Veille pédagogique



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Extrait de la publication mensuelle du « Café pédagogique », 4 novembre 2013

Rendez-vous à la 18e édition du salon Educatec-Educatice
Les professionnels de l'enseignement engagés dans l'innovation et le multimédia vous donnent rendez-vous à la 18e édition du salon Educatec-Educatice, à Paris du 20 au 22 novembre. Educatec-Educatice présente en une unité de temps, de lieu et d'action, l'offre éducative la plus complète sur son marché.
Pendant trois jours, des personnalités marquantes du scolaire et du supérieur se succéderont pour informer et débattre sur des sujets de fond, lors de conférences de hauts niveaux et plénières de qualité. Une conférence, dressera, le mercredi 20 novembre à 12h00, un état des lieux de la formation des enseignants au numérique, qui est aujourd'hui une réelle nécessité pour favoriser l'usage du numérique dans les classes. La création des Ecoles supérieures du professorat et de l'éducation (Espé) est une réponse concrète à cette problématique : le numérique y occuperait une place de choix. Mais qu'en est-il réellement ? Colombe Brossel, Adjointe chargée de la vie scolaire à la ville de Paris, interviendra lors de la conférence « Collectivités mairies : Ecole et numérique, comment rattraper le retard ? », le jeudi 21 novembre à 9h30. Le numérique est aujourd'hui peu présent dans les établissements primaires. Comment inverser la tendance ? Quels moyens mettre en oeuvre ?
Le Café Pédagogique animera deux conférences phares : « TICE et pratiques innovantes » le mercredi 20 novembre à 15h30, et « Les usages des tablettes dans l'éducation », le jeudi 21 novembre à 12h00.
Le programme
http://www.educatec-educatice.com/
Demandez votre badge (gratuit)
http://www.educatec-educatice.com/preinscription.html




Extrait de la publication mensuelle du « Café pédagogique », 4 novembre 2013

Numérique : Tout un programme
Le concept de programme et celui de programmation est à la base de tout système informatique. Ce mot est quasiment magique car c'est celui qui "façonne" l'usage que l'on va faire de la machine. Car le programme donne vie à la machine informatique. Et cette vie est tellement importante que petit à petit, le programme s'est souvent retrouvé gravé dans les composants eux-mêmes, faisant confondre la dimension matérielle et logicielle de l'appareil informatisé. Ceux qui ont vécu les premiers temps de l'informatique individuelle se souviennent de ce symbole du signe supérieur suivi d'un "underscore" clignotant qui ne laissait à son utilisateur pas d'autre choix que de "donner un ordre" à la machine, sous forme de "ligne de commande" ou de programme (la première n'étant rien d'autre qu'un appel à des programmes déjà installés dans la machine").
Le choix de cette thématique, cette semaine, est aussi lié au débat sur les "programmes scolaires" et leur réécriture. Plus que cette réécriture c'est la notion même de programme scolaire qui est en question ici. Si on ose un parallèle que certains jugeront audacieux, voire déplacé, il me semble que l'on peut rapprocher la notion de programme informatique de celle de programme scolaire sur plusieurs points. Outre le mot, la notion de programme, déclinée en programmation et progression parfois est à mettre en lien avec la notion de progrès. Mais dans programme, et surtout dans programmation, il y a l'idée d'une intention, d'un choix d'une sélection. Or que ce soit le concepteur de programme informatique ou celui de programme scolaire, l'intention qu'embarque leur production a un impact sur un futur usager.
En quoi un programme peut-il faire question ? D'abord parce qu'il présuppose un sujet auquel est destiné ce programme. Ensuite, il désigne un ensemble de contenus ou d'actions qui vont être imposées au sujet. Enfin, il s'appuie sur une logique (binaire pour l'informatique), plus difficile à cerner pour les programmes d'enseignement, qui impose un mode d'usage et en particulier la marge d'action laissée à l'utilisateur. L'intérêt du programme informatique est qu'il s'impose à l'usager, décide des choix dont il dispose et l'oriente dans le but qu'il lui est assigné. Il est intéressant d'analyser les usages en regard de la programmation. On connaît le phénomène d'affordance des objets et dispositifs techniques, qui traduit la force d'imposition d'un artefact par rapport à l'usager. On connaît aussi la tentation très forte pour l'usager de "s'échapper" du programme qui lui est imposé. Les concepteurs de jeux et les joueurs savent bien qu'en réalité on n'échappe pas comme cela au programme et au programmeur. Pourtant Michel de Certeau ou encore Jacques Perriault ont su nous montrer qu'il y avait souvent une possibilité de distorsion entre celui qui propose un objet, un dispositif et celui qui l'utilise. Mais dans le domaine de l'informatique les choses sont beaucoup plus enfermantes et souvent la porte de sortie c'est le bug, le problème, le plantage, le dysfonctionnement qui écarte aussi bien le concepteur que l'usager.
Nos amis des sciences du numérique sont à la recherche du programme parfait, qui n'aurait pas d'erreur, qui pourrait même s'auto corriger. Ceux de l'intelligence artificielle à intervalles réguliers viennent nous rappeler leur rêve "humain" pour les machines. On le voit l'imperfection humaine fondamentale n'échappe pas au problème de conception de programmes informatiques. Or c'est cette imperfection qui est intéressante sur le plan informatique et éducatif.
Eduquer au numérique peut-il se suffire d'un programme ? Ce jeu sur les mots est à renvoyer aux enseignants d'ISN et au fondement même de leur enseignement. Y a-t-il une croyance sacrosainte à faire passer en la valeur absolue de l'informatique. Ou au contraire faut-il révéler ses faiblesses ? Peut-être y a-t-il plus simplement à rappeler qu'un programme, informatique ou disciplinaire, reste une fabrication humaine et qu'elle en embarque les limites et les imperfections.
Ce qui est intéressant avec les programmes d'enseignement c'est qu'il y a des applicateurs de ces programmes que sont les éditeurs, que sont les inspecteurs (en charge de les faire appliquer) et les enseignants qui doivent les mettre en oeuvre. Or si les éditeurs de manuels scolaires ont bien compris qu'il ne fallait pas s'écarter des programmes, si les inspecteurs tentent de résister à leur propre envie de contourner ou traduire les programmes, les enseignants eux doivent faire avec. Mais avec dans un entre deux entre le "prescripteur" et le "client". Or c'est dans cet entre deux que réside la force de l'enseignant et sa qualité. Un enseignant n'est pas et ne sera jamais une machine qu'on programme. Non pas que certains n'en rêvent pas, mais parce que c'est contraire même à ce qui est le fondement de l'apprendre un acte incertains, essentiellement humain et surtout pas binaire. On peut faire des programmes et des progressions, la liberté reste davantage du côté de l'humain que de la machine.
Bruno Devauchelle
Les chroniques de B Devauchelle
http://www.cafepedagogique.net/lesdossiers/Pages/2012_BDevauchelle.aspx




Extrait de la publication mensuelle du « Café pédagogique », 4 novembre 2013

Collège : Découvrez les métiers du numérique et validez le B2i

Le concours de l'Onisep et du Syntec proposé aux enseignants de 4ème et de 3ème revient cette année encore. Que demande-t-il ? En 2013, les collégiens de Bouchain ont réalisé une superbe animation sur le métier d'ergonome numérique. Pour cela ils ont enquêté sur le métier, rencontré un ergonome et traduit dans le logiciel de présentation leur enquête.

Le collège de Saint-Ouen l'Aumône a réalisé un blog sur le métier de responsable de projet ERP. A Colmar, les élèves ont ouvert un site web sur le métier de consultant informatique. Les travaux sont consultables sur le site de l'Onisep. Surtout, pour réaliser ces travaux, ils ont appris à travailler ensemble, à questionner, à gérer des tâches, à dialoguer avec des adultes, à maitriser des logiciels, des tâches complexes.

Avec ce concours ce sont des compétences numériques mais aussi des capacités humaines qui sont développées et qui font de ce concours une vraie aventure pour les élèves et leur professeur.

Inscrivez-vous


http://www.onisep.fr/Concours/Concours-Syntec-4e-et-3e-de-college




Extrait de la publication mensuelle du « Café pédagogique », 4 novembre 2013

L'Europe lance un programme pour le numérique éducatif
"Nous devons accentuer nos efforts pour faire en sorte que les jeunes, en particulier, soient dotés des compétences numériques dont ils auront besoin pour leur avenir". La commissaire européenne à l'éducation, Androulla Vassiliou, a annoncé le 25 septembre le lancement du programme "Ouvrir l'éducation" pour améliorer l'accès des élèves et des étudiants au numérique.
"Le programme «Ouvrir l'éducation» vise à ouvrir les mentalités aux nouvelles méthodes d'apprentissage, de façon à ce que nos citoyens soient plus employables, créatifs, innovants et entreprenants», a déclaré Mme Vassiliou. La vice presidente en charge de la stratégie numérique, Mme Kroes, a ajouté: "Mon rêve est que chaque classe soit passée au numérique d'ici à 2020. L'éducation doit être connectée à la vie réelle; elle ne peut pas évoluer dans un monde parallèle. Les jeunes souhaitent utiliser la technologie numérique dans tous les aspects de leur vie. Ils ont besoin de compétences numériques pour décrocher un emploi. Toutes les écoles et universités, et pas seulement certaines d'entre elles, doivent tenir compte de cette réalité".
Ce programme est lancé en réaction à la place réelle du numérique dans l'enseignement en Europe. Entre 50 et 80 % des élèves des États membres de l'UE n'utilisent jamais de manuels scolaires numériques, de logiciels d'exercices, d'émissions radiodiffusées/de podcasts, ni de jeux de simulation ou didactiques. La plupart des enseignants aux niveaux primaire et secondaire ne se sentent pas à l'aise avec les technologies numériques ni capables d'enseigner des compétences numériques de manière efficace, et 70 % d'entre eux souhaiteraient se former davantage à l'utilisation des TIC. Les élèves de Lettonie, de Lituanie et de République tchèque sont le plus susceptibles de disposer d'un accès à Internet à l'école (plus de 90 %), soit deux fois plus que ceux étudiant en Grèce ou en Croatie (environ 45 %). Si 75% des écoliers irlandais utilisent Internet au moins un quart du temps scolaire, c'est seulement 6% des Luxembourgeois et 27% des Français.
Le programme prévoit la création d'une plateforme de mutualisation des logiciels et des pratiques. Il prévoit de donner la priorité aux logiciels libres et d'aider les entreprises à changer leur modèle commercial. Pour autant, aucun financement précis n'a été indiqué pour ce programme.
Le nouveau site Open Europa Education
http://www.openeducationeuropa.eu/
Communication
http://ec.europa.eu/education/news/doc/openingcom_en.pdf




Extrait de la publication mensuelle du « Café pédagogique », 4 novembre 2013

Numérique : L'Etat envisage un pilotage bureaucratique de la filière du numérique éducatif
Les inspections des ministères de l'éducation nationale et de l'économie et des finances ont remis le 24 septembre un rapport sur la structuration de la filière du numérique éducatif. 27 propositions visent à assurer le développement d'une filière jugée stratégique et créatrice d'emplois. La première concerne la création d'une direction du numérique éducatif au ministère. Elle est suivie de 21 autres propositions bureaucratiques. Le rapport s'attaque aussi à la question de l'exception pédagogique et au choix des équipements.
Colbertisme et économie réelle
 Quand l'Etat imagine structurer une filière économique, il parle en fait essentiellement de ses histoires de bureaux. L'essentiel de ce rapport, sur un enjeu industriel et culturel réellement majeur, porte sur la création de directions, commissions et comités qui n'auront probablement de stratégique que le nom. Le lecteur jugera si une approche colbertiste a encore une importance quelconque dans la révolution culturelle, éducative, économique et mondiale du numérique. On retiendra de ce rapport, outre cette tradition française, quelques données chiffrées sur le marché du numérique éducatif et l'affirmation de la volonté de l'Etat de régler la question de l'exception pédagogique.
Que pèse le numérique éducatif actuellement en France ? Dans un marché scolaire de 1,3 milliard, les manuels scolaires pèsent 415 millions d'euros de chiffre d'affaire annuel. Le secteur est en progression. La vente de manuels numériques représente 1% des ventes, un volume tout à fait marginal qui explique la "prudence" des éditeurs. Quand aux éditeurs publiques (Cndp, Onisep etc.) leur chiffre d'affaire représente 6 millions et il est en régression rapide (-12% depuis 2009). Le numérique c'est aussi un marché d'équipements pour du matériel, des ENT, de la bande passante pour un volume non estimé dans le rapport et qui fait travailler près de 250 entreprises, la plupart de très petite taille. Enfin on pourrait y ajouter les innombrables ressources gratuites développés par des enseignants ou des associations dont l'apport est inestimable, dans tous les sens du terme.
Une direction nationale toute puissante
Pour les inspecteurs  généraux de l'éducation nationale et pour les inspecteurs des finances auteurs du rapport, cet éparpillement du marché est néfaste à la création d'une filière du numérique éducatif.  " Cette dispersion des acteurs et l'éparpillement de la prescription ne permettent pas d'engager une mutation rapide des types de ressources acquises et freinent le développement d'un secteur des ressources éducatives numériques", écrit le rapport.
Le rapport préconise en premier la création d'une Direction du numérique éducatif au sein du ministère. Le Café pédagogique avait dévoilé fin mai 2013 la déclinaison administrative de ce plan numérique, confirmée par V. Peillon le 10 juin. Cette direction du numérique éducatif serait destinée à prendre la direction de la filière numérique selon le rapport. En effet, elle serait le bras exécutif d'un "Comité des financeurs" qui regrouperait les collectivités locales qui sont les véritables donneurs d'ordre de la filière à travers les achats de manuels scolaires et d'équipements numériques pour les écoles, collèges et lycées. Les auteurs imaginent que les collectivités locales vont mettre leurs budgets gentiment sous contrôle d'une direction ministérielle... Encore les auteurs ont-ils du mal à régler les micro-conflits internes à la rue de Grenelle : à coté de cette direction, la Dgesco devrait spécifier les besoins en lien avec l'Inspection générale, remise en selle depuis l'arrivée de V Peillon, et le Conseil supérieur des programmes. Cette superstructure définirait la stratégie numérique de l'Etat qui agirait à travers un groupement de commandes et une centrale d'achat.
La gentille soumission des éditeurs
C'est par ce levier, imaginé par les auteurs, que l'Etat semble vouloir agir. Le Comité des financeurs accepterait de passer sous contrôle de la Direction du numérique de façon à être en situation d'imposer ses vues aux éditeurs. Car on sent bien dans le rapport la volonté de contrôle de ce marché vital pour l'édition française. L'Etat pourrait ainsi imposer la numérisation immédiate d'une partie de l'offre éditoriale. On murmure rue de Grenelle que ce pourrait être le cas à l'occasion de la mise en place des nouveaux programmes du lycée dans certaines disciplines. 20% de l'offre serait ainsi numérisée rapidement soit l'équivalent de 63 millions. Le rapport préconise que les ressources numériques éducatives échappent à la loi sur le prix unique du livre de façon à assurer le poids des financeurs. La TVA serait aussi harmonisée. Et c'est une circulaire du premier ministre qui partagerait le rôle des éditeurs privés et publics, comme si la France était un pays où l'édition n'est pas libre.
Tablettes et TBI
Mais que faire de ces manuels numérisés alors que les familles et les établissements scolaires ne sont pas forcément capables de les utiliser ? Pour les familles, le rapport ne dit rien. Pour les établissements, il se tourne à nouveau vers les collectivités locales pour assurer l'équipement, celles-ci ayant l'amabilité de commander ce que veut le ministère... Et les prescriptions ministérielles sont déjà données : il faut acheter des tablettes et des outils de visualisation : TBI, vidéoprojecteurs etc. en priorité. L'offre de contenus passerait par les ENT dont il faudrait "accroitre l'interopérabilité". En effet, aujourd'hui, chaque collectivité locale a développé son propre ENT avec ses moyens propres et avec ses propres normes. S'ajoute à cela la multiplicité des offres personnelles et associatives inarticulable avec ce scénario. Pour les enseignants, le rapport promet le retour d'un C2e2i "totalement repensé" et le renforcement des plans de formation.
Le grand portail unique de ressources labellisées
L'offre serait mise en valeur par un grand portail "unique national d'accès aux ressources numériques  éducatives", développé par le CNDP et indexé avec des méta données avec comité de labellisation et filtrage à la clé. "Les opérateurs privés comme Google, Amazon u Apple ont d'ores et déjà mis en place des portails et disposent d'un savoir faire indéniable en termes d'attractivité.. Mais souhaite-on laisser cette fonction entièrement entre les mains d'opérateurs privés dont les centres de décision... sont situés à l'étranger", écrivent sérieusement les auteurs du rapport.
L'exception pédagogique
Le rapport prévoit aussi de développer l'exception pédagogique en mettant en place par une loi une gestion collective obligatoire des droits des oeuvres numériques couvertes par l'exception pédagogique. Cette mesure est attendue sur le terrain où très souvent les enseignants ne respectent pas le droit à la propriété intellectuelle.
Le rapport s'intéresse peu à la pédagogie sauf à promettre un effort de recherche, à envisager le passage numérisé des examens et à se reposer sur les tablettes et TBI. "Le ministère de l'éducation nationale partage les analyses du rapport", affirme un communiqué ministériel, "et s'est déjà engagé dans la mise en oeuvre de certaines recommandations". Il s'agit de la création de la direction du numérique et de la formation des enseignants en Espe.
François Jarraud
Le rapport
http://www.education.gouv.fr/cid73971/la-structuration-de-la-filiere-du-numerique-educatif-un-enjeu-pedagogique-et-industriel.html
La politique académique dévoilée
http://www.cafepedagogique.net/lexpresso/Pages/2013/05/21052013Article635047177582971210.aspx
La stratégie numérique de V Peillon
http://www.cafepedagogique.net/lexpresso/Pages/2013/06/11062013Article635065590667132170.aspx



Extrait d’un message d’Alain Séré, doyen des IGEN groupe économie gestion – 8 novembre 2013

Le CIGREF, réseau de Grandes Entreprises, est une association créée en 1970 regroupant plus de 130 grandes entreprises et organismes français dans tous les secteurs d’activité (banque, assurance, énergie, distribution, industrie, services…) qui s'est donnée pour mission de « promouvoir la culture numérique comme source d’innovation et de performance ».
Dans un ouvrage publié en juin dernier, le CIGREF propose une réflexion très pragmatique sur l'évolution de la culture numérique dans les organisations.
Il peut-être librement téléchargé à l'adresse suivante :
http://www.cigref.fr/publications-numeriques/ebook-entreprise-culture-numerique/index.html

Vous pouvez aussi picorer (!) dans le site WEB de la fondation CIGREF, et en particulier écouter L’Université de Lyon1, en partenariat avec le CNRS Rhône Auvergne, a invité quatre chercheurs à débattre, via sa web radio, sur le thème « Homonumericus sera-t-il libre ? ». Ce débat s’inscrivait dans le cadre de rencontres « Et si on en parlait » approchant depuis 2013 le rapport aux technologies, thématique baptisée « métamorphose de l’homme augmenté au robot humanoïde ».






Extrait de la Veille éducation numérique, Eduscol – 5 novembre 2013

Usages des TIC en bibliothèque publique
Une enquête, destinée à évaluer les perceptions des utilisateurs vis-à-vis des avantages offerts par les technologies de l’information et de la communication dans les bibliothèques publiques, a été conduite en 2012 dans 18 pays européens. Cette étude financée par la Fondation Bill & Melinda Gates a été relayée en France par la Bpi. L’objectif de cette étude est de comprendre l’impact qu'ont les bibliothèques publiques sur la vie de leurs usagers au sein de l’UE.
veille-education-numerique@listes.education.fr




Extrait de la lettre d’actualités d’Educpros.fr – 29 octobre 2013

MOOC, mode d'emploi : le ministère publie un guide à destination des établissements
Aider les établissements à concevoir et mettre en place un MOOC (Massive on-line open course) : tel est l'objectif du guide publié par le ministère de l'Enseignement supérieur et de la Recherche, qui poursuit sa campagne de lancement de France université numérique. L'essentiel de la rédaction a été confiée à Matthieu Cisel, doctorant à l'ENS Cachan qui consacre sa thèse aux MOOC et blogueur EducPros dont la notoriété est désormais bien installée sur la Toile.




Extrait du bulletin veile et analyses de l’IFé du 30 octobre 2013

Le livre blanc de l'Agence universitaire de la francophonie sur le numérique éducatif dans l'enseignement supérieur

Editeur(s) :  Agence universitaire de la francophonie
Date :  04/2013
  Dans l'environnement dynamique d'aujourd'hui, l'AUF doit renouveler ses engagements vis-à-vis de ses membres, des enseignants, des chercheurs, des étudiants, des personnels non enseignants, des dirigeants des universités et de leurs composantes. Elle doit aussi affirmer ses idées sur les mutations de la gouvernance des universités et repérer les partenariats dont elle a besoin pour exister et remplir ses missions. C'est pourquoi, avec le soutien de son conseil scientifique l'Agence a préparé ce Livre blanc destiné au public universitaire et à ses partenaires.

Les engagements de l'AUF y prennent appui sur les besoins particuliers de chaque catégorie de destinataires, et sur des objectifs stratégiques basés sur des problématiques courtes, mais denses. Pour chacun de ces objectifs, l'on propose des actions décisives pour que le numérique éducatif permette aux membres de l'AUF de remplir efficacement leurs missions. S'établit ainsi la partie de la programmation quadriennale consacrée au numérique éducatif.


(pdf, 57 pages, 412 Ko)
Télécharger le document :  https://ag2013.auf.org/.../at3-numerique-livreblanc2013v2.pdf

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