xxie siècles Tome II coordination : Alina Crihană, Simona Antofi Casa Cărţii de Ştiinţă Cluj-Napoca



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Carmen Andrei, Vers la maîtrise de la traduction littéraire. Guide théorique et pratique, Galaţi, Galaţi University Press, 2014, 311 p., ISBN 978-606-8348-97-1
Prof. univ. dr. Nicolai Taftă

Dunarea de Jos” University of Galati

L’art de la traduction relève, aux dires des spécialistes du domaine, d’une parfaite maîtrise des deux idiomes mis en équation par cette entreprise tellement délicate et passionnante à la fois. C’est ce dont témoigne, par ses idées, ses débats et ses exemples à l’appui, l’ouvrage que nous propose Carmen Andrei sous le titre délibérément modeste Vers la maîtrise de la traduction littéraire – guide théorique et pratique. description: c:\users\user\desktop\coperta 1 carmen andrei.png

Fausse modestie, dirions-nous, puisque l’auteur part dans sa démarche du postulat, énoncé dans son préambule et illustré sur le parcours, que « la traduction littéraire est une activité créatrice au même titre que la lecture et l’écriture», soulignant par la suite que les rapports que le traducteur entretient avec le texte ne sont guère faciles à gérer, car ils supposent parfois des affres comparables à ceux que vit le créateur soucieux de soigner son style afin d’atteindre à la perfection. Ces rapports vont de la communion spirituelle avec l’auteur implicite du texte à traduire jusqu’à la haine amoureuse, lorsqu’il est confronté aux pièges relevant surtout de l’implicite culturel dont parlait Sigmund Freud à propos du « défaut de traduire inhérent à la traduction » et de « l’inévitable défaillance » à assumer et à dépasser pour réussir finalement dans son entreprise.

Le livre de Carmen Andrei est le résultat d’un impressionnant travail de chercheur qui a étudié et mis à profit une très vaste bibliographie, d’enseignant de la discipline en question et surtout de praticien expérimenté de la traduction littéraire. Les principales qualités de l’ouvrage tiennent à la rigueur exemplaire dans la structuration de l’ensemble ainsi que de chaque chapitre pris à part, à la richesse, à l’ordonnance et à la clarté des références théoriques et méthodologiques, à la pertinence des commentaires et à la justesse des conclusions formulées après chaque débat, enfin à la souplesse et à la beauté du style adopté par l’auteur pour faire ses commentaires et ses démonstrations. C’est un livre très riche, bien intéressant et en même temps fort agréable à la lecture.

Les chapitres consacrés à la traduction de la poésie et, respectivement, aux textes humoristiques, aux jeux de mots et aux mots d’esprit (blagues ou histoires drôles), aux registres de langue, aux termes d’argot et aux termes populaires, enfin aux expressions idiomatiques sont particulièrement instructifs, parfaitement structurés et développés, illustrés d’exemples et d’études de cas bien menés, tout parlants et incitants.

Les passages qui portent sur les « culturèmes » et sur l’éthique du traducteur considéré comme un médiateur interculturel évoquent avec un charme incontestable le « parfum des mots voyageurs » ou l’exotisme des culturèmes orientaux, soulignant de façon très pertinente les difficultés liées à une certaine « intraduisibilité culturelle » en raison des trous lexicaux dans la langue d’arrivée.

L’idée maîtresse qui se dégage de ces commentaires est que la traduction doit se constituer en une langue troisième ou un palimpseste (belle trouvaille du critique Gérard Genette parlant du texte proustien !), puis que le traducteur fait en quelque sorte une œuvre de maçon qui déconstruit pièce par pièce l’œuvre de départ pour la refaire dans la langue d’arrivée avec les matériaux de construction que lui offre cette dernière et en mettant en valeur son « encyclopédie privée », selon la belle formule d’Umberto Eco citée par Carmen Andrei.

Malgré le sage principe que l’auteur de cette belle étude énonce quant à la tentative de traduire en une langue seconde tout ce qui peut se dire en une langue de départ, à savoir qu’il convient de « fuir les extrêmes : faire beau ou défigurer », un enthousiasme un peu hasardé l’entraîne à dire que, en allant « au-delà du référent » (idée à laquelle nous adhérons tous), le traducteur peut trouver la « clé du traduisible » pour tous les jeux de mots et que, dans ce cas, il n’y a plus aucune difficulté de tout rendre dans la langue cible.

D’autres théoriciens de la traduction littéraire cités et commentés dans ce livre, tels que Freddie Plassard, Jacqueline Henry ou Claude Haggège, soulignent que traduire « c’est d’abord lire correctement, en exégète averti, si possible » (Plassard), que « tout ce qui peut être dit dans une langue, on peut le dire dans une autre, sauf si (nous soulignons) la forme est un élément essentiel du message » (Henry), ce qui nous ramène à l’idée que « les jeux verbaux sont par définition intraduisibles » (Haggège). En faisant le point sur ce sujet au chapitre qu’elle lui a consacré, Carmen Andrei déclare à son tour qu’elle est « amenée à affirmer » que l’humour est traduisible, mais (il y a donc un mais là-dessus, une certaine réserve !) qu’il faut prêter une attention particulière à sa « dimension socioculturelle ». On constate donc que l’affirmation toute formelle lancée auparavant est en quelque sorte amendée par la suite. Les exemples fournis à l’appui et les traductions présentées dans les annexes témoignent du fait que l’auteur de ce « guide » cède à la tentation de tout tenter et cherche à affronter et à surmonter les difficultés les plus éprouvantes de la traduction de certains textes en principe inabordables.



Sans avoir la prétention de fournir de « recettes » passe-partout à appliquer dans la démarche « traductive », Carmen Andrei commence par inventorier les règles du jeu et toute une gamme de modèles, de méthodologies, de taxonomies, de stratégies et de techniques élaborés par les théoriciens du domaine et consacrés par les travaux des traducteurs et finit par offrir aux destinataires de son entreprise un excellent guide censé orienter l’apprentissage des futurs traducteurs et bâtir chez eux des compétences linguistiques et culturelles d’une part, traductionnelles d’autre part. Le livre s’adresse aussi bien aux étudiants en lettres entraînés dans des travaux dirigés de traduction ou bien aux traducteurs débutants qu’aux hors professionnels ou aux « amoureux de la traduction ».
Date despre autori
Professeur des universités, titulaire au Département de Langue et Littérature françaises, Faculté des Lettres, Université « Dunărea de Jos » de Galati (Roumanie), Carmen ANDREI est docteur en philologie romane avec une thèse sur les stratégies textuelles et le discours narratif dans le roman libertin du XVIIIe siècle. Depuis 1999, elle donne le cours magistral de Littérature française du XVIIe, XVIIIe et XXe siècles et des cours à option (Essai littéraire, Culture et littérature belges, Culture et littérature québécoises). Elle enseigne aux étudiants de master les cours magistraux et les séminaires de Théorie et pratique de la traduction littéraire et Traduction assistée par l’ordinateur. Les résultats de ses recherches : plus de 80 articles publiés et  15 livres dont 7 comme auteur unique. Membre du Centre de Recherche  Théorie et pratique du discours, elle est également coordinateur de l’axe « Littérature et identités culturelles ». Domaines de recherche et d’intérêt : traduction littéraire et traductologie, littérature française et francophone (belge et québécoise), analyse du récit, histoire des mentalités, comparatisme et théorie de la littérature.
Iuliana ANGHEL (BLĂNARU) est doctorante en I ère année à l’École Doctorale de Sciences socio-humanistes, dans le cadre de l’Université „Dunarea de Jos” de Galati, développant son activité de recherche sous la direction du Professeur dr. Doinița Milea. Le titre de la thèse de doctorat est « Receptarea operei brebaniene». L’activité de recherche déroulée jusqu’à présent s’est concrétisée tant dans la participation aux conférences et la publication des articles, que dans l’élaboration des bases de données à caractère théorique indispensables au thème de la recherche.
Iuliana BARNA est chargée de cours au Département pour la Préparation du Personnel Didactique dans le cadre de l’Université « Dunarea de Jos » de Galati, où elle enseigne des cours et des séminaires concernant notamment la didactique de la langue et de la littérature roumaines, la littérature roumaine et la littérature pour enfants.  Docteur en Philologie (depuis 2010), avec une thèse sur le thème Virgil Tănase – étude monographique, elle est également préoccupée par les particularités de la littérature de l’exil roumain. Elle a publié de nombreux articles dans des revues nationales et internationales, tout comme dans les actes des manifestations scientifiques organisées en Roumanie et à l’étranger, sur des thèmes liés à la problématique de ses activités didactiques.
Dr. Doina Marta BEJAN is the initiator and coordinator of the international conference project Lexic comun / lexic specializat (General Lexicon / Specialized Lexicon) as well as the editor-in-chief of Fascicle XXIV, Lexic comun / lexic specializat, of “Dunărea de Jos” University Annals. Her fields of competence are the lexicology of the Romanian language, the history of literary Romanian (Limba română literară în tipăriturile moldoveneşti dintre anii 1800-1830, E.D.P., Bucureşti, 2004 and Interferenţe lingvistice în diacronia limbii române, E.D.P., Bucureşti, 2005) and stylistics.
Daniela Aura BOGDAN est maître assistante à la Faculté des Lettres de l’Université « Dunarea de Jos » de Galati, au Département de Littérature, Linguistique et Journalisme. Avec une expérience de plus de 10 ans en mass media, Daniela Bogdan a parcouru toutes les étapes dans la télévision – journaliste, éditrice et productrice –, elle a travaillé à la radio, tout en collaborant aussi aux journaux de Galati. Dès 2007, elle est enseignant chercheur au Département de Littérature, Lingusitique et Journalisme de la Faculté des Lettres de Galati, où elle coordonne les activités des étudiants du programme de Journalisme. Docteur en philologie depuis 2012, avec une thèse sur le thème La littérature et le discours publicitaire – une relation réciproquement avantageuse, elle est rédacteur en chef à Étudiant TV (le laboratoire de pratique des étudiants en Journalisme à l’Université „Dunarea de Jos” de Galati), mais aussi au journal Facultatif, le journal des étudiants journalistes, réalisé en collaboration avec la Ligue des Étudiants de Galati. Elle collabore aussi au journal le plus important de Galati, Viața Liberă (La Vie Libre), où elle réalise, deux fois par mois, une page avec les étudiants en Journalisme, Les Jeunes et la ville. Dès 2011, elle organise et coordonne la Conférence Internationale sur le thème „La culture et la presse dans l’espace européen” (7e édition en 2015).
Docteur en philologie, Valeriu BĂLTEANU est chargé de cours au Département de Littérature, Linguistique et Journalisme de la Faculté des Lettres de Galati. Ses travaux scientifiques portent sur le folklore littéraire et rituel roumain et, en particulier, sur la dynamique des structures mytho-symboliques repérables dans la littérature et les traditions populaires roumaines, mais aussi sur la terminologie magique populaire et sur les structures dialectales du même espace culturel. Il est l’auteur de onze livres dont trois dictionnaires (concernant la magie, la divination et la mythologie populaires roumaines) et de nombreux articles et communications scientifiques publiées dans les revues de la Faculté des Lettres de Galati.
Lucia-Luminiţa CIUCĂ is a PhD student in the first year of study at Doctoral School of Socio-Humanities, Faculty of Letters, “Dunărea de Jos” University of Galati, where she is currently conducting research for a thesis on The Memoir/Travel Writing in the Nineteenth and Twentieth Centuries Romanian Literature. An Imagological and Narrative-Specular Approach. The research areas tackled in the scientific endeavour are: History of Romanian literature (19th and 20th centuries), Romanian discourse of criticism (19th and 20th centuries), Romanian culture and identity, Poetics and rhetoric of the biographic genre.
Oana Magdalena CENAC, PhD, is a senior lecturer with the Literature, Linguistics and Journalism Department of the Faculty of Letters, „Dunărea de Jos” University of Galati, Romania. She is particularly interested in the field of Romanian lexicology, semantics, morphology, syntax and stylistics. She published numerous articles in various Romanian and foreign journals. She coordinated as a president or co-president of the organizing committee seven edition of the international conference General Lexicon / Specialized Lexicon. She wrote as a single author three books (Problema circumstanţialului în limbile română şi engleză, Casa cărţii de Ştiinţă Publishing House, Cluj-Napoca, 2014, Circumstanţialul în limba română. Abordări tradiţionale şi moderne, Casa cărţii de Ştiinţă Publishing House, Cluj-Napoca, 2014, and Elemente de lingvistică generală, Casa cărţii de Ştiinţă Publishing House, Cluj-Napoca, 2015) and she coordinates other two books: Lexic politic şi discurs politic and Manifestări ale creativităţii limbajului uman. Since 2012, she has been the chief editor of the scientific journal Annals of Dunărea de Jos University of Galati, Fascicle XXIV Lexic comun / lexic specializat, a linguistic journal indexed in MLA (Modern Language Association, New York, www.mla.org) – MLA International Bibliography & Directory of Periodicals, Fabula. La recherche en littérature (www.fabula.org) and EBSCO.
Silvia-Maria COMANAC (MUNTEANU) est doctorante de l’Université „Ştefan cel Mare” de Suceava. Sa thèse, sous la direction du Professeur dr. Vasile Spiridon, s’intitule « De l’être intérieur aux êtres du papier dans la prose de Mircea Cărtărescu », démarche qui cherche à déchiffrer l’imaginaire dans l’œuvre d’écrivain postmoderne, en utilisant la grille analytique pour découvrir comment l’auteur imite l’écriture comme thérapie et comment il fait à croire au lecteur que la fiction transcrit la réalité.

Ana-Elena COSTANDACHE est chargée de cours docteur au Département de Langue et Littérature françaises, Faculté des Lettres, Université „Dunărea de Jos” de Galati. Ses centres d’intérêt visent l’étude de la littérature française des XVIIe-XVIIIe siècles et du XXe siècle et les travaux dirigés en littérature française. Elle a soutenu sa thèse de doctorat en 2011, Interferenţe culturale în spaţiul românesc al secolului al XIX-lea până la apariţia spiritului critic junimist / Interférences culturelles dans l’espace roumain du XIXe siècle jusqu’à l’apparition de l’esprit critique de Junimea. Ses recherches comprennent de nombreux articles parus dans les actes des colloques nationaux et internationaux parmi lesquels Représentations de la féminité dans l’espace culturel francophone, colloque organisé en 2010 par le Centre de recherche Communication interculturelle et littérature. Parmi ses publications scientifiques, il faut rappeller : Forms and Techniques of Writing and Translating in the 19th century: Cultural and Linguistic Patterns, Promoteurs des traductionsen langue roumaine dans la première moitié du XIXe siècle, La femme et ses représentations dans les poèmes préromantiques roumains, La logique du langage dans les pièces d’Eugène Ionesco: “Jacques ou la soumission”, “L’Avenir est dans les œufs”, Romantisme européen et romantisme roumain au XIXe siècle.
Nicoleta CRÎNGANU  Lecturer at the Department of Literature, Linguistics and Journalis, Faculty of Letters, “Dunărea de Jos” University of Galaţi, Romania. She was awarded the doctor’s degree in Romanian Literature in June 2007 at the University of Pitești. She currently teaches writting techniques, research methods and methodologies, research techniques in journalism and other. Her main research interests are nowadays in media and journalism, narrative strategies in media texts, media characters, social media.  
Docteur en philologie dès 2012, Matei DAMIAN est maître assistant à la Faculté des Lettres de l’Université « Dunarea de Jos » de Galati, au Département de Littérature, Linguistique et Journalisme. Il a publié plus de 30 articles et études dans des revues académiques de Roumanie et de l’étranger (Procedia - Social and Behavioral Sciences, Communication interculturelle et littérature, Caiete critice / Cahiers critiques, Annales de l’Université „Dunărea de Jos”, Fascicule XXIII, Mélanges francophones etc.) et aussi dans les actes des colloques nationaux et internationaux sur des thèmes actuels, concernant notamment les diverses méthodes de recherche dans les sciences de la communication. Il est aussi préoccupé par la problématique de l’approche interdisciplinaire de l’appareil médiatique, avec la mise en évidence de l’applicabilité des notions médiatiques dans l’analyse des textes littéraires : ce dernier type de démarche est illustré dans la thèse de doctorat soutenue en 2011, La rumeur, la nouvelle, la presse dans la littérature roumaine. De Caragiale à Preda. Matei DAMIAN a été impliqué, dès le début de sa carrière didactique et de recherche, dans l’organisation de plusieurs manifestations scientifiques nationales et internationales, dont la plus importante est la conférence internationale « La culture et la presse dans l’espace européen » (7e édition en 2015).
Liliana DOSCALO GROSU est doctorante en IIème année à l’Ecole Doctorale des Sciences humaines et sociales de l’Université „Dunarea de Jos” de Galati. Elle effectue son activité de recherche sous la direction du Professeur dr. Simona Antofi. Le sujet de thèse est „La poésie de Grigore Vieru. Les structures discursives-textuelles et la construction du sens poétique”. Cette recherche vise à identifier, par l’étude des textes de Gr. Vieru, les sémiotiques actuelles sur la poésie / le discours poétique de l’auteur. Son activité de recherche s’est concrétisée dans l’élaboration d’un pré-test sur un échantillon restreint dans le but de production des données théoriques et empiriques sur le sujet de la thèse et aussi dans la participation aux conférences scientifiques et la publication des articles.
Mirela DRĂGOI est chargée de cours dans le cadre du Département de Langue et Littérature Françaises de la Faculté des Lettres de Galati. Elle fait partie du comité de rédaction de la revue Mélanges francophones et du centre de recherches Communication interculturelle et Littérature de l’Université « Dunărea de Jos ». Sa thèse de doctorat présente le parcours bio-bibliographique d’un écrivain roumain d’expression française, Constantin Virgil Gheorghiu (2008). Actuellement, ses recherches tournent autour des axes suivants: le texte lyrique – poétique et rhétorique; la littérature française (Moyen-Age, Renaissance, le XIXe siècle); narratologie; la littérature roumaine d’expression française ; la didactique du français langue étrangère. Ses publications les plus récentes : Le rôle des séries phraséologiques dans l’énonciation des principes pédagogiques rabelaisiens, in Lexic comun – Lexic specializat. Frazeologie. Stilistică. Traductologie, no 2 (6), 2011, Europlus, Galați, 2011, ISSN 1844-9476, pp. 102 – 107 ; La signification de l’appareil titulaire chez Virgil Gheorghiu, in Lexic comun – Lexic specializat. Limba română în timp și spațiu no 1-2 (9-10), Europlus, Galați, 2013, ISSN 1844-9476, pp. 228-238 ; Approches stratégiques dans la représentation de l’espace narratif chez Emile Zola, in Melanges francophones. Dialogues en francophonie, no 8, Galati University Press, 2013, ISSN 1843-8539, pp. 93 – 104.
Elena FILOTE (PANAIT) est doctorante en IIème année à l’École doctorale de Philologie de l’Université „Dunarea de Jos” de Galati. La recherche scientifique qu’elle entreprend pour élaborer sa thèse de doctorat vise l’analyse des stratégies discursives dans la prose féminine de l’entre-deux-guerres. Son activité s’est concrétisé jusqu’à ce moment par des participations aux cours doctoraux et à des conférences nationales et internationales organisées par l’Université de Galaţi.
Oana Celia GHEORGHIU is M.A. in Translation and Interpretation Studies and PhD student in Philology – British and American Literature (“Dunărea de Jos” University of Galaţi). Her research area includes the interference of political and media discourse within twenty-first century fiction, as well as representations of the extreme alterity - terrorism in fiction, grounding her findings in New Historicism, Cultural Studies and Critical Discourse Analysis. Selected articles: “East of the Western Canon. Romanian Literature under British Eyes”, in Boldea, I. (ed.), Globalization and Intercultural Dialogue: Multidisciplinary Perspectives, Tîrgu-Mures: Arhipelag XXI, 2014 (co-author with prof. Michaela Praisler); “Translating Political Discourse in Performance: David Hare’s Stuff Happens” in H. Hulban (ed.), Ethos, Iaşi: Institutul European, 2014; “Translating Feminist Discourse in Fay Weldon’s Big Women” in S. Stan and G. Colipcă (eds.), Translation Studies. Retrospective and Prospective Views, issue 13/2012, Galaţi: GUP; “From Breaking News to Fiction: Iain Banks’s Dead Air”, in S. Stan and G. Colipcă (eds.), Translation Studies. Retrospective and Prospective Views, issue 16/2013, Galaţi: GUP (forthcoming).
Elena IANCU is a second year PhD student at „Dunărea de Jos” University of Galaţi, Faculty of Letters, Philology, Language and Literature, who’s interested in the study of Romanian Drama after the World War Two. Her research works, which were presented at The Annual PhD Student Symposium, at the conferences and workshops organized by the departement, are treating the theatre in its diversity (the theatre of the absurd, its present directions, the authors’ reflexions in the play etc.). Her recent documentations concerns the beginings of the dramatic formulas, but also the way in which those have evolved in the inter- and post-war period.
Dorica ICHIM (COCA), PhD student in the Doctoral School of Human Sciences of The “AL. I. Cuza”, Iasi University, carries out her research under Eugeanu Munteanu’s direction. The PhD thesis is entitled „Reception of Ovid’s poetry in Romanian culture”. She had several articles and excerpts on other themes published in books and learned journals, as well as the book „Resummoned from Eternity”. She also attended conferences and participated in national and international symposiums. She is the Vice President of National Comission for the Olympiad in classical languages and a member of National and International Comission in Modern Greek.
Violeta-Teodora IORGA (LUNGEANU) est doctorante en IIème année à l’École Doctorale de Sciences socio-humanistes, dans le cadre de l’Université „Dunarea de Jos” de Galati, développant son activité de recherche sous la direction du Professeur dr. Simona Antofi. Le titre de la thèse de doctorat est « Les métamorphoses de l’autofiction féminine dans la littérature roumaine actuelle », sa démarche se proposant d’identifier, par la recherche d’un corpus de textes appartenant à la littérature roumaine féminine actuelle, les modalités de rapporter ce type de littérature au moule discursif autofictionnel. L’activité de recherche déroulée jusqu’à présent s’est concrétisée tant dans la participation aux conférences et la publication des articles, que dans l’élaboration des bases de données à caractère théorique indispensables au thème de la recherche.
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