Sommaire introduction présentation du contexte et objectif du stage



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PROTOCOLE D’ACQUISITION 4D – CENTRE LEON BERARD

SOMMAIRE

Introduction 1
1 Présentation du contexte et objectif du stage 2

1.1 Problématique du Poumon 2

1.2 Techniques de Traitement 2

1.2.1 Définition des volumes cibles en radiothérapie 2

1.2.2 Le gating en respiration libre 2



1.3 L’imagerie 4D 3

1.4 Intérêt et utilisation du 4D 3

1.5 Objectif du stage 3
2 Etat de l’art : acquisition de CT 4D 4

2.1 Introduction au scanner et ses modes d’acquisition 4

2.1.1 Principe 4

2.1.2 L’acquisition hélicoïdale 4

2.1.3 Les modes de reconstruction 5

2.1.4 Les scanners multicoupes 5

2.2 Protocoles 4D existant dans la littérature 6

2.2.1 Conditions nécessaires et suffisantes pour le 4D 6

2.2.2 Les protocoles d’acquisition 6
3 Matériels et Protocoles d’acquisition au Centre Léon Bérard 8

3.1 Matériels 8

3.2 Marges et protocoles actuels au CLB 8

3.2.1 Comparaison des protocoles de définition des marges 8

en respiration libre et bloquée

3.2.2 Comparaison des protocoles d’acquisition « scan » 9

en respiration libre et bloquée

3.3 Mesures de doses 9
4 Elaboration d’un protocole CT 4D au CLB 12

4.1 Matériels associés 12

4.1.1 Fantôme dynamique 12

4.1.2 Plaque patient 13

4.1.3 Scanner 13



4.2 Méthode sur fantôme 13

4.2.1 Protocole d’acquisition 13

a - Protocole 4D 13

b - Protocole 3D flou 14

4.2.2 Méthode d’extraction du mouvement et de tri 14

4.2.3 Méthode d’analyse : la résolution spatio-temporelle 15

a - Flou de mouvement des images 15

b - Précision et Résolution spatio-temporelle 15



4.3 Méthode avec patient 15

5 Résultats 15

5.1 Les protocoles testés 15

5.2 Le flou de mouvement 16

5.2.1 Constatation en mode hélicoïdal 16

5.2.2 Comparaison des profils du plateau 17

a - Les images 4D 17

b - Les images 3D 18

5.3 La résolution spatio-temporelle 19

5.4 Tri des images 20

5.5 Précision 21

5.5.1 Comparaison des ITV 21

5.5.2 Comparaison des nombres CT 23

5.6 Conclusion 24
6 Essai avec un patient 26
Conclusion 29
Bibliographie
Annexes
Introduction
Les cancers représentent la deuxième cause de mortalité après les maladies cardio-vaculaires. Le cancer du poumon est l’un des plus meurtriers avec près de 27000 décès par an.
Depuis quelques années, la radiothérapie conformationnelle tridimentionnelle connaît un véritable essor car elle permet d’optimiser l’irradiation des volumes cibles pour éviter les récidives, tout en épargnant le plus possible les tissus sains. L’objectif est d’aboutir à une irradiation de très haute précision en intégrant dans la procédure de traitement les derniers développements technologiques de l’imagerie médicale. L’évolution des systèmes de planification de traitement et l’amélioration des moyens de contention personnalisée pour le patient participe massivement à l’objectif.

Cependant la dose tumorale délivrée ne suffit pas toujours à éradiquer certaines tumeurs. Pour pouvoir encore augmenter la dose, une réduction des marges de sécurité est nécessaire mais le risque d’erreurs s’en trouve alors augmenter.


La radiothérapie, exclusive ou associée à une chimiothérapie, constitue le traitement habituel des tumeurs bronchiques. Il s’avère néanmoins qu’elles sont difficiles à irradier en raison des mouvements respiratoires du patient et de la faible tolérance des organes sains avoisinants. Par ailleurs la grande hétérogénéité des tissus traversés ajoute une difficulté dosimétrique.
La prise en compte des mouvements respiratoires lors de la planimétrie est faite de façons différentes dans les hôpitaux ou cliniques, suivant le matériel dont ils disposent. Une première solution consiste à incorporer des marges de sécurité autour de la tumeur. La deuxième possibilité consiste à délivrer l’irradiation à un moment précis, planifié à l’avance. C’est ce que l’on nomme l’asservissement respiratoire.
Actuellement au Centre Léon Bérard, la prise en compte du mouvement au cours de l’acquisition des données est faite par un scanner 3D flou : l’image est acquise pendant un temps correspondant environ à une période respiratoire de sorte à obtenir un flou représentatif du mouvement
L’acquisition d’une image 4D du poumon constitue également une bonne technique d’imagerie dans l’optimisation des marges ou de l’asservissement respiratoire.

Une acquisition 4D représente une séquence d’images 3D au long d’un cycle respiratoire.

Les protocoles actuels synchronisent l’acquisition des coupes avec un signal respiratoire (spiromètre, RPM, ...). Les données sont ensuite triées pour reconstruire des images 3D à des instants différents du cycle respiratoire.
L’objectif de mon stage est de déterminer un protocole d’acquisition 4D CT thoracique. Pour cela la conception d’un fantôme de mouvement pseudo-sinusoïdal en antéro-postérieur a été nécessaire pour l’évaluation du protocole. Le matériel d’imagerie utilisé est un scanner MX8000 du PET-SCAN à 2 barrettes. Les images obtenues ont été comparées à celles du protocole utilisé actuellement au CLB.


  1. Présentation du contexte et objectif du stage


1.1 Problématique du poumon
Le cancer du poumon est une des pathologies tumorales les plus difficiles à traiter.

La radiothérapie exclusive ou associée à une chimiothérapie constitue le traitement habituel de ces tumeurs. Cependant les incertitudes de traitement dues aux mouvements respiratoires expliquent la difficulté de traitement. En effet, le mouvement respiratoire implique une difficulté balistique : lors des acquisitions d’images scanner destinées à la planimétrie de traitement, le mouvement induit flou et artéfacts.




    1. Les techniques de traitement

L’inclusion incomplète du volume tumoral en raison des mouvements respiratoires et l’impossibilité de délivrer des doses supérieures à 60-66 Gy (proximité des Organes A Risques), et donc de délivrer des doses requises pour obtenir une probabilité de contrôle satisfaisante expliquent en partie les mauvais résultats. La radiothérapie conformationnelle, utilisant des champs d’irradiation réduits, incorpore, faute de données précises, des marges de sécurité empiriques de 1.5 à 2 cm issues de la radiothérapie conventionnelle. Pour diminuer ces marges il existe plusieurs techniques de traitements  :

- le traitement par blocage respiratoire grâce à l’utilisation d’un spiromètre, ou de l’Active Breathing Coordinator.

- le traitement en respiration libre réalisé :

* ou bien par la mesure de l’amplitude thoracique que l’on inclut dans le calcul des marges de sécurité (§1.2.1),

* ou bien en délivrant l’irradiation à un moment précis, planifié à l’avance du cycle respiratoire. C’est ce que l’on appelle le gating en respiration libre. Généralement le moment respiratoire choisi se situe en expiration, phase la plus reproductible du cycle respiratoire (§1.2.2).



1.2.1 Définition des volumes cibles en radiothérapie
En radiothérapie de conformation, l’amplitude des marges de sécurité conditionne la précision du traitement. Leur surestimation entraîne une exposition accrue des tissus sains avec augmentation du risque de complications. L’ICRU a spécifié les marges à appliquer :

- le 1er volume, le volume macroscopique (GTV) comprend les zones tumorales visibles en imagerie

- autour du GTV, le volume cible anatomoclinique (CTV) prend en compte les zones susceptibles d’être envahies

- autour du CTV, l’ITV (le volume qui nous intéresse plus particulièrement) prend en compte les mouvements du CTV (s’il y en a)

- autour de l’ITV (ou du CTV s’il l’on considère que le mouvement est nul), le PTV est défini par l’addition d’une marge de mise en place afin de prendre en compte les incertitudes de positionnement pendant le traitement.
1.2.2 Le gating en respiration libre
Le gating en respiration libre consiste en un déclenchement automatique des appareils de traitement qui sont synchronisés à un niveau respiratoire donné. Le système le plus utilisé pour le suivi du rythme respiratoire est le Real-time Position Management : un cube radiotransparent placé sur le thorax du patient réfléchit le rayonnement infrarouge émis par un laser. Une caméra recueille en temps réel les données de positionnement des réflecteurs représentant le mouvement du thorax. Ce signal est analysé par un logiciel qui commande le déclenchement de l’appareil en fonction de critères prédéfinis.

1.3 L’imagerie 4D (ou 4D CT)
La tomodensitométrie corrélée à la respiration ou acquisition tomodensitométrique 4D est définie comme l’acquisition d’une séquence d’images TDM 3D définie sur des moments consécutifs du cycle respiratoire [Keall 2004].

L



PHASE INSPIRATION

INSPIRATION MOYENNE

EXPIRATION MOYENNE

PHASE EXPIRATION
e principe consiste en une acquisition suréchantillonnée d’un certain volume patient, synchronisée avec le cycle respiratoire de ce dernier. L’intérêt est de reconstruire un examen complet pour chaque phase du cycle respiratoire : à chaque coupe TDM correspond une information indiquant sa situation dans le cycle respiratoire. Il est alors possible d’attribuer à chaque coupe sa position dans le cycle respiratoire, et de sélectionner les coupes correspondant à même moment respiratoire (fig 1).


Fig 1 – Représentation schématique du principe du tri des images sur 4 instants du signal respiratoire (en haut)



1.4 Intérêt et utilisation du 4D
Une image 4D CT permet ainsi la quantification du mouvement de la tumeur entre chaque phase. Cette information permet :

- le choix de la modalité de traitement ; selon l’importance du mouvement on s’oriente vers le blocage ou la respiration libre ;

- le choix de la phase optimale où les mouvements sont les plus petits pour l’utilisation du gating ;

- la comparaison des plans dosimétriques réalisés à des temps respiratoires différents ;

- la mise en place de marges personnalisées pour aboutir à l’ITV ;
1.5 Objectif du stage
Le but du stage est de déterminer un protocole pour l’acquisition d’images thoraciques 4D CT en respiration libre avec le matériel disponible au Centre Léon Bérard afin de mesurer l’impact sur le plan de traitement.
2 Etat de l‘art : acquisition de CT 4D
2.1 Introduction au scanner
2.1.1 Principe



L
Fig 2 – Scanner 3ème génération


es scanners les plus couramment utilisés sont des scanners de 3ème génération (fig 2). Le faisceau de RX est en éventail et le nombre de détecteurs est au nombre de 500 à 1000. L’acquisition consiste en plusieurs centaines de projections par rotation de l’ensemble tube-détecteurs sur 360°. La mesure des détecteurs représente la somme des coefficients d’atténuation linéique traversés par les RX. Le processus de reconstruction permet de calculer le coefficient d’atténuation du tissu de chaque voxel. Le nombre CT (nombre d’Hounsfield) relié au coefficient d’atténuation du voxel est attribué à chaque pixel correspondant.

NCT = 1000 x (μtissus – μeau)/μeau


Le processus de reconstruction est la rétroprojection filtrée : un filtre mathématique est appliqué à chaque projection. Les projections filtrées sont ensuite étalées dans l’image en respectant l’angle d’acquisition ; l’image obtenue est ainsi la superposition de toutes les rétroprojections des projections filtrées.
2.1.2 L’acquisition hélicoïdale

Les scanners les plus récents ont un mode d’acquisition axial ou hélicoïdal (fig3). Ce dernier correspond à la possibilité de combiner une rotation continue du couple tube-détecteurs autour d'un lit d'examen, se déplaçant à vitesse constante durant l'acquisition. Le tube à rayons X réalise ainsi un déplacement en hélice, décrivant un cylindre, si on se place dans un repère lié à la table. Le déplacement de la table pendant un tour de rotation du tube à rayons X est déterminé par le facteur d’acquisition « pitch ». Le déplacement de table sur 1 tour est égal au pitch multiplié par la collimation nominale du faisceau ou épaisseur couverte par le faisceau selon l’axe de la table (sens tête-pied du patient).

Les coupes sont jointives lorsque le pitch est égal à 1 : la distance parcourue est égale à l’épaisseur balayée. Il y a superposition d’information lorsque le pitch est inférieur à 1 et perte d’information lorsqu’il est supérieur à 1.



Fig 3 – Acquisition hélicoïdale en tomodensitométrie


Chaque projection est indexée à l’axe Oz en raison du déplacement du lit et correspond à un angle de rotation précis. Si l’on considère un plan de reconstruction à une position précise dans l’axe Oz, un seul point de l’hélice croise le plan de reconstruction : une seule projection est réellement mesurée. Il faut calculer par interpolation toutes les autres projections du plan de coupe d’angle 0° à 360° (Fig 4).




Fig 4 – Principe de reconstruction en spiralé

2.1.3 Les modes de reconstruction
Les deux algorithmes d’interpolation les plus fréquemment utilisés sont :
·        l’algorithme 360° linéaire : il interpole les données mesurées à deux positions angulaires identiques avant et après la position du plan de reconstruction. Il utilise donc les données « distantes » de 360° puis pondère les projections selon leur distance au plan de reconstruction.

·        l’algorithme 180° linéaire : il est similaire à celui utilisé en 360° linéaire mais n’emploie que les données acquises durant une rotation de 360°. Les projections manquantes sont considérées comme similaires à celles mesurées avec l’angle symétrique. Par exemple les données obtenues à 270 (90° + 180°) sont similaires à celles recueillies à 90°.

L’incrément correspondant à l’espacement des coupes est un ainsi un paramètre de reconstruction en mode hélicoïdal ; en mode axial c’est un paramètre d’acquisition.
2.1.4 Le scanner multicoupe
P

arallèlement à cela on distingue les scanners multicoupes des monocoupes : sur un scanner monocoupe les détecteurs (500 à 700 disposés en arc de cercle autour de la table (axe z)) sont répartis sur une seule couronne dans l’axe z ce qui permet l’obtention d’une coupe par rotation de tube.

L
Fig 5 - Combinaison des détecteurs sur 1 barrette composée de détecteurs de différentes largeurs


a technologie multicoupe repose sur la succession de barrettes (2 à 64 en général) de détecteurs dans l’axe z : en mode axial (ou séquentiel), cela permet d’obtenir plusieurs coupes par rotation de tube ; en mode hélicoïdal (ou spiralé), une coupe peut être obtenue par l’association des données de plusieurs barrettes contiguës. L’information provenant des détecteurs est récupérée par un système d’acquisition des données appelé canal. Le nombre de canaux définit le type de scanner multibarrette car il correspond au nombre maximal de barrettes que peut traiter le système par rotation. La largeur de chaque détecteur peut être identique sur l’ensemble de la couronne ou hybride.
La largeur et le nombre des détecteurs conditionnent :

- l’épaisseur minimale de la coupe (0.5mm minimum en mode axial et 0,6mm en mode hélicoïdal si la taille du détecteur est de 0,5mm)

- le nombre de coupes en mode axial.
2.2 Protocoles 4D existants dans la littérature

2.2.1 Conditions Nécessaires et Suffisantes pour l’acquisition 4D [Pan 2005]

En mode axial, le temps de cycle ou le temps à une position donnée doit être supérieur ou égal au temps respiratoire du patient additionné au temps de reconstruction d’une image. Ce dernier est égal au temps de rotation avec un algorithme d’interpolation de 360° et au 2/3 du temps de rotation du tube avec un algorithme d’interpolation de 180° (240° en comptant l’angle du faisceau de 60°).

En mode hélicoïdal l’avancée de la table pendant le cycle respiratoire doit être inférieure ou égale à la largeur de détection (correspondant à l’épaisseur de coupe) . Ceci se traduit par la relation :

Pitch ≤ Temps rotation/ (Cycle respiratoire+Temps rotation)

pour une interpolation de 360°
Pitch ≤ Temps rotation/ (Cycle respiratoire+ 2/3 Temps rotation)

pour une interpolation de 180°


2.2.2 Les Protocoles d’acquisition
En pratique un grand nombre de coupes TDM fines et jointives sont acquises en continu ; le patient respire librement pendant que son cycle respiratoire est enregistré.
Le tableau ci-dessous résume les différents protocoles d’acquisition 4D CT utilisés d’après la littérature. Quel que soit les paramètres programmés, il a fallu utiliser dans tous les cas un système de synchronisation entre le cycle respiratoire du patient et l’acquisition des images. C’est ce système qui permet de relier à postériori l’instant respiratoire du cycle à chaque image et de trier rétrospectivement les coupes obtenues. La plupart utilisent le RPM (Real-Time Position Management). Par ailleurs, en mode hélicoïdal le tri des données se fait avant la reconstruction, au niveau du sinogramme.


Auteur

système de synchronisation

nbre canaux

scanner


mode

ép. (mm)

tps rotation

tps cycle (axial)

Pitch

(spiralé)



Ford

2002


RPM

1 canal

Philips PQ5000



spiralé

3

1,5 s

/

0,5







1 canal

axial

3

1 s

/

/

Low

2003


spiromètre

4 canaux

Siemens


axial

2,5

0,5 s

tps respi + tps rot

/

Keall

2004


RPM

16 canaux

Philips MX8000 IDT



spiralé

3

0,5 s

/

0,125

Nehmeh

2004


RPM

4 canaux

GE Lightspeed



axial

2,5

0,5 s

tps respi + 1s

/

Pan

2004


RPM

4 canaux

GE Lightspeed



axial

2,5

0,75 s

tps respi+ tps reconst.

/

RPM

8 canaux

GE Ultra


axial

2,5

0,8 s

tps respi+ tps reconst.

/

Rietzel

2005


RPM

4 canaux

GE Lightspeed



axial

2,5

0,8 s

tps respi + tps rot

/

Pan

2005


RPM

4 canaux

Lightspeed RT



axial

2,5

1 s

tps respi + 2/3 tps rot

/

RPM

8 canaux

Lightspeed Ultra



axial

2,5

0,5 s

tps respi + 2/3 tps rot




RPM

16 canaux

axial

1,25

0,5 s

tps respi + 2/3 tps rot







RPM

4 canaux

Lightspeed RT



spiralé

2,5

1 s

/

0,214




RPM

4 canaux

Lightspeed Plus



spiralé

2,5

0,5 s

/

0,115




RPM

8 canaux

Lightspeed Ultra



spiralé

2,5

0,5 s

/

0,115




RPM

16 canaux

spiralé

1,25

0,5 s

/

0,115

Si l’on compare le mode axial et le mode hélicoïdal, avec des conditions d’acquisition de données suffisantes pour le 4D-CT, le mode axial s’avère être le mieux adapté pour l’acquisition 4D [Pan 2005] ; son inconvénient reste le temps d’acquisition relativement lent mais qui peut être amélioré lorsque le nombre de canaux du scanner augmente.
Les inconvénients principaux du mode spiralé sont le rendement de dose et le profil de coupe ; le rendement de dose est défini comme le rapport entre le temps utilisé pour la reconstruction des images et durant lequel le patient est soumis aux RX sur le temps total durant lequel le patient est « irradié ». En mode axial le rendement est de 100% : toutes les données collectées sont utilisées pour la reconstruction d’images. En mode hélicoïdal il est compris entre 90 et 100%.

On constate également un élargissement du profil de coupe du à l’interpolation des données à la reconstruction en mode hélicoïdal alors qu’en mode axial le profil de coupe correspond à la collimation de la coupe de l’acquisition.


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