Veille pédagogique



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Extrait de la Veille éducation numérique, Eduscol – 23 octobre 2013

Un vade-mecum de l'open data
Le gouvernement français publie un vade-mecum sur l’ouverture et le partage des données publiques (open data). Ce guide est destiné aux administrations pour les orienter dans la mise à disposition et la libre exploitation de leurs données via le portail data.gouv.fr.
►Voir sur Eduscol
http://eduscol.education.fr/numerique/actualites/veille-education-numerique/octobre-2013/vade-mecum-open-data




Extrait de la Veille éducation numérique, Eduscol – 18 octobre 2013

Apprentissage mobile : principes directeurs et questions clés
L'Unesco propose dans une récente publication (2013) une définition de l'apprentissage mobile et analyse la manière dont cet apprentissage peut être mis en relation avec les politiques des TIC existantes et les politiques éducatives nationales et locales.
►Voir sur Eduscol
http://eduscol.education.fr/numerique/actualites/veille-education-numerique/octobre-2013/apprentissage-mobile-principes-directeurs




Extrait de la Veille éducation numérique, Eduscol – 14 octobre 2013

Les MOOCs dans le monde francophone
Le succès grandissant des cours ouverts, massifs et à distance se confirme avec le développement de nouvelles plateformes en ligne et la poursuite d'initiatives entamées pour la plupart en 2012, année de référence en la matière dans le monde universitaire français en particulier. Un certain nombre de projets font aujourd'hui l'objet d'une attention particulière dans le monde francophone. Il convient donc d'en effectuer un état des lieux soulignant les spécificités de chacune des initiatives.
►Voir sur Eduscol
http://eduscol.education.fr/numerique/actualites/veille-education-numerique/octobre-2013/developpement-moocs-monde-francophone




Extrait de la publication mensuelle du « Café pédagogique », octobre 2013

Neurosciences et éducation : Une alliance prudente
L'IFé consacre un Dossier d'actualité aux neurosciences et l'éducation. Un coupe fort à la mode qui est même devenu un enjeu politique et syndical. Le dossier de l'IFé rappelle les acquis des neurosciences en montrant par exemple à quel point ils ont renouvelé l'approche des "dys".
http://www.cafepedagogique.net/lexpresso/Pages/2013/09/17092013Article635150008840965555.aspx




Extrait de la publication mensuelle du « Café pédagogique », octobre 2013

Les enseignants et les TICE : Un mariage de raison
L'intégration des TICE est bien partie nous dit cette étude suisse. Elle a suivi sur les années 2006 à 2012 l'évolution des attitudes des enseignants envers les TICE. Et conclue de façon relativement optimiste.
" Un premier constat s'impose à la lecture des résultats : les attitudes motivationnelles des enseignants ont évolué positivement entre 2006 et 2012 en faveur de l'intégration des TICE. Notons en particulier l'augmentation significative de l'attrait des TICE et du sentiment de compétence des enseignants à la fois dans la maîtrise technique des TIC, dans l'évaluation du potentiel pédagogique de ces nouveaux outils et dans leur intégration pédagogique en classe. Cette évolution témoigne à nos yeux d'un changement de posture des enseignants qui considèrent les technologies de plus en plus comme une ressource pertinente pour l'enseignement", affirme l'étude. Mais , " le regard des enseignants au sujet de la plus-value représentée par les TICE n'a pas évolué au même titre que leur sentiment de compétence ou l'attrait de l'intégration des TICE".
L'étude s'interroge donc sur les leviers à actionner pour faire évoluer le sentiment d'utilité des TICE. "Ce constat renforce la nécessité d'orienter plus que jamais les formations à l'intégration des TICE vers la résolution de problèmes concrets (organisation, différenciation, motivation des élèves, etc.) et pédagogiques rencontrés par les enseignants dans leur pratique quotidienne". Reste qu'en lycée, ce sentiment a diminué.
L'étude
http://formation-profession.org/fr/files/numeros/2/v20_n02_177.pdf

Dossier : Education mobile : Après les TBI et les tablettes, les smartphones ? Quelle innovation à l'école !
Si l'année scolaire 2012-2013 a été marquée par le remplacement des TBI par les tablettes, dans le paysage des TIC en éducation, l'année 2013-2014 sera-t-elle celle qui verra le triomphe des smartphones ? Observant depuis plus de trente années que les objets techniques se succèdent et se remplacent dans le paysage médiatique, on peut être tenté de penser que cela va continuer. Une enseignante qui déclarait abandonner une expérimentation qu'elle avait mené durant quatre ans avec ses élèves n'a pas hésité à penser qu'il lui suffirait de prendre la nouveauté technique d'après pour continuer à être "en haut de la vague" médiatico-technologique. Relayés par les concepteurs et vendeurs, ces enseignants, que l'on dit parfois innovants (?) sont souvent les alliés objectifs, parfois revendiqué, des sphères qui les promeuvent.
Qu'a-t-on observé cette année ? La déferlante des tablettes. Cette déferlante est-elle similaire à celle des TBI des années qui ont précédé ? La comparaison entre les deux objets et la persistance argumentative des vendeurs de TBI dans l'élargissement de leur offre aux boitiers de votes et même aux tablettes peuvent nous éclairer. Du coté des vendeurs pas de changement : un produit séduit, il est vendable pour peu que l'on sache désigner cette séduction et l'habiller des vertus qui vont avoir un écho auprès des enseignants. Du coté des enseignants, les choses sont bien différentes. Quelques points d'observation permettent de le confirmer :
1 - Appropriation : il n'y a pas photo ! La tablette doit son succès au fait que chaque nouvel utilisateur peut très vite parvenir à un résultat honorable sans connaissances informatiques particulières. Les enseignants habitués à se battre avec des ordinateurs parfois vétustes, parfois lents, en particulier à la mise en route y ont immédiatement vu un intérêt pédagogique. Les TBI eux, doivent leur succès aux démonstrations magistrales. Elles mettent l'enseignant en valeur comme "chef d'orchestre numérique" de la classe. Comme l'écart avec les pratiques magistrales est faible, le succès est vite arrivé du coté des constructeurs. Mais c'est du coté des usagers que les choses se sont rapidement calmées : les usages ultra majoritaires sont des usages de vidéoprojection simple. Car l'appropriation des logiciels de TBI ainsi que de l'appareil lui même révèle quelques obstacles : calibrage des crayons, surface d'affichage dédiée, alimentation électrique, connectique etc.
2 - Adaptation au contexte de la classe. Nombre d'enseignants qui ont vu arriver certains TBI se sont retrouvés avec un espace restreint de travail. De plus le mot interactif, vanté dans les publicités ne portait que sur l'utilisateur unique, pas sur la classe (ce que les premiers expérimentateurs ont rapidement contourné avec des tablettes graphiques sans fil pour permettre aux élèves d'agir). Du coté des tablettes, l'affaire est bien différente, car l'analogie avec le papier et le livre a rapidement rencontré l'imaginaire commun. Peu encombrant, à portée de la main, démarrant instantanément, la tablette se glisse facilement dans le paysage de la classe qu'il ne perturbe pas. De plus la possibilité pour chacun des élèves d'agir et le développement des solutions collaboratives facilitent grandement la mise en oeuvre de ce que l'on nomme interactivité. Il est vrai que par contre, l'enseignant, face à une classe de tablettes ne bénéficie pas de la focalisation de l'attention que permet le tableau. Les risques de dispersion sont bien réels, surtout si Internet est accessible. Conduire la classe, avec des tablettes est bien différent d'avec le TBI. On ne peut que constater que les "objets techniques" ne sont pas de simples outils et que leur "affordance" doit être prise en compte dans les choix pédagogiques.
3 - Efficience et infrastructure. Pour le TBI l'analogie avec le tableau à craie ou à feutre effaçable est évidente et confirmée par la majorité des usages. Cela signifie donc que l'on a certes un enrichissement par la projection numérique (et parfois par l'usage de l'interactivité machinique), mais que l'on n'a pas forcément une amélioration, si tant est que la comparaison soit possible. Avec la tablette les choses se compliquent, car au delà de l'analogie avec le papier ou le livre, le décalage est important par le simple fait que l'on peut y intégrer aussi bien les moyens de lecture que les moyens d'écriture, multimédia, mais aussi on peut envisager de communiquer de plusieurs manières dans et hors la classe. Dès lors l'efficience de l'objet va dépendre réellement de la stratégie pédagogique mise en place par l'enseignant. Il faut ici ajouter que les besoins en infrastructure, réseau etc., sont plus importants pour les tablettes. C'est en particulier l'alimentation électrique et le réseau wifi qui peuvent poser problème.
Les enseignants qui voient ainsi se succéder les objets dans leur environnement cherchent bien évidemment à donner sens à tout cela. Ils commencent, et on l'observe souvent, au plus près de leurs pratiques habituelles par se familiariser avec ces objets nouveaux. L'innovation, quand elle est identifiée, est bien souvent soit dans la réponse à des questions de situation d'enseignement faisant problème, soit dans l'envie de mettre un objet en service et ainsi d'essayer quelque chose qui est considéré comme innovant, ne serait-ce parce que l'objet est nouveau. Mais beaucoup d'enseignants subissent les objets : soit parce qu'on les leur impose dans leur environnement, soit parce que les élèves les utilisant, ils se sentent contraints.
Jusqu'à récemment l'informatique, les TIC ne s'étaient imposés dans les écoles que par volonté politique, mais à partir du moment où les objets sont devenus transportables, ils ont aussi fait partie du quotidien des élèves, et bien plus encore, certains élèves ont commencé à les amener dans l'établissement. Si avec les téléphones portables cette irruption était relativement maîtrisable, les smartphones apportent un potentiel jusque là peu souvent présent en classe. Or désormais du smartphone à la tablette, l'environnement d'information communication personnel du jeune prend place dans son vécu d'élève. Est-ce pour autant qu'il faut s'en emparer dans les classes ? Ce n'est pas certain. L'enseignement et le système scolaire sont habitués à piloter les objets qui peuplent l'espace de leur activité ainsi que de celle des élèves. Accepter l'irruption d'objets concurrents, c'est aussi risquer d'accepter l'idée d'une certaine perte de contrôle, à moins que cette arrivée soit travaillée par les équipes de manière constructive et pas seulement de manière défensive. Pourquoi me dira-t-on ? Parce qu'une urgence monte : celle du sens à donner aux objets techniques. Comment construire ce sens sans se confronter directement à ces objets ? Le sanctuaire que pourrait être l'école deviendrait alors un lieu d'exclusion plutôt qu'un lieu de protection.
Après une année marquée pas le volontarisme ministériel autour du numérique, de nouveaux écueils guettent le monde scolaire et universitaire : faut-il réagir à tout, tout de suite, comme certains le font dès qu'une nouveauté est médiatisée ? Faut-il attendre que les choses se calment au risque de passer pour frileux, voire opposant au progrès ? Ni l'un ni l'autre. Il faut probablement transformer l'approche en pensant non pas nouveauté mais constante. Or ce qui est constant dans l'activité d'enseignement c'est la nécessité de travailler au quotidien comme un artisan, en évitant que le prêt à porter numérique ne vienne effacer la nécessaire prise en compte du sur-mesure pédagogique. Chaque élève, chaque jeune est un chemin d'apprentissage différent. Si nous voulons utiliser des objets techniques, que ce soit toujours pour faciliter ces chemins, si particuliers, si personnels.
Bruno Devauchelle
Toutes les chroniques de B. Devauchelle
http://www.cafepedagogique.net/lesdossiers/Pages/2012_BDevauchelle.aspx

Une véritable réflexion pour l'apprentissage mobile
L'Unesco prépare sa nouvelle conférence sur l'apprentissage mobile. L'organisation publie un ouvrage de réflexion sur cet apprentissage qui mutualise les informations sur ce qui se pratique et pose des jalons pour le développement de l'enseignement nomade.
L'ouvrage fait le lien entre apprentissage mobile et école inclusive. L'intérêt du mobile c'est qu'on peut équiper à faible coût tous les élèves, quitte à avoir un stock de téléphone à prêter dans l'établissement.
L'apprentissage mobile pose évidemment des questions techniques. Le BYOT (bring your own technology) suppose des plateformes adaptées. L'Unesco recommande que tous les sites nationaux d'éducation soient accessibles aux mobiles. Il souhaite aussi le développement de ressources comme cela se fait déjà dans de nombreux pays en voie de développement.
Mais l'apprentissage mobile est aussi un défi pédagogique qui est exploré dans l'ouvrage. Défi parce que l'enseignement peut être destiné à tout le monde tout le temps. Il permet une véritable éducation inclusive. Défi parce qu'il ouvre la classe. On peut avoir un enseignement "situé" c'est à dire qui utilise le terrain. Ainsi l'éducation mobile ouvre de nouvelles perspectives aux systèmes éducatifs.
Ouvrage Unesco
http://unesdoc.unesco.org/images/0021/002176/217638f.pdf
L'enseignement nomade
http://www.cafepedagogique.net/lexpresso/Pages/2013/02/19022013Article634968550127404483.aspx
Peut-on enseigner avec des mobiles ?
http://www.cafepedagogique.net/lexpresso/Pages/2012/07/16072012Article634780360383448981.aspx




Extrait de la publication mensuelle du « Café pédagogique », octobre 2013

Le ministère impulse le B2i au lycée
Publié au Journal officiel du 7 août, un arrêté modifie le B2i lycée à compter de la rentrée 2013. Le J.O. annonce une circulaire d'application début septembre. Avec cette nouvelle définition du B2i, le ministère semble vouloir faire entrer dans les pratiques une évaluation des compétences numériques largement restée à la porte des établissements.
Le nouvel arrêté remplace le texte précédent de 2006 et entre en application en 2013-2014. Il établit que " l'évaluation des compétences du brevet informatique et internet lycée fait l'objet d'un travail régulier tout au long des trois années du lycée" et que "tous les enseignants sont susceptibles de contribuer à la validation de ces compétences". Mais il précise aussi que " l'attestation est délivrée par le chef d'établissement sur proposition du professeur principal". Certes, c'est "après consultation de l'équipe pédagogique de la classe lorsque sont validés 80 % des items constitutifs du B2i et au moins la moitié des items de chacun des domaines".
Une importante mise à jour...
L'arrêté définit aussi les compétences évaluées. Le ministère a fait un important nettoyage du texte de 2006. On retrouve les 5 domaines de 2006 mais dans une rédaction plus précise. A l'intérieur de chaque domaine, le référentiel ne sépare plus connaissances et compétences. Il ne traite que des compétences et elles sont plus ambitieuses ou plus en accord avec les pratiques réelles des jeunes.
Ainsi, pour le domaine 5, on n'a plus les "connaissances principales ("Il existe des outils de communication permettant des échanges en mode direct ou en mode différé")" et des "capacités" de l'autre (" produire et diffuser un message ou un commentaire en choisissant le mode de communication, privé ou public en mode direct ou différé, selon l'information à diffuser ; recevoir un message y compris avec pièces jointes ou un commentaire)". A la place, le nouveau texte identifie des compétences. " Connaître et prendre en compte les critères d'accessibilité. Choisir des types de présentation adaptés au mode de communication. Publier un document en s'appuyant sur des ressources dont l'élève n'est pas l'auteur dans le respect des règles (droit de citation, respect des licences, etc.). Participer à une production numérique collective (site collaboratif, wiki, etc.) dans un esprit de mutualisation, de recherche ; choisir des stratégies collaboratives adaptées aux besoins. S'exprimer via les réseaux en identifiant la qualité de l'espace de publication (publique, privée, professionnelle, personnelle). Participer à un débat en ligne dans le respect des interlocuteurs (Nétiquette)."
Qui se heurte à la question des compétences...
Ces compétences correspondent d'assez près à celles attendues des élèves par les enseignants. Elles sont souvent mises en action pour les TPE en lycée général. Et les enseignants y font appel quand ils utilisent les TICE avec les élèves. Le texte répond aussi aux exigences de la société qui attend des jeunes un bagage minimum en matière numérique. Et le nouvel arrêté n'innove pas en annonçant "une feuille de position élève" publiée avec la circulaire de mise en oeuvre attendue début septembre.
Mais combien de lycéens ont obtenu le B2i en 2012-2013 ? Mystère ! Probablement fort peu. Pourtant une circulaire de 2005 annonçait son intégration prochaine au baccalauréat. Dès 2007, des documents pédagogiques étaient publiés par l'institution pour montrer aux enseignants des lycées comment intégrer la validation du B2i dans les enseignements. Or, depuis 2006, il ne s'est pas passé grand chose. Et l'ambition d'étendre au lycée l'expérience du B2i collège semblait oubliée. Avec de bonnes raisons ! C'est qu'au collège, bien que le B2i soit exigé pour obtenir le brevet, son déploiement est tout sauf facile. Si tous les élèves ou presque décrochent la certification, les chefs d'établissement y mettent souvent la main et les élèves détenteurs du B2i sans même le savoir ne sont pas rares. C'est que le B2i participe à la mise en place de l'approche par compétences dans le secondaire. Or celle-ci a du mal à trouver sa place dans un système éducatif construit sur une autre logique.
Il sera intéressant de voir si la circulaire d'application réitère l'annonce d' une intégration au bac. D'observer également l'effort de formation du ministère. A défaut, le nouveau texte pourrait connaître un succès équivalent à l'arrêté de 2006.
Liens :

L'arrêté
http://www.legifrance.gouv.fr/affichTexte.do?cidTexte=JORFTEXT000027811513&dateTexte=&categorieLien=id


La circulaire
http://www.cafepedagogique.net/lexpresso/Pages/2013/08/30082013Article63513447036491 8197.aspx
La feuille de position
http://www.cafepedagogique.net/lexpresso/Pages/2013/08/23082013Article63512838368604 0766.aspx
Si le B2i était conté aux enseignants
http://www.cafepedagogique.net/lemensuel/laclasse/Pages/2013/142_5.aspx
Dossier de 2004
http://www.cafepedagogique.net/lesdossiers/Pages/b2i2004_index.aspx
Dossier de 2001
http://www.cafepedagogique.net/lesdossiers/pages/b2i_index.aspx
La réforme de 2006
http://www.cafepedagogique.net/lesdossiers/Pages/r2006_gen26.aspx
La mise en place au lycée en 2007
http://www.cafepedagogique.net/lemensuel/lenseignant/documentation/Pages/2007/85_CDI_B2i_1.aspx
Documents pédagogiques d'accompagnement du B2i Lycée
http://www.ac-paris.fr/portail/jcms/p1_306225/b2i-lycee




Extrait de la lettre d’information Eduscol – 9 octobre 2013

L'intégration pédagogique des TIC

L'ACELF (Association canadienne d'éducation de langue française) a publié au printemps 2013 un numéro de sa revue Éducation et francophonie intitulé « TIC et éducation : avantages, défis et perspectives futures »


L'intégration pédagogique des TIC

Compte-rendu du colloque Cyber-Langues 2013

Le colloque Cyber-Langues s'est tenu du 27 au 29 août dernier autour du thème "La classe à l'heure du numérique". Le compte-rendu de ces trois jours d'interventions et d'ateliers est disponible en ligne.


Compte-rendu du colloque Cyber-Langues 2013

La motivation des enseignants pour les TIC

Une étude suisse effectue une analyse de « l'évolution des attitudes des enseignants vis-à-vis de l'intégration des TICE » dans le canton de Fribourg. Les résultats des recherches montrent une augmentation du sentiment de compétence...
La motivation des enseignants pour les TIC


Tour d'horizon des agrégateurs de flux RSS

Serge Courrier propose en ligne une imposante synthèse visant à recenser les nombreuses solutions logicielles en matière de gestion de flux RSS. Cette étude est plus particulièrement destinée aux professionnels de l'information et de la veille.


Tour d'horizon des agrégateurs de flux RSS

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