Objectif thematique n°1



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PRÉFET DE LA RÉGION

NORD – PAS-DE-CALAIS

PROJET

LE DIAGNOSTIC TERRITORIAL STRATEGIQUE

DES PROGRAMMES EUROPEENS POST 2013

DE LA REGION NORD - PAS - DE - CALAIS

Diagnostic stratégique – SGAR – V4 20 Août 2012


SOMMAIRE




SOMMAIRE 2

1. Renforcer la recherche, le développement technologique et l’innovation 3

2. Améliorer l’accès, l’utilisation et la qualité des TIC 8

3. Renforcer la compétitivité des PME y compris celles du secteur agricole (FEADER) et du secteur de l’aquaculture et de la pêche (FEAMP) 11

4. Soutenir la mutation vers une économie à faible teneur en carbone dans tous les secteurs 18

5. Promouvoir l’adaptation au changement climatique et la prévention des risques 25

6. Protéger l’environnement et promouvoir un usage durable des ressources 30

7. Promouvoir le transport durable et supprimer les goulets d’étranglement dans le réseau principal d’infrastructures 40

8. Promouvoir l’emploi et soutenir la mobilité du travail 48

9. Promouvoir l’inclusion sociale et combattre la pauvreté 55

10. Investir dans l’éducation, les compétences et la formation tout au long de la vie 62

Les enjeux des territoires urbains  70

Les enjeux des territoires ruraux 74

Les enjeux de la zone littorale  82

Les enjeux des territoires transfrontaliers en Nord Pas de Calais 88

Les filières pêche maritime et aquaculture 92

Les filières agriculture, industrie agroalimentaire et sylviculture 96



1. Renforcer la recherche, le développement technologique et l’innovation

I. SYNTHESE DE L’ANALYSE AFOM ET DES PRINCIPAUX INDICATEURS
Le secteur de la recherche est sous-dimensionné au regard de son poids économique et démographique et l’innovation ne détient qu’une place limitée.
Lécart entre le poids économique et démographique de la région et son potentiel de recherche est important. 4ème région contributrice au PIB national, 3ème région en nombre d’étudiants inscrits dans l’enseignement supérieur, le Nord - Pas de Calais ne se situe qu’au 11ème rang des régions françaises en nombre de chercheurs et en dépenses intérieure de recherche et développement. En termes de productions scientifiques et technologiques, la région se situe respectivement aux 8 et 10ème rang des régions françaises.
La région est marquée par une excellence académique reconnue en biologie santé, physique, mathématiques et dans les domaines plus appliqués que sont les transports, la chimie des matériaux et la catalyse, les nanotechnologies et la photonique, la physique chimie de l’atmosphère. Ces résultats s’adossent à des dynamiques partenariales publiques/privées fortes tant au niveau local qu’au niveau national.
Des secteurs sont en pleine expansion notamment à la croisée des sciences humaines et sociales et du numérique ainsi que dans le domaine de l’énergie électrique.
Les relations avec le monde socio-économique se sont intensifiées notamment dans le cadre de la dynamique des pôles de compétitivité et de la création de la Société dAccélération du Transfert de Technologies (SATT). Les relations entreprises-universités restent toutefois insuffisantes.

La région est également marquée par des coopérations inter-établissements et par un pôle de recherche et d'enseignement supérieur (PRES) de projets associant l’ensemble des établissements universitaires. Cependant les collectifs inter-établissements ne sont pas suffisamment reconnus et certains domaines n’ont pas réussi à dégager de visibilité nationale, voire internationale.

L’absence d’espace de dialogue stratégique unique peut même être considérée comme un frein à la performance globale de la recherche.
La stratégie régionale de linnovation s’organise autour de domaines d’activités stratégiques qui pour la plupart interpellent la recherche.

Toutefois linnovation détient une place limitée en Nord Pas de Calais qui est révélée par le faible nombre de brevets déposés.
Loffre de formation est efficace en région et comporte un bon adossement scientifique sur Lille, l’offre de formation technologique et de formation des ingénieurs est dense ; ces éléments favorisent un taux d’insertion professionnelle supérieur à la moyenne nationale bien que l’offre reste dispersée et peu coordonnée, n’assurant pas la visibilité des sites universitaires.
Certaines caractéristiques sont pénalisantes pour lattractivité et la performance du territoire régional :


  • Un ratio de chercheurs dans des laboratoires A et A+ inférieur à la moyenne nationale ;

  • Une proportion d’étudiants inscrits en 3ème cycle parmi les plus faibles de France ;

  • Un effectif de salariés en entreprises dédiés à la R&D critique.


Loffre de développement technologique est sous dimensionnée au regard à la densité industrielle du territoire.
II. Les enjeux REGIONAUX liés à l’objectif thématique :

1. Des marges de progrès importantes en recherche sont à explorer

La région possède des champs d’excellence confirmés par les résultats du PIA et qui concrétisent des partenariats publics/privés renforcés par les pôles de compétitivité et par un travail en réseau au sein du PRES. Des progrès doivent être recherchés autour des enjeux suivants :




  • Renforcer les points d’excellence scientifiques et technologiques de la recherche ;

  • Renforcer la lisibilité et la visibilité globale de l’offre de recherche ;

  • Soutenir des thématiques d’intérêt majeur ou à caractère fortement exploratoire orientées vers l’excellence et/ou pertinentes par rapport aux stratégies nationale et régionale de la recherche et de l’innovation, ainsi que des défis sociétaux tels que préconisés dans Horizon 2020 ;

  • Accompagner la RDI sur les éco-technologies innovantes.


2. Le développement technologique trouvera son expansion dans l’intensification de l’offre technologique et dans la mobilité de ses acteurs

L’enjeu pour le Nord - Pas de Calais est d’intensifier l’offre technologique. Un enjeu fort pour développer l’innovation est d’accroître la mobilité entre chercheurs, étudiants et salariés d’entreprises pour aller dans le sens d’une acculturation mutuelle.



3. La politique de linnovation doit viser à renforcer le lien entre innovation et développement économique, notamment, pour accompagner le développement des entreprises.

  • Développer le rôle d'intégration des politiques d'innovation par les territoires, appuyé sur les obligations réglementaires issues du Grenelle et sur le SRCAE ;




  • Développer le lien entre innovation et développement économique en s'appuyant sur une stratégie partagée d'aménagement du territoire, et en mettant en place des appels à projets « Zones de compétitivité économique », « Zones d'innovation économique et sociale ».


Les filières agricole, forestière et agroalimentaire

Les enjeux pour ces filières seront de s’adapter aux évolutions de la société tout en intégrant les contraintes fortes du secteur.

Dans ces filières spécifiques, trois grandes catégories d’enjeux existent :




  • Stimuler la recherche publique autour des problématiques d’intérêt pour les filières agricoles, agro-industrielles, sylvicoles et agroalimentaires en réponse aux attentes sociétales et aux contraintes de marché et réglementaires, par exemple : sécurité sanitaire et qualité des aliments, antibiorésistance, réduction des intrants, caractérisation des ressources et des matériaux qui en sont issus, écosystèmes et services écosystémiques des ressources naturelles,….




  • Mettre les laboratoires publics de domaines scientifiques divers au service de lagriculture, de la forêt, des IAA, en favorisant le décloisonnement et la coordination des acteurs en s’appuyant sur les pôles et clusters régionaux (cluster IAA, « pôle » de recherche variétale à constituer, pôle sol et agronomie à renforcer et favoriser l’émergence de nouveaux projets autour de ceux soutenus par le PIA (IFMAS (amidon et plastrugie), Aker (betterave) et Peamust (pois protéagineux)), en encourageant les liens régionaux et les retombées régionales




  • Renforcer le « triangle de linnovation » (recherche académique, recherche appliquée, développement sur le terrain et dans l’entreprise) pour favoriser les échanges, intégrer davantage les PME dans les programmes de recherche collaboratifs et favoriser l’appropriation des résultats par les acteurs économiques des filières. En parallèle, il est nécessaire de renforcer la qualité de l’enseignement supérieur et de la recherche publique (dont ISA pour l’enseignement agricole et alimentaire) et de développer au sein des entreprises la maîtrise des connaissances scientifiques et technologiques


Dans le domaine de l’agroalimentaire, l’enjeu principal est d’assurer une synergie entre les acteurs
Au-delà des propositions du PRAD, on peut noter plusieurs enjeux pour la recherche académique et le développement technologique :


      • L’organisation d’un laboratoire multi-site régional en agroalimentaire fédérant les compétences de Lille1, l’ISA, l’ULCO et l’Artois et associant les centres Adrianor et Nouvelles Vagues ;




      • Le renforcement des liens entre la recherche et les structures Adrianor et Nouvelles Vagues ;




      • Le développement de coopérations transfrontalières franco belges.


Dans le domaine de la pêche maritime et de l’aquaculture, la mutation de la filière doit être assurée en ayant recours à des projets innovants respectueux de l’environnement marin.
Pour préparer la nécessaire mutation de la filière, il faut favoriser l’émergence et le développement de pratiques et projets innovants (développement des navires du futur, moins énergivores et plus polyvalents recherches sur la sélectivité des engins et les nouvelles techniques de pêche, amélioration de la qualité du traitement des captures à bord, stabilisation des process d'aquaculture) et le renforcement de la connaissance du milieu marin.
Différentes actions peuvent contribuer à atteindre ces objectifs :

  • Développer la culture de l'innovation au sein des PME et armements, lors de la formation initiale et continue des professions maritimes ;




  • Impliquer les organisations de producteurs (CME, FROM Nord) dans le pilotage de l’innovation en profitant de leur rapprochement progressif ;




  • Inciter les professionnels à s’intégrer dans des politiques de recherche fondamentale ou appliquée sur le milieu marin, dans une progressive conversion pour partie d'entre eux dans un rôle d'observateurs du milieu, dans le contexte du développement des aires marines protégées ;




  • Renforcer le financement de l'innovation en recherchant la coordination avec le secteur bancaire.

Pour atteindre une meilleure efficacité, il est nécessaire de clarifier la gouvernance et la coordination des acteurs de la recherche et de l'innovation en l'appuyant sur le pôle de compétitivité Aquimer, qui doit organiser la mise en réseau et la collaboration des acteurs publics (notamment la recherche) et privés (notamment les PME et organisations de producteurs). La région avec le pôle Aquimer et la plate-forme Nouvelles Vagues pourrait être un acteur important au niveau national et européen pour la recherche et l’innovation pour les filières pêche et aquaculture. La création de la plate-forme Nouvelles Vagues est récente. Sa consolidation pour en faire un acteur incontournable au niveau européen est un enjeu important pour la région.


Dans le domaine de l’industrie des transports

 

La région doit favoriser le développement de technologies de rupture dans le cadre de grands projets industriels sur les filières d’excellence (véhicules électriques, navires du futur, nouvelles technologies pour l’aéronautique, pour le ferroviaire…)




III. LES ORIENTATIONS STRATEGIQUES QUI EN DECOULENT POUR LA REGION NORD PAS DE CALAIS :
1. Les orientations stratégiques pour la recherche :
Le renforcement des champs d’excellence trouvera son aboutissement en :

- Améliorant l’accueil et l’accompagnement des étudiants et jeunes chercheurs à fort potentiel et l’attractivité de la région pour les chercheurs


- Développant des plates-formes ou des équipements permettant un « bond technologique » ;
- Développant de nouvelles alliances (public/public – public/privé) y compris avec les grands organismes de recherche nationaux

Loffre de recherche sera rendue plus lisible en favorisant les regroupements d’équipes et en travaillant la différentiation du potentiel de recherche des universités non métropolitaines. Cet objectif sera également atteint en accompagnant l’organisation en réseau des universités parallèlement à la création de l’université de Lille

2. Les orientations stratégiques pour le développement technologique :
L’intensification de l’offre technologique se réalisera par l’extension et le renforcement des centres existants, par la création de nouveaux centres liés aux pôles d’excellence économique et par la création d’une offre de services spécifiques à l’échelle des laboratoires en lien avec leur établissement et la SATT.
Le développement d’une offre de conseil et d’expertise reliée aux compétences SHS des laboratoires régionaux et de la Maison Européenne des Sciences de l’Homme et de la Société permettrait d’apporter une réponse à une demande des entreprises et de la société civile.

3. Les orientations stratégiques pour l’innovation :
Les enjeux en termes de projets devront être traduits dans les nouvelles feuilles de route des pôles de compétitivité, avec un accent marqué sur la question de la proximité du marché, de la création d’activités nouvelles à forte création de valeur. A l’échelle régionale, ces questions doivent se traduire dans une vision partagée entre les acteurs mettant en avant la question de la « smart spécialisation » régionale.

IV DECLINAISON TERRITORIALE DES ENJEUX REGIONAUX LIES A L’OBJECTIF THEMATIQUE :

Un des enjeux fondamentaux pour les territoires est de leur donner un rôle d’intégration des politiques d’innovation ; cela passe notamment par une optimisation de la gouvernance de l’innovation au sein des territoires.


1. Les enjeux pour les territoires urbains sont de définir une stratégie d’action favorisant la synergie entre les acteurs pour assurer leur développement économique et la diffusion de l’innovation.
Les objectifs à poursuivre sont les suivants :
- Encourager la mise en réseau de l’excellence et des compétences scientifiques et technologiques pour peser dans les réseaux européens et internationaux ;
- Soutenir la mise en place de clusters associant collectivités locales, entreprises et universités pour renforcer le potentiel de l’économie de la connaissance de chaque région urbaine et l’ancrage territorial de l’innovation ;

- Soutenir des projets de recherche associant des équipes pluridisciplinaires et transversales (ingénierie environnementale, sciences de l’ingénieur, sciences sociales) ;


- Promouvoir le développement de ‘living labs’ associant des acteurs publics et privés pour tester « grandeur nature » des services urbains, des outils ou des usages nouveaux ;
- Soutenir la mise en place d’expérimentations techniques et méthodologiques à l’échelle de projets urbains en évaluant les conditions juridiques et économiques de leur développement.

2. Les enjeux pour les territoires ruraux sont de définir une stratégie d’action en innovation – recherche respectueuse de l’environnement assurant le transfert des connaissances auprès des acteurs du territoire.


  • Encourager des stratégies d’actions à l’échelle des territoires ruraux pour promouvoir le développement économique et l’innovation autour d’enjeux généraux et spécifiques ;




  • Développer la recherche et l’innovation au service du développement durable, notamment : accessibilité, cadre de vie, services, agriculture périurbaine, agritourisme, circuits courts ;




  • Renforcer les différents types d’innovation en milieu rural (technologique, organisationnelle, sociétale, territoriale), en lien avec les niveaux régional et national ;




  • Développer la formation et les transferts de connaissances auprès des acteurs des territoires ruraux (enseignement agricole supérieur, lycées professionnels agricoles, centres de transfert technologique agroalimentaires et instituts techniques agricoles).



3. Les enjeux pour le littoral sont de développer les connaissances scientifiques et technologiques pour promouvoir une pêche durable.


  • Développer les compétences et la maîtrise des connaissances scientifiques et technologiques dans les secteurs de la pêche et de l’aquaculture et développer la formation et les transferts de connaissances auprès des acteurs des espaces littoraux ;




  • Renforcer les actions en direction de la pêche durable, l’aquaculture, les biotechnologies marines et l’ingénierie de l’environnement marin (pôle Aquimer et plate-forme Nouvelles Vagues) ;




  • Développer la mise en réseau des acteurs publics et privés de l’innovation dans les secteurs de la pêche et de l’aquaculture ;



V. LES ENJEUX DE PRISE EN COMPTE DES PRIORITES TRANSVERSALES
1. Le Développement durable et la protection de l’environnement :

Le développement économique doit intégrer l’utilisation de nouveaux matériaux ou de nouvelles technologies tout en assurant sa responsabilité sociale
L’innovation sociale est un des enjeux nouveaux de la Stratégie régionale de l’innovation, en lien avec le développement de l’économie sociale et solidaire et la responsabilité sociale des entreprises.
D’autres enjeux se situent autour des questions d’énergie et de mobilité ou encore les matériaux biosourcés, la transition énergétique et les écotechnologies.

Une analyse précise des priorités doit permettre de focaliser la contribution régionale sur des domaines où nos laboratoires disposent d’avantages compétitifs avérés.



Dans le domaine de la pêche, un des enjeux majeurs est la réduction de l'impact énergétique des navires (navire du futur, moindre exposition aux énergies fossiles).
2. Egalité Hommes Femmes et égalité des chances :

Le domaine de la RDI doit s’assurer d’une bonne représentativité de chaque composante de la société au sein de l’ensemble des acteurs.
Ce point est un point particulièrement sensible par rapport à la démocratisation de l’accès à l’enseignement supérieur. De même pour les études doctorales et l’accès à des postes de chercheurs.
3. Prévention et gestion des risques :

Le secteur de la pêche doit intégrer cet enjeu dans toutes les composantes de la filière.
Dans le domaine de la pêche, l’évolution des navires doit intégrer la prévention des risques sanitaires et la réduction de la forte accidentologie du secteur.





Indicateur régional pour le Nord-Pas-de-Calais

Année

Valeur

Indicateur national

Effort de recherche et développement (dépense de recherche / PIB en %)

2009

0,81

 

Part de la dépense R&D des entreprises (du public) en %

2009

49,5 (50,5)

 

Effectifs de R&D des entreprises en %

2009

46,46

 

Nombre de brevets déposés par voie nationale (au lieu d'installation de l'inventeur)

2010

Région : 249
Nord : 197
Pas-de-Calais : 52

 

Indicateur de potentiel de développement (part des cadres des fonctions métropolitaines en %)

2008

Région : 6,41
Nord : 7,54 %
Pas-de-Calais : 4,15 %

 

Niveau de qualification de la population des 25-34 ans (part des jeunes diplômés) en %

2008

Région : 36,84
Nord : 39,64 %
Pas-de-Calais : 31,69 %

 

2. Améliorer l’accès, l’utilisation et la qualité des TIC



I. SYNTHESE DE L’ANALYSE AFOM ET DES PRINCIPAUX INDICATEURS

Un accès aux TIC acceptable pour le public malgré des infrastructures de qualité moyenne et un taux de pénétration local faible. Des PME-TPE en retard dans la mise en œuvre des outils au service de la compétitivité des territoires.


La région Nord Pas de Calais est une terre de contrastes dans le développement de l’inclusion numérique et la diffusion des usages des nouvelles technologies. Les infrastructures nécessaires au développement des échanges électroniques sont accessibles par le plus grand nombre, mais bien souvent de qualité moyenne. En revanche, l’offre de services est plutôt riche et compétitive, que ce soit pour les entreprises ou les particuliers (plusieurs opérateurs en compétition dans une région dense en population). Malgré des indicateurs socioéconomiques préoccupants, le nombre d’internautes régionaux ne cesse de croître, mais le taux de pénétration local (68%) est encore inférieur de 4 points à la moyenne nationale (72.1%).

En revanche, la région se classe 5ème au niveau national en ce qui concerne le taux de pénétration de la téléphonie mobile. Les grandes entreprises présentes sur le territoire sont bien souvent à la pointe des technologies de l’information et de la communication (vente à distance, logistique, automobile, ferroviaire), alors que les PME-TPE, et les secteurs plus traditionnels de l’agriculture et de la pêche sont plutôt en retard dans la mise en œuvre de ces outils au service de la compétitivité. Les politiques d’accompagnement locales permettent de rattraper les retards et d’envisager de meilleurs résultats dans une région où la population est jeune, et de plus en plus connectée.


II. Les enjeux REGIONAUX liés à l’objectif thématique :


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