Curriculum vitae joëlle Le Marec
« Lieux hybrides et circulation des savoirs : la communication dans les esp
Yüklə 295,89 Kb.
|
- Bu səhifədəki naviqasiya:
- 2. Membre du comité de pilotage du réseau « Usages des patrimoines numérisés »
- 3. Pilotage d’un des axes du programme ANR « Spectacle en ligne(s) (2012-2014)
- « Lieux hybr
- Création et pilotage de l’équipe « Communication, Culture et Société » JE 2419 de 2003 à 2010 puis composante du Centre Norbert Elias, UMR 6285, à partir de 2010
- Ce programme comportait six grands projets thématiques
- 3. Etudes « Les publics des manifestations littéraires » de 2009 à 2013
- Participation au programme « Médecine, Sciences et Société : vers un sujet normalisé », MISHA, Strasbourg, coordonné par Jean-Christophe Weber (Université de Strasbourg), 2009-2012
- Programme « Pratiques de communication dans les pratiques de recherche » (2008-2011)
- Action Concertée Incitative Terrains, Techniques, Théories 2002 « Approche comparative de l’évolution de dispositifs sociaux complexes : les relations entre sciences et médias » de 2001 à 2004
- Séminaire-programme « Sciences, Communication et Société » de 2003 à 2009
- Action Concertée Incitative Jeunes Chercheurs 2001-2003 « Sciences, médias et société : histoire comparée des pratiques de vulgarisation dans les médias et les expositions »
- 11. Membre du Programme de Recherche Interdisciplinaire « Nature, Culture et Société », créé en janvier 2004 sous la direction de Frédéric Joulian, EHESS Marseille
- Programme « Écrire, Lire et Récrire : objets et pratiques des écrits de réseaux », de 2000 à 2003
- Membre de l’ACI Jeunes chercheurs 2001 « Hommes et primates en perspectives : faits techniques, culturels et cognitifs comparés »
- Co-organisation du séminaire « Evaluer les pratiques interdisciplinaires » (Frédéric Joulian, Suzanne de Cheveigné, Joëlle Le Marec) huit séances de janvier à avril 2004, Collège de France
- 4. Membre du programme CNRS « Écrits de Réseaux », coordonné par Yves Jeanneret et Emmanuel Souchier, entre 1998 et 2000
- De 1989 à 1997, Responsable de la Cellule Évaluation à la Direction des Expositions de la Cité des Sciences et de l’Industrie (CSI)
- Autres Interventions et co-organisation de séminaires
« Lieux hybrides et circulation des savoirs : la communication dans les espaces culturels et commerciaux » co-organisée avec Laurence Salvator doctorante, 18 juin 2014, Paris Diderot1ere journée d’étude « Duplication, implication, réplication », co-organisée avec Anne Piponnier, CREM, Université de Lorrain, Université Paris Diderot, le 10 octobre 2014 (la deuxième journée se déroulera à Nancy, au CREM, le 9 juin 2015)Journées doctorales annuelles, avec l’ensemble des doctorants sous ma direction et en présence de collègues invités. 2. Membre du comité de pilotage du réseau « Usages des patrimoines numérisés » http://udpn.fr/ Ce réseau, piloté par Michel Robert (Université Paris 3), rassemble des enseignants chercheurs et des chercheurs de Sorbonne Paris Cité, qui ont soumis et obtenu en janvier 2015 la validation d’un programme de recherche collectifs sur les Usages des Patrimoines Numérisés. 3. Pilotage d’un des axes du programme ANR « Spectacle en ligne(s) (2012-2014) Le projet a été piloté par l’Institut de Recherche et d’Innovation (IRI) du centre Pompidou. Les partenaires étaient le CERILAC (Paris Diderot), LIRIS (Lyon 1), INRIA, UBICAST, Théâtre des Célestins à Lyon et Festival d’Aix en Provence : http://www.iri.centrepompidou.fr/projets/spectacle-en-lignes/. Le projet général est destiné réaliser, annoter, éditorialiser des corpus de répétitions de théâtre de d’opéra de faire ainsi apparaître et de créer des savoirs de la répétition et des médiations de la création théâtrale et musicale. Le CERILAC a plus particulièrement mené des enquêtes, avec le concours des structures culturelles partenaires (théâtre des Célestins et Festival d’ Aix) et avec l’IRI, sur les pratiques d’archivage des publics amateurs et impliqués dans des médiations professionnelles (notamment l’enseignement et la formation). Nous avons également fait évoluer l’ensemble du programme vers un ancrage du projet de développement de dispositifs et d’interfaces technologiques dans des situations et des contextes réels au théâtre et au festival. L’équipe du CERILAC a impliqué directement Joëlle Le Marec, Roxana Ploestean, Judith Dehail, Claudio Broitman, La recherche s’est achevée avec une restitution publique au Centre Georges Pompidou le 23 janvier 2015. Plusieurs communications en ont été tirées dont une intervention avec Nicolas Sauret au colloque « Processus de création et archives du théâtre vivant », le 17 octobre 2014 à l’université de Rennes. Deux articles sont en cours de rédaction.
Le projet a émergé d’une proposition d’Yves Jeanneret et moi-même à l’ANR en 2011. Nous avons souhaité développer les échanges qui avaient donné lieu à la soumission du projet (non retenu) pour maintenir la qualité de la réflexion qui avait réuni une petite équipe de chercheurs de trois établissements : l’université Paris Diderot (Joëlle Le Marec, Laurence Salvator), l’université Paris 4 CELSA (Yves Jeanneret, Karine Berthelot), l’université Paris 13 (Sarah Labelle). Nous avons mené une réflexion sur la mobilisation des savoirs de communication dans des pratiques intellectuelles et savantes : savoirs ordinaires implicites de l’individu réflexif, modèles rationalisés de la communication instrumentale, « théories » locales de la communication dans les pratiques collectives interdisciplinaire, et transformation des savoirs académiques sur la recherche à travers leurs réappropriations multiples. L’équipe du CERILAC a poursuivi une enquête initiée dans un précédent programme, sur les pratiques de communication dans les pratiques de recherche, en cours de publication. Le travail a en outre, nourri la préparation de la journée « Lieux hybrides et circulation des savoirs : la communication dans les espaces culturels et commerciaux », co-organisée avec Laurence Salvator, doctorante, le 18 juin 2014, Université Paris Diderot
Avec Igor Babou, nous soumettons le projet de création d’une équipe en sciences de l’information et de la communication au conseil scientifique de l’ENS-LSH en 2000. L’équipe obtient son habilitation par le Ministère lors du quadriennal, en 2003. Elle pilote alors deux Actions Concertées Incitatives (ACI Jeunes Chercheurs et ACI Terrains, Techniques, Théories) qui ancrent sers activités et son projet dans le champ Sciences, Technologies et Société, et dans l’analyse des discours et des pratiques dans les médias et les musées. Elle inscrit la place des sciences de l’information et de la communication dans les programmes de recherche de l’ENS. Auparavant, la discipline avait été représentée et maintenue lors du déménagement entre Fontenay-Saint-Cloud et Lyon, par l’action de Françoise Massit-Folléa, qui avait mené la réflexion sur la place de l’informatique et des réseaux dans le nouvel établissement, et sur les collections issues de la production audio-visuelles à l’ENS-LSH.
Le cluster était une des quatorze communautés de recherche financées dans le cadre d’une politique de recherche régionale, dont trois regroupaient les sciences humaines et sociales. Le programme du cluster « 14 » en étude de sciences, impliquait trente équipes de recherche en sciences humaines et sociales développant des travaux sur les sciences. Son programme de recherche a été validé au quadriennal régional 2007-2010, et évalué en 2010 dans le cadre du schéma régional pour l’enseignement supérieur et la recherche. Ce programme comportait six grands projets thématiques, et permettait de mener des opérations de recherche interdisciplinaires et de financer des allocations doctorales (cinq à six par an). Il a permis de montrer comment une communauté en sciences humaines et sociales se structurait de façon originale et efficace autour des sciences, avec un principe de solidarité dans la gestion des ressources, et le projet général de création d’un espace critique collectif tolérant à la confrontation disciplinaire et orienté vers le développement, en particulier chez les doctorants, de pratiques très réflexives et collectives. Le cluster s’est doté d’une collection éditoriale aux Editions des Archives Contemporaines et a fonctionné avec un très grand nombre de séminaires et rencontres qui ont été décisifs pour le développement d’une sociabilité épistémologique très forte, entre des individus et des équipes d’établissements, de villes, de disciplines, souvent perçues comme concurrentielles (Grenoble, Lyon, Saint-Etienne, Chambéry ; écoles, universités et organismes de recherches ; spectres de questions qui se sont rendues mutuellement indispensables dans l’espace collectif des études de sciences, depuis des travaux en logique formelle, jusqu’à l’intégration des savoirs de gouvernement, en sciences politiques, dans les problématiques « sciences et société ». 3. Etudes « Les publics des manifestations littéraires » de 2009 à 2013 Financement : ARALD, DRAC Rhône-Alpes, Région Rhône-Alpes - Équipe : Joëlle Le Marec, Roxana Ploestean - Voir le rapport de recherche en ligne : http://www.arald.org/files/c791ed55/etude_manifestations_litteraires_rhone_alpes.pdf La recherche s’est achevée avec une journée de restitution « Manifestations littéraires : publics, territoires et médiations du livre et de la lecture », 23 janvier 2012, théâtre des Ateliers à Lyon Plusieurs communications en ont été tirées, notamment au 17ème rencontres internationales en sociologie de l’Art l’Université Paris 3, lors du colloque « Les mondes de la médiation culturelle » (17-18-19 octobre 2013). La recherche a été menée sur la base d’une proposition élaborée en réponse à un appel à recherche (ARALD, DRAC, Région). Un ensemble d’enquêtes ont été menées en 2009 et 2010 pour saisir de front des pratiques de visites dans des manifestations littéraires, des rapports au livre et à la lecture, des pratiques relatives à des territoires et des sociabilités locales, et les cultures des médiations littéraires et médiatiques. Douze manifestations ont été observées pendant une année complète. L’enquête a touché près de 6000 personnes, par questionnaires courts, questionnaires longs, entretiens et collectes. Nous avons travaillé lors de l’étude sur une conception de l’enquête cohérente avec l’ambition de saisir la complexité des pratiques et des statuts des différents publics des manifestations. Nous avons également mené une enquête complémentaire hors du temps de la manifestation auprès d’acteurs et d’habitants de deux sites de manifestations importantes. L’étude a également été l’occasion d’un dialogue, tout au long des deux années, avec les membres du comité de pilotage, à propos des intérêts de connaissance politiques et académiques dans des domaines où la recherche et l’action politique sont historiquement liées.
Dans le cadre de ce programme, j’ai proposé avec Christiane Kapitz (docteure) une enquête empirique sur les discours médiatiques, institutionnels et juridique du le thème des droits et devoirs des patients pendant la dernière décennie. Les résultats de cette enquête ont été présenté au cours d’une des séances du séminaire piloté par Jean-Christophe Weber « Figures et représentations des malades dans les lois de santé publique » le 21 et le 22 janvier 2011. Un chapitre d’ouvrage co-écrit avec Cristiane Kapitz a été tiré de cette recherche
La recherche a impliqué une forte réflexion sur les pratiques interdisciplinaires et interculturelles dans une recherche qui s’insère elle-même dans une longue histoire de collaboration entre les communautés rurales partenaires et des équipes de biologie répondantes, notamment le LCM de Dakar. Elle a donné lieu à plusieurs journées et rencontres sur la collaboration interdisciplinaire sur le terrain et à des usages de productions culturelles dans le dialogue entre chercheurs et avec les agriculteurs : nous avons en effet mis en œuvre une campagne photographique et une exposition dans le cadre des ateliers de travail. Il en a été tiré plusieurs interventions dans des séminaires et journées d’études, des communications à des colloques, des articles (dans Natures, Sciences et Sociétés, et dans Techniques et Cultures, en cours d’évaluation).
Financement : Région, pour le Cluster « Enjeux et représentations de la science, de la technologie et de leurs usages » Equipe : Joëlle Le Marec (dir.), Igor Babou, Philippe Hert, Clémence Emprin (doctorante allocataire), Mélodie Robach (doctorante allocataire), Anne Piponnier (Bordeaux 3), Grégoire Molinatti (Montpellier) Philippe Nikos Kalampalikis (Lyon 2), David Douyère (Paris 13) C’est ainsi que le groupe a travaillé à la fois sur le projet et le programme comme cadre désormais incontournable des pratiques de recherche, et sur la place des communications (modèles, dispositifs, actions) dans les pratiques quotidiennes de la recherche. Parmi les opérations de recherche qui ont nourri le travail du groupe et qui ont été nourries par lui, la thèse désormais de Clémence Emprin et l’HDR d’Anne Piponnier ont été capitales. L’enquête menée par Mélodie Faury et moi-même sur les pratiques de communication quotidienne des chercheurs a donné lieu à un rapport, une communication à un colloque, un article en cours de rédaction avec Philippe Hert, et l’extension de la méthode d’enquête à d’autres terrains actuellement suivis par Grégoire Molinatti et Philippe Hert. Une journée d’étude le 11 mars 2011 a permis de présenter les résultats des enquêtes menées par Mélodie Faury, Grégoire Molinatti et Philippe Hert, et moi-même à partir d’une même méthode que j’ai élaborée début 2009 et qui est mise en œuvre dans des contextes différents. Anne Piponnier, désormais professeur à l’Université de Lorraine, et moi-même avons poursuivi cette collaboration sur la forme projet (numéro de « Communication et langage » sur les observatoires, journées d’études « Duplication, réplication, implication »). Un petit groupe encore informel a été constitué pour l’étude des pratiques de communication dans les pratiques de recherche, avec Sarah Cordonnier, Mathieu Quet, Grégoire Molinatti, Laurence Salvator, Sarah Kitar.
Membres de l’équipe impliqués : Joëlle Le Marec, Igor Babou, Mélodie Faury (doctorante) L’équipe C2So a été un des quatre laboratoires partenaires de cette recherche sur 3 ans. Elle a développé un volet de recherche sur les pratiques de communication des chercheurs dans le cas de thèmes de recherche mobilisant des enjeux sociaux importants, comme les résistances aux antibiotiques : interactions directes ou médiatisées, dispositifs, modèles de communication mobilisée, types de savoirs en confrontation. La recherche a notamment porté sur les modes de collaboration entre équipes et sur les relations avec l’ensemble des partenaires sociaux impliqués. Dans cette opération qui a été menée avec Igor Babou et Mélodie Faury, j’ai établi le protocole et l’enquête auprès des chercheurs biologistes impliqué dans le programme, et rédigé les résultats de cette enquête pour le rapport final. Le rapport de recherche est en ligne à l’adresse : http://c2so.ens-lyon.fr/spip.php?article80 Une communication avec Mélodie Faury a été publié dans les actes du colloque international « Réflexivité en contextes de diversité : un carrefour des sciences humaines ? », 1 et 2 décembre 2010, Université de Limoges
Financement : MNERT - Durée du programme : 3 ans Equipe : Joëlle Le Marec chef de projet (ENS-LSH), Igor Babou (ENS-LSH), Philippe Hert (Université Aix Marseille et C2So), Anne Cambon (CNRS, INSERM U558 Toulouse et Pascal Ducournau (CNRS, INSERM U558 Toulouse), Fabienne Galangau (Muséum National d’Histoire Naturelle et C2So), Florence Belaen (Cité des Sciences et C2So). Le programme a consisté à explorer finement la circulation des images dans un ensemble d’espaces et de situations, depuis l’espace de la paillasse jusqu’aux productions médiatiques : laboratoire, conférences de vulgarisation, photothèques des organismes de recherche, planétariums, affiches des expositions scientifiques au muséum national d’histoire naturelle. Nous avons développé des enquêtes approfondies par terrain, avec un cadre théorique et des méthodologies communes. La recherche a donné lieu à un rapport de recherche et à de deux journées d’étude les 6 et 7 avril 2006 : « Images et sciences : pratiques et dispositifs de mise en circulation », ENS-LSH de Lyon, à une communication avec Igor Babou » au Journées internationales de la sociologie du travail, Londres, London School of Economics. Les publications qui en ont été issues sont : un article de Philippe Hert dans Sciences de la Société n°67, article de Florence Belaen soumis à Culture et musées – un article de Joëlle Le Marec et Igor Babou dans Anthropologie des Connaissances - un dossier thématique dirigé par Igor Babou dans Communication et Langages
Le portail http://science-societe.fr/ a résulté de ce travail. Webmestre : Igor Babou Équipe organisatrice : Joëlle Le Marec, Igor Babou, Pierre Mounier (C2S0), Baudouin Jurdant, Jean Max Noyer (CRICs Paris 7) - Financement : MNERT puis Région Le séminaire mensuel, et le développement du site associé, sont une des suites de l’ACI jeunes chercheurs « sciences, médias et société ». Ils ont été mis en œuvre grâce à un soutien du Département Nouvelles technologies pour la Société en 2005 à l’issue du colloque « Sciences, médias et sociétés » (Juin 2004) puis du cluster de recherche, puis sur fonds propres. Il s’agit d’un outil de collecte, de structuration, de commentaire et de mise à disposition d’un corpus de documents et ressources liées à la thématique « Sciences, communication et société » et de contribuer ainsi à une histoire du champ « Sciences, technologie et société » (S.T.S) et à un état des lieux des questions qui se sont dégagées en trente ans autour des enjeux de communication (vulgarisation, médias et musées, communication scientifique publique, publics, réseaux et NTIC, édition, éthique, engagement des acteurs dans le débat public, etc.). Le site est devenu un portail (http://science-societe.fr/) en constante évolution, auquel ont contribué 162 auteurs à ce jour, avec des textes inédits, des revues de sommaires, des études, recherches et thèses, des rapports, etc. Une partie de ces documents a été numérisé, et fait progressivement l’objet d’un travail de commentaire critique. Nous avons en accru la dimension internationale du séminaire à une zone géographique plus large (traductions croisées sont en cours avec chercheurs de l’Université de Buenos Aires impliqués dans la collecte).
Financement : RIAM, MNERT, Ministère de la Culture, Ministère de l’Industrie Équipe : Porteur du projet : Philippe Charlot : Tout’O’Phone – Equipes de recherches impliquées : CITI (INSA)- LET (Institut des Sciences de l’Homme) et C2S0 (ENS-LSH), musée Gadagne à Lyon. Membres de l’équipe Usages et Médiations coordonnée par Joëlle Le Marec : Igor Babou, Sophie Deshayes, Françoise Massit-Follea (C2S0, ENS-LSH), Christine Develotte, Alexandre Stablefoth (ICAR, ENS-lsh), Nathalie Noël (Université de la Réunion), Jean-François Rebeyrotte - Collaboration avec le Musée Gadagne, la DRAC Réunion. Nous avons développé un ensemble d’enquêtes qui ont permis de dégager des principes de médiation pour le type de dispositif envisagé (visite audio par téléphone portable), et de réaliser deux maquettes de parcours audio dans Lyon avec le musée Gadagne et à La Réunion. La recherche a abouti à la conception une interface de création de visite à destination des médiateurs culturels. Les résultats ont été présentés lors de la journée d’étude « Recherche, conception et usages des technologies liées à la médiation culturelle », ENS-Lsh , 6 juin 2005. Le rapport a été rendu en septembre 2005. Il a donné lieu à de nombreuses communications. Il a nourri une thèse de doctorat effectuée sous ma direction par Sophie Deshayes et soutenue en juillet 2009. Une partie des résultats ont inspiré la création de l’audio-guide multimédia du musée du Louvre, auquel Sophie Deshayes a contribué.
Équipe : Joëlle Le Marec, et Igor Babou chefs de projet, (MCF, ENS-LSH) Soraya Boudia (directrice du musée Curie, ingénieur de recherche UMS 6425 CNRS, Institut Curie) Annie Gentes (MCF, École Nationale Supérieure des Télécommunications), Jacqueline Chervin (Laboratoire Communication et Politique, CNRS) La recherche a porté sur les modes de circulation sociale des connaissances scientifiques pour trois thématiques (cerveau, génétique, radioactivité) avec une volonté comparatives (musées et télévision) et diachronique (corpus couvrant la période de l’après-guerre jusqu’à nos jours) C’est à partir de l’hypothèse d’un modèle de fonctionnement médiatique commun, que nous avons développé une méthode permettant de comparer différents corpus médiatiques et sociologiques. L'enjeu a été de réaliser un travail sur l'évolution des rapports entre les sciences et les médias, en combinant des approches différentes : histoire, sémiotique, anthropologie. Réalisation du colloque « Sciences Médias et Sociétés » les 15-16-17 juin 2004 à l’ENS-LSH, et publication des Actes électroniques. Coordination d’un numéro de la revue Communication et Langages Articles avec Igor Babou dans les revues Communication (éditions Nota Bene), Recherches en Communication (éditions de l’Université Catholique de Louvain), et Communication et Langage (éditions Albin Michel). Présentation d’une session thématique avec Igor Babou et Soraya Boudia au Colloque de l’AISLF Tours, 2003.
Co-organisation du séminaire « Des Objets et des Techniques entre Nature et Culture » (Frédéric Joulian, Suzanne de Cheveigné, Joëlle Le Marec, Pierre Lemonnier) 7-8-9 novembre 2005, EHESS Marseille.
Membre du Conseil d’Administration de la SFSIC de 1998 à 2000. Membre du conseil scientifique du Congrès de la Société Française des Sciences de l’Information et de la Communication, UNESCO, 10-13 janvier 2001.
Dans le cadre de la réponse à l’appel d’offres BPI/DLL « Écrans et réseaux, vers une transformation des rapports à l’écrit ». Équipe : Emmanuel Souchier (dir.) Yves Jeanneret, Jean Davallon, Marie Depres-Lonnet. Un ouvrage collectif et de très nombreuses communications en ont été tirés. Ce programme a été fondateur à de multiples points de vue. Il a été le point de départ d’une réflexion qui s’est continuellement poursuivie avec Igor Babou, Yves Jeanneret et Emmanuel Souchier. La démarche, que nous avons appelée ethno-sémiotique, consistait à prendre en compte dans l’analyse des pratiques et des objets, à la fois ce qui donnait lieu à des inscriptions matérielles, et à ce qui advenait dans des pratiques observables au cours de l’enquête. Le déploiement d’un ensemble d’opérations de recherche qui ont pris des points d’entrée différents dans les phénomènes liés à l’usage des réseaux, a été capital dans une forme d’imagination à la fois épistémologique et institutionnelle, qui a donné sa dynamique propre à une trajectoire en sciences de l’information et de la communication, entre sciences de l’enquête et sémiotique.
Programme coordonné par Frédéric Joulian à l’EHESS, laboratoire d’anthropologie sociale. Membres de l’équipe : F. Joulian (Chef de projet, LAS, EHESS), N. Govoroff (LAS), J. Sept (Université de l’Indiana à Bloomington), F. Guédé Yiodé (Université de Côte d’Ivoire), V. Servais (FNRS, Liège), S. de Cheveigné (CNRS, Paris), J. Le Marec (ENS, Lyon), F. d’Errico (CNRS, Bordeaux), J. Braga (Univ. Bordeaux I), C. Abegg (Post-doc, Labo. de Neurophysiologie, Strasbourg), F. Jankowski et E. Pouydebat (doctorants, Paris I), V. Leblan (DEA, Paris I). L’équipe a été financée par une APN du CNRS (1999-2001), une Action concertée « Cognitique » du MENRT (2000-2002) et une ACI Blanche du MENRT (2000-2003). L’équipe a fédéré des compétences diversifiées – en préhistoire, paléoanthropologie, ethnologie, sociologie et éthologie – dans une approche comparée des faits techniques, sociaux et cognitifs chez les humains, préhumains et primates et cela dans les deux axes, synchronique (entre espèces actuelles) et diachronique, (entre espèces actuelles et espèces passées). Le projet s’est engagé dans différents terrains archéologiques, éthologiques et anthropologiques qui se déroulent soit en milieu naturel (principalement en Côte d’Ivoire), soit en captivité (en France et en Belgique) dans le cadre de sous-équipes et de travaux individuels. Ma recherche a porté sur une comparaison entre dispositifs de présentation des animaux morts ou vifs, au muséum et dans les jardins zoologiques, et sur l’expérience de visite à la ménagerie du Jardin des Plantes. Elle a donné lieu à des interventions dans le séminaire du groupe de recherche « Cultures, Représentations, Comportements », EHESS et Collège de France, 2004 - Co-organisation du séminaire « Evaluer les pratiques interdisciplinaires » (Frédéric Joulian, Suzanne de Cheveigné, Joëlle Le Marec) huit séances de janvier à avril 2004, Collège de France 3. Coordinatrice avec Elizabeth Fichez (GERICO) entre 1998 et 2000, d’une recherche sur « les usages d’internet en milieu universitaire » Le projet a été sélectionné dans le cadre d’un appel d’offres interne à Lille 3 sur la thématique « Transfert des connaissances », et soutenu par le Ministère de l’Education Nationale et de la Recherche. Il a été tiré une intervention à un colloque international à Louvain La Neuve et un article dans la revue Recherches en Communication. 4. Membre du programme CNRS « Écrits de Réseaux », coordonné par Yves Jeanneret et Emmanuel Souchier, entre 1998 et 2000 La recherche, interdisciplinaire, associe des chercheurs de Lille 3 (Yves Jeanneret, Katell Briatte, Marie Depres-Lonnet, Annette Beguin, Joëlle Le Marec) et des chercheurs de l’ENST (Emmanuel Souchier, Hugues Choplin, Annie Gentes).
Un travail de terrain est initié en zoo actuellement, avec une équipe interdisciplinaire (Frédéric Joulian, Suzanne de Cheveigné, Véronique Servais, Emmanuelle Pouydebat, Joëlle Le Marec).
La cellule a été créée et placée sous ma responsabilité suite à une mission d’expertise muséologique dans le cadre du schéma directeur du renouvellement des expositions permanentes de la cité des Sciences et de l’Industrie, en 1988. Je me suis inspirée de mon expérience d’une année au service des études et de la recherche de la bibliothèque publique d’information du Centre Georges Pompidou, pour imaginer une activité de construction de connaissances sur le public et sur l’institution. L’équipe a mené de très nombreuses études auprès des visiteurs de la cité des sciences, dans le cadre de la programmation, de la réalisation des expositions, et de la conception de dispositifs de médiation. Elle a également développé ses propres axes de réflexion, notamment sur la notion « d’attentes » chez les publics, contre une vision trop fonctionnelle de l’ajustement d’une demande et d’une offre culturelle. Cette expérience fondatrice m’a permis de prendre la responsabilité de la création d’une équipe et de développer une activité d’études et recherches au sein d’un établissement muséal. C’est au cours de cette période que j’ai participé au développement de la muséologie dans le champ académique, sous l’action et avec la réflexion déterminante de Jean Davallon. Je participe alors à la vie d’une communauté interdisciplinaire en muséologie des sciences avec Jean Davallon, Daniel Jabobi, Hana Gottesdiener, Bernard Schiele, Jacqueline Eidelman, Chandler Screven, Yves Le Coadic, Roland Bertrand. Je participe au démarrage de la revue « Publics et Musées » créée par Jean Davallon et Hana Gottesdiener Je suis membre de l’association « Muséologie Nouvelle et Expérimentation sociale » Je donne des cours à l’Université de Paris 1, en sciences de l’information.
Vacataire de recherche au Laboratoire de Spectrochimie Infraouge et Raman, CNRS, Thiais dans le cadre d’une ATP CNRS pour l’usage de la microsonde Raman dans l’identification des pigments dans la peinte de chevalet (dir. Claude Coupry)
Autres Interventions et co-organisation de séminaires
|