- Dépêche de lAPA [ 21 avril 2011 13:51 ] - Agence de Presse dAzerbaïdjan
- Cercle de la lutte contre les mensonges arméniennes infondées : Aucun arménien tué le 24 avril à l’Empire Ottoman
- Géorgie Un ouvrage inédit sur le génocide arménien
- France Aghet. 1915 : le génocide arménien - Documentaire dEric Friedler
- « Aghet » suivi en public à Valence
- Beuzec-Cap-Sizun: Hommage aux victimes du génocide arménien
- Pays-Bas La Haye accueille une manifestation pour commémorer le 96e anniversaire du génocide arménien
- Turquie Commémoration du génocide arménien à Istanbul le 24 avril 2011
- Turquie/Iran La Turquie exige que l’Iran interdise la diffusion d’un documentaire sur le génocide arménien
GENOCIDE ARMENIENNégationnisme Dépêche de l'APA [ 20 avril 2011 18:23 ] - Agence de Presse d'Azerbaïdjan Le Collectif VAN vous propose un article de l'APA (Agende de presse azérie) daté du 20 avril 2011. Les articles de ce site (écrits généralement dans un français rudimentaire) ne sont pas commentés de notre part. Ils peuvent contenir des propos négationnistes envers le génocide arménien ou d'autres informations à prendre sous toute réserve. APA
«Président Obama, évitez le mot « génocide »» [ 20 avril 2011 18:23 ] Washington. Isabelle Lewin – APA. Les diasporas azerbaïdjanaise et turque aux Etats-Unis ont lancé une nouvelle campagne. Dans ses lettres postées à la Maison Blanche, ils invitent le président américain d’éviter le mot « génocide » dans son discours traditionnel sur les événements de 24 avril 1915, rapporte le Bureau américain de l’APA. Des milliers turcs, azerbaïdjanais et ses amis se sont alliés à la campagne « Président Obama, évitez le mot « génocide » ». « Nous demandons du Président Obama d’éviter le mot « génocide » et son équivalent arménien « Mets Yeghern ». Différemment d’autres tragédies et massacres, les prétentions sur le « génocide arménien » ont été déboutées par les cours américaines. Cette expression n’est pas acceptée à la fois par les cours de l’ONU » a-t-on indiqué dans la lettre. Les auteurs de la lettre ont rappelé les massacres de 523 000 turcs par les arméniens aux années 1910-1922.
APA
Cercle de la lutte contre les mensonges arméniennes infondées : Aucun arménien tué le 24 avril à l’Empire Ottoman [ 21 avril 2011 13:51 ] Bakou. Rachad Suleymanov – APA. « Aucun arménien n’a pas été tué le 24 avril à l’Empire Ottoman. Simplement, les chefs des partis de Dachnak et de Hunchak ont été arrêtés pour leurs activités illégales » a indiqué pour l’APA, Göksel Gülbey, gérant du Cercle de la lutte contre les mensonges arméniennes infondées (ASIMDER). Ce fait est prouvé par les documents des archives, selon M. Gülbey : « Ces personnes ont été simplement déplacés en garde à vue. Le déménagement prétendu des arméniens ne tombe pas à cette date » a-t-il indiqué. L’Azerbaïdjan et la Turquie ont fait des efforts pour la faillite des mensonges arméniennes, estime M. Gülbey : « La France est distinguée par son activisme. Les arméniens y sont très actifs pour mettre à l’ordre du jour, le soi-disant génocide. Les mêmes choses sont répétées chaque avril aux Etats-Unis » a-t-il ajouté. La France a massacré les algériens, toujours selon M. Gülbey. http://fr.apa.az/news.php?id=13004 http://www.collectifvan.org/article.php?r=4&id=53594 Géorgie Un ouvrage inédit sur le génocide arménien My Boox
20/04/2011 Près d’un siècle après les événements, un ouvrage apporte un nouvel éclairage sur le génocide arménien. Le génocide arménien dans les périodiques de la Géorgie, de 1914 à 1918 compile les articles parus dans la presse géorgienne sur ce qui fut l’un des premiers génocides du XXe siècle. Des documents inédits qui demeuraient secrètement confinés parmi les archives de la Division des périodiques de la Bibliothèque du Parlement géorgien et auxquels le grand public a désormais accès. L’ouvrage sera présenté sera ce mercredi 20 avril au Parlement géorgien. Plus de 1 200 000 Arméniens ont été massacrés sur le territoire de l’actuelle Turquie entre 1914 et 1918, selon Gérard Chaliand et Yves Ternon, auteurs de 1915, Le Génocide des arméniens (Ed. Complexe). Malgré l’ampleur des exterminations et la condamnation de la communauté internationale, la Turquie a toujours nié les faits et verrouillé ses archives. Les sources sont donc encore difficilement accessibles. Ce n’est que récemment que les archives bulgares, allemandes et russes ont été ouvertes. En France, où le génocide arménien a été reconnu dès 2001 par la loi du 29 janvier, les lecteurs attendent déjà la traduction de cet ouvrage inédit, mais la date et l'éditeur en charge du projet sont encore inconnus.
Télérama.fr (Aghet, ein Völkermord, Allemagne, 2010) Le 12 avril 2011 à 13h15 Aghet - la catastrophe -, c'est ainsi que les Arméniens désignent les massacres commis dans l'Empire ottoman à l'encontre de leur peuple à partir d'avril 1915. Cette tragédie planifiée, où un million et demi d'entre eux périrent, est le premier génocide du XXe siècle. Mais, depuis quatre-vingt-seize ans, les autorités turques nient les faits, récusant le terme de génocide. Malgré les voix discordantes qui commencent à se faire entendre dans l'opinion publique, aucune déclaration officielle n'est venue mettre fin au négationnisme d'Etat. Au contraire, lors d'une interview reprise au début du documentaire, le Premier ministre turc Recep Tayyip Edogan réfute une nouvelle fois les accusations d'un « Soumettez-nous vos preuves ». Le journaliste allemand Eric Friedler le prend ici au mot en construisant son film autour des récits circonstanciés des massacres organisés par le pouvoir nationaliste Jeune-Turc. Consignés dans les archives, les multiples témoignages émanent de missionnaires, de journalistes et en tout premier lieu de diplomates américains, comme l'ambassadeur Henry Morgenthau ou le consul de Harpout Leslie Davis. Ils retracent la chronologie des événements qui conduisirent à la déportation par marche forcée des Arméniens dans le désert syrien. Pour donner une résonance contemporaine aux récits, le réalisateur choisit de les faire dire à l'écran par des comédiens, mis en scène tels des témoins d'aujourd'hui. Un choix discutable, mais qui ne nuit cependant pas à la démonstration de son auteur. Au-delà du récit historique, Eric Friedler pointe avec pertinence les enjeux diplomatiques qui, hier comme aujourd'hui, ont permis aux Turcs de persister dans le déni en toute impunité. Valérie Hurier
Hier soir à Valence, à l’invitation de la Coada (Conseil de coordination des associations arméniennes de Drôme-Ardèche) quelques dizaines de personnes étaient présentes au Centre communautaire arménien, pour suivre sur grand écran la diffusion du documentaire « Aghet » sur Arte. Face aux images très fortes et commentaires du documentaire d’Eric Friedler, le public retenait son souffle dans un silence lourd ponctué de temps à autre de cris d’indignation. Au terme de la diffusion d’« Aghet » jugé « de très bonne qualité », un bref débat fut organisé. Les quelques échanges ont permis démontrer la lourde responsabilité de la Turquie, organisatrice du génocide arménien mais également la complicité du gouvernement Allemand très impliquée auprès des génocideurs Turcs. La position actuelle des Etats-Unis avec des images d’un Barak Ohama sénateur reconnaissant le génocide et plongé dans le silence après son élection lors de sa visite au Parlement turc à Ankara, arrachaient également quelques commentaires. « Pourquoi les Etats-Unis ne reconnaissent pas ce génocide ? » interrogeait un téléspectateur. « Tout simplement pour une question d’intérêts stratégiques » lui répondait un autre en précisant « mais lorsque Washington reconnaîtra le génocide arménien, Ankara sera bien obligée de suivre ». Texte et photo Krikor Amirzayan à Valence jeudi 21 avril 2011, Krikor Amirzayan@armenews.com http://www.armenews.com/article.php3?id_article=69404 http://www.collectifvan.org/article.php?r=4&id=53583 Beuzec-Cap-Sizun: Hommage aux victimes du génocide arménien Ouest-France mardi 19 avril 2011 Après un concert de la chorale Canto Mi, samedi soir, et la messe à l'église paroissiale, dimanche, les Arméniens de France, de l'association Menez Ararat et quelques élus ont rendu hommage aux victimes du génocide arménien. Ils se sont réunis à l'espace de la Paix, où l'an dernier l'association avait implanté une plaque commémorative. Pour honorer 1 500 000 victimes massacrées en Turquie le maire Jean Pichon, le conseiller général Didier Guillon et le président de l'association Gérard Bossière, ont chacun déposé une gerbe de fleurs. Le maire a rappelé cette épreuve douloureuse et « la nécessité de tendre la main pour vivre dans un monde fraternel et pacifique ». Le président de l'association a souligné la reconnaissance du génocide en 2001 par la France. Il a souhaité que la proposition de loi d'octobre 2006, destinée à réprimer la contestation du génocide, ne tombe pas dans l'oubli. Il a, dit-il, le soutien de Philippe Paul, sénateur maire de Douarnenez à ce sujet. « Le pays, auteur de ces massacres perpétrés de 1915 à 1923 nie les faits et ses citoyens sont parfois victimes de désinformation ». Le fait d'évoquer ce génocide est d'ailleurs pénalement réprimé dans ce pays. Un jeune germanique commentait « C'est comme si l'Allemagne d'aujourd'hui niait le nazisme ». Pour Marc Girard, auteur du livre Chaleureuse Arménie : « Si ce premier génocide du XX e siècle avait été reconnu et réprimé, les nazis auraient sans doute hésité à commettre leurs exactions ». Son ouvrage a été coécrit avec une jeune arménienne, guide interprète, Zarouhie Gasparyan, après plusieurs voyages en Arménie. L'auteur a d'abord été charmé par les paysages et la chaleur humaine des habitants. Il a aussi été profondément touché par la cause arménienne. Le compte rendu qu'il envisageait d'écrire est vite devenu un document de 150 pages, publié aux éditions Publibook (contact : mgirard44@aol.com). http://www.ouest-france.fr/actu/actuLocale_-Hommage-aux-victimes-du-genocide-armenien-_29008-avd-20110419-60313878_actuLocale.Htm http://www.collectifvan.org/article.php?r=4&id=53578 Pays-Bas La Haye accueille une manifestation pour commémorer le 96e anniversaire du génocide arménien
Le 19 avril à La Haye a eu lieu un rassemblement organisé par le Comité 24 Avril de la Fédération des Organisations Arméniennes aux Pays-Bas (FAON) et le comité Hay Dat devant le bâtiment du parlement. L’événement était dédié au 96e anniversaire du génocide arménien . Plusieurs centaines de personnes, y compris les représentants de la chambre basse du parlement néerlandais, ont participé à l’événement. En outre, les manifestants ont continué leur manifestation vers l’ambassade de Turquie à La Haye. mercredi 20 avril 2011, Stéphane@armenews.com http://www.armenews.com/article.php3?id_article=69373 http://www.collectifvan.org/article.php?r=4&id=53573 Turquie Commémoration du génocide arménien à Istanbul le 24 avril 2011 NAM
La Commission contre le racisme et la discrimination de la branche Istanbul de l’Association pour les Droits de l’Homme a publié une déclaration hier annonçant qu’une manifestation pour commémorer les victimes du génocide des arméniens et des assyriens aura lieu le 24 avril 2011 à 14h devant le musée des arts islamiques à Istanbul. Le communiqué indique le mot génocide sans guillemet. Le communique précise " Le 24 avril 1915 par décret du gouvernement du Union et Progrès, au sein de la communauté arménienne à Istanbul les principaux représentants du monde de la politique, des sciences, de la littérature, des arts et autres domaines ont été arrêtés dans leurs maisons. L’objet était de détruire l’élite intellectuelle de la communauté arménienne. Comme il a été décidé, peu après ce fût au tour de la population arménienne d’Anatolie ancrée depuis des milliers d’années sur ses terres via la faim et la misère, d’être détruite à la suite de massacres. (..) Par conséquent, le 24 avril, l’élimination des intellectuels arméniens est le départ de la première phase du processus de génocide. Mais le 24 avril n’est pas seulement le symbole du génocide arménien et assyrien. Mais aussi celui de la re-écriture de l’histoire d’un pays fondé sur le mensonge, de l’élimination de l’existence d’un peuple, de toute trace d’une civilisation avec tout son héritage historique. Tout ceci est symbolisé par ce jour. Ce secret est caché dans l’histoire des villes en Turquie. Les gens ne connaissant pas la "scène du crime". Voici l’une d’entre elle détaillée dans ses mémoires nommée Ibrahim Pacha Palace, aujourd’hui Blue Square » le Musée d’art islamique. (...)
Afin de souligner la véritable histoire de la ville et le 24 avril commémorer les intellectuels arméniens, tous ceux qui veulent contribuer à la lutte pour obtenir justice doivent se réunir dimanche 24 avril 2011 à 14h00 devant le Musée d’art islamique avec nous à la mémoire des victimes du génocide. DATE : 24 avril 2011 (MARCHE) HEURE : 14hOO LIEU : Musée d’art islamique (Palais Ibrahim Pacha, l’Hippodrome, Sultanahmet / Eminonu / Istanbul)
jeudi 21 avril 2011, Stéphane@armenews.com http://www.armenews.com/article.php3?id_article=69384 http://www.collectifvan.org/article.php?r=4&id=53590 Turquie/Iran La Turquie exige que l’Iran interdise la diffusion d’un documentaire sur le génocide arménien NAM
L’organisation Turque pour le Combat Contre des Allégations Arméniennes Sans Fondements (ASIMED) exige des autorités iraniennes qu’elles interdisent la diffusion d’un documentaire sur Armin Wegner photographe et témoin du génocide le 24 avril à Téhéran. « Nous exigeons l’interdiction de la diffusion du film à Téhéran. Nous ne pouvons pas tenir compte que le film va nuire aux relations Turquie-Iran » affirme la lettre transmise par l’ASIMED au Consulat général iranien d’Erzurum. Le 24 avril, Téhéran accueillera la diffusion d’un film de Tigran Khzmalyan sur Armin Wegner. Les membres de la communauté arménienne aussi bien que des parlementaires iraniens suivront la diffusion. Le film sera diffusé sur l’une des chaînes de TV iranienne jeudi 21 avril 2011, Stéphane@armenews.com http://www.armenews.com/article.php3?id_article=69332 http://www.collectifvan.org/article.php?r=4&id=53592
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