Recueil des résumés retenus par les membres du Conseil Scientifique du gicc le 5 décembre 2016


Evaluation par Thierry Ranchin (Ecole des Mines)



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Evaluation par Thierry Ranchin (Ecole des Mines)


Acronyme et titre du projet : FORADAPT-sim

Responsable scientifique (Nom et organisme): Davi Hendrik – INRA Paca

Score final (somme des scores des rubriques) : 13

Appréciation globale (A B C) : B

Commentaire :

Points forts du projet

Connaissance et maîtrise des différents modèles pour l’objectif du projet.

Une communauté visée bien définie

Points faibles du projet

Description des interactions entre partenaires

Dissémination et communication sur le projet et sur ses résultats

Appréciation générale justifiant l’avis

Projet d’intérêt dans le cadre de l’adaptation au changement climatique d’un secteur industriel, la sylviculture. La méthodologie proposée est adéquate mais il manque de descriptions du mode de fonctionnement du projet et de sa valorisation. L’utilisation des simulations pour accompagner les acteurs dans la préparation et l’adaptation au changement climatique est tout à fait pertinente. Un plus grand soin sur la dissémination des résultats du projet et la communication sur le projet et sur ses résultats améliorerait son impact.


Evaluation par Jean-Luc Peyron (CS GICC)


Acronyme et titre du projet : FORADAPT-sim : Vers une méthodologie générique pour adapter les forêts au changement climatique: Évaluation en région PACA d’une approche basée sur la modélisation.

Responsable scientifique (Nom et organisme): Hendrik DAVI (Inra - URFM Avignon)

Score final (somme des scores des rubriques) : 15,5

Appréciation globale (A B C) : A

Commentaire :

Points forts du projet : Intégration de modèles existants éprouvés et traduction des effet du changement climatique en termes de services écosystémiques pour répondre au mieux aux besoins des gestionnaires forestiers ; valorisation d’un partenariat déjà établi entre URFM et LEF (dans le cadre du projet INFORMED notamment) ;; concertation avec les acteurs de terrain dès le début du projet ;

Points faibles du projet : L’utilisation du modèle INVEST devra faire l’objet d’une évaluation critique pour vérifier si les fonctions d’évaluation des services écosystémiques qu’il propose correspondent bien à la réalité des données disponibles et de la vision des acteurs locaux ; il faudra vérifier que les trois scénarios climatiques testés avec deux modèles couvrent bien la gamme des futurs plausibles que les décideurs doivent aujourd’hui avoir en tête avant d’engager l’avenir des forêts.

Appréciation générale justifiant l’avis : Le projet FORADAPT-sim repose sur un état de l’art bien senti, s’appuie sur un panel de modèles généralement éprouvés, est construit et clairement structuré autour de tâches articulées et complémentaires ; mobilise un budget raisonnable et bien utilisé. Il se place d’emblée en interaction avec des acteurs locaux. Il traite d’écosystèmes et essences clairement représentatives de la région méditerranéenne mais a vocation à produire des enseignements, notamment méthodologiques, dépassant le cadre de cette région. Il n’est pas censé déboucher immédiatement sur des résultats opérationnels mais tester la chaine de connaissances et de décision pour appréhender au mieux l’adaptation des forêts au changement climatique.

(27) ACCREAU-NIMES (quatrième lot)


Titre du projet

Adaptation au Changement Climatique et Raréfaction de la ressource en EAU sur le territoire de NÎMES

Acronyme

ACCREAU-NÎMES

Mots clés (5 à 10)

Changement climatique, Ressource en eau, Stratégie d’adaptation, Processus décisionnel, Perception des risques

Nom du coordinateur scientifique

Titre, Fonction

Elsa Causse

Maître de Conférences Psychologie Sociale et Environnementale



Organisme

Adresse

Téléphone

Email

Université de Nîmes, 2 rue du Docteur Georges

Salan, 30000 Nîmes

04 66 36 45 63

elsa.causse@unimes.fr



Organisme(s) et Laboratoire(s) impliqués dans le projet

Laboratoire CHROME, EA 7352

Organisme(s) gestionnaire(s) des crédits

Université de Nîmes

Coût prévisionnel total (TTC) et montant de l’aide demandée (TTC)

319 570 €

99 400 €


Cofinancements assurés et/ou prévus (TTC) (y compris autres que nationaux)

220 170 €

Durée (24 mois minimum – 36 mois maximum)

36 mois



Résumé

L’objectif général du projet ACCREAU-NÎMES est d’identifier les besoins et les modalités de l’adaptation au changement climatique, en analysant la vulnérabilité et les capacités d’adaptation des territoires et des acteurs locaux. Plusieurs champs disciplinaires seront mis en perspective afin de comprendre les processus permettant de favoriser l’appropriation de l’information délivrée par les sources expertes concernant les risques de raréfaction de l’eau. A travers une approche intégrative, multi-acteurs et holistique, nous examinerons les mécanismes qui sous-tendent la prise de décision menant à la mise en oeuvre de stratégies d’adaptation anticipatrices. Cela nous permettra d’accéder à une vue d’ensemble des actions mises en place pour s’adapter au risque de raréfaction de l’eau sur le territoire d’étude qui fera également apparaître les liens entre ces actions. Nous proposerons, sur cette base, des pistes d’actions pour améliorer la capacité d’adaptation des acteurs du territoire et le potentiel d'applicabilité des textes et recommandations concernant les risques liés au changement climatique.

Une approche comparative de trois territoires d’étude nous permettra d’examiner dans quelle mesure des dynamiques socio-spatiales et des enjeux spécifiques impactent la gestion collective de l’eau et les formes d’adaptation développées respectivement sur chacun des territoires.

Pour répondre à nos objectifs de recherche, nous croiserons deux approches complémentaires. Une approche hydrologique permettra de caractériser et de hiérarchiser les risques sur les territoires investigués à partir d’une étude bibliographique synthétisant l’impact du changement climatique sur la ressource en eau. Une approche SHS sera consacrée à l’analyse des perceptions et représentations du risque et à l’étude des processus décisionnels menant à la mise en œuvre de stratégies anticipatrices. Il semble d’abord indispensable de procéder à une analyse du cadre juridique qui s’impose à chaque catégorie d’acteurs, et de repérer des indicateurs de gestion du risque de raréfaction de l’eau. Du point de vue des sciences économiques, on confrontera les risques anticipés par les acteurs du territoire aux risques évalués par les sources expertes afin d’apprécier les degrés de divergence (ou convergence) en ce qui concerne l’impact d’un risque associé au changement climatique sur le bien-être de la société. L’approche psychosociale permettra d’évaluer s’il existe un dysfonctionnement dans la transmission et l’appropriation de l’information depuis les sources expertes vers les décideurs puis vers les usagers spécifiques et dans quelle mesure il empêche la coordination de leurs actions et le développement de stratégies anticipatrices. Du point de vue des sciences de gestion, il s’agira de mieux comprendre comment les industriels du territoire en viennent ou non à percevoir et à traiter le problème de raréfaction de la ressource en eau dès lors que cette dernière constitue une ressource stratégique pour le bon fonctionnement de leur activité. La finalité du projet est de proposer des pistes d’actions venant en appui aux politiques publiques.



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