Sommaire (cliquer sur n° de page) Des architectes imaginent le studio du futur à Londres 2


- Les sites de locations entre particuliers



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1- Les sites de locations entre particuliers

Si vous recherchez un logement en colocation ou seul et que vous souhaitez vous affranchir des frais d’agence, vous pouvez vous rendre sur le site Pap.fr. Vous y trouverez des centaines d’offres d’appartements disponibles, photos à l’appui.

Seul petit conseil : essayez d’anticiper au maximum pour éviter la cohue lors des visites, et une concurrence plus importante. Enfin, sur les plateformes d’économie collaborative telles que Leboncoin.fr, vous pourrez aussi trouver certaines offres mises en ligne par des particuliers.

2- Les sites de recherche de colocation

La colocation est évidemment une solution de choix pour profiter d’un hébergement plus économique. En effet, un loyer moyen coûte 380 euros par mois pour une colocation de deux personnes, contre 487 euros pour un étudiant seul.

Certains sites tels qu’Apartager.com ou Lacartedescolocs.fr, vous permettent d’entrer en contact avec des personnes ayant une chambre disponible et recherchant un colocataire.

Petit conseil : n’hésitez pas à aller visiter l’appartement et à rencontrer les personnes avant de vous jeter sur la première offre venue.

3- L’hébergement gratuit

 

Face à l’augmentation du prix des loyers et les craintes de certains parents de voir leur enfant quitter le nid familial pour vivre seul, certains sites tels que Coucoustudent.com ou Swapandstudy.com peuvent être une bonne solution.

Leur principe : promouvoir l’échange de logements entre familles dont les enfants partent étudier dans une autre ville. Mais la réciprocité n’est pas automatique ! Pour que ce système fonctionne, il faut simplement que vos durées et dates d’hébergement correspondent à celles d’un autre étudiant parti de la ville dans laquelle vous devez vous rendre.

4- Les foyers étudiants

 

En vous rendant sur le site de l’Union Nationale des Maisons d’Etudiants (UNME), vous pourrez accéder aux 65 foyers recensés dans 24 villes françaises.

Principal avantage : une chambre y coûte en moyenne 400 euros[2] par mois accès aux équipements de la résidence inclus. Pour quelques dizaines d’euros de plus, il est également possible d’obtenir un logement en demi-pension.

Autre avantage : souvent proches des lieux universitaires, ces établissements offrent aussi une grande convivialité.

5- Les cités étudiantes

Si vous avez moins de 28 ans au 1er septembre et que vos parents disposent de revenus modestes, vous pouvez déposer un dossier dans le CROUS de votre ville. Ces établissements gèrent les logements étudiants et les restaurants universitaires. Vous pourrez donc peut-être bénéficier d’une chambre en sidence étudiante pour un prix défiant toute concurrence.

6- La colocation avec des personnes plus âgées

Plus originale mais en plein essor, elle repose sur un principe simple. L’étudiant réalise certaines tâches pour le compte d’une personne âgée (courses, aide informatique ou administrative…) en échange dun loyer réduit dans son appartement.

Si cette expérience peut également être très enrichissante sur le plan humain, elle implique cependant de disposer d’un peu de temps. Vous trouverez des offres de ce type sur des sites spécialisés tels que Age-et-vivre.org.

7- Les aides en renfort

 

Enfin, n’oubliez pas qu’en tant qu’étudiant, vous avez droit à des aides au logement, quelle que soit votre situation financière. C’est notamment le cas des APL ou des ALS (qui concernent les logements du CROUS).

Leur montant est établi en fonction de la ville de résidence, du loyer ou encore de la structure du foyer (colocation ou non). Pour cela, adressez-vous à la CAF ! Enfin, si vous êtes éligible à certains critères sociaux, vous pouvez également demander une bourse auprès du CROUS.

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La colocation en HLM, une solution encore plus économique

http://www.lavieimmo.com/prix-immobilier/la-colocation-en-hlm-une-solution-encore-plus-economique-36288.html
En banlieue parisienne, certains jeunes n'hésitent pas à louer un appartement dans un immeuble HLM pour faire face à la crise du logement, qui n'épargne pas la colocation. Une alternative au marché locatif traditionnel encore plus économique.

(LaVieImmo.com) - Le marché de la colocation, qui offre une alternative au logement traditionnel, s'est tendu dans les grandes villes françaises. À Paris par exemple, 6 colocataires sont en recherche d’une chambre pour une seule place disponible, selon des chiffres du site spécialisé Appartager.com. En banlieue parisienne, malgré des loyers moins élevés, les jeunes rencontrent encore des difficultés pour se loger pendant leurs études. D'autant que les prix des colocations augmentent plus vite que les loyers classiques.

Dans ce contexte, certains ont eu l’idée de cohabiter en HLM pour réduire la facture. C’est le cas de Ragubalan et Julien, qui partagent en colocation le même logement social, à Rueil-Malmaison. Le bailleur 3F qui gère 140.000 logements sociaux en Ile-de-France les a réunis en mars dernier, dans un lumineux trois pièces de 55 m² avec vue imprenable sur La Défense, raconte Le Parisien dans son édition du 6 juillet.

Une aubaine, surtout quand on connaît les chiffres du logement social. L'an passé, dans cette commune des Hauts-de-Seine de 80.000 habitants, seuls 170 appartements T3 ont été attribués en 2015. C'est très peu comparé aux 1.073 demandes de logement toujours en attente...

La colocation est 30% moins cher

C’est d’ailleurs grâce au site Appartager.com que les deux ingénieurs, dont l’un en contrat d’alternance travaille à Paris, ont trouvé un logement moins cher: environ 400 euros par mois chacun, soit un prix au m² de 14,5 euros pour l’ensemble des occupants, quand le loyer moyen d’un logement traditionnel s’élève à un peu plus de 24 euros dans la capitale.

Au premier trimestre 2016, les prix moyens de la colocation en France ont atteint 461 euros, en hausse de plus de 3% par rapport à la même période de l’année dernière. Une progression désormais bien plus forte que celle de l'Indice de référence des loyers (IRL), qui lui est resté quasiment stable au premier trimestre.

Reste que la colocation demeure toujours plus intéressante que le marché locatif classique. Selon Appartager.com, cette formule est 30% moins cher. Et malgré leur progression, les loyers de ce secteur restent inférieurs au budget moyen que les colocataires se disent prêts à débourser chaque mois (506 euros).

Retrouvez les prix au m² ville par ville, partout en France

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Wattamate facilite la mise en relation de co-locataires


http://lessor.fr/wattamate-facilite-la-mise-en-relation-de-co-locataire-15327.html

Adopter son colocataire en un clic bien avisé ! C'est ce que propose Wattamate. La start-up bonnimontaine a mis au point une plateforme Web permettant de trouver son colocataire idéal grâce à un système de sélection par affinités.

C’est un business qui explose connaissance une croissance de 30 % à 40 % par an. Encore marginal il y a trois ans, le marché de la colocation connaît un boom important notamment dans les grands centres urbains.

Concernant tant les étudiants que les actifs, la colocation tend à devenir un nouveau mode de vie. Les raisons sont multiples : prix des loyers élevés, pouvoir d’achat en berne du fait du contexte économique… Sans compter que certains propriétaires voient dans la colocation un moyen de louer de grands appartements parfois difficiles à louer seul en raison d’un loyer peu attractif… tout en ayant un taux de rentabilité supérieur au m². Encore faut-il trouver le bon colocataire. C’est précisément sur ce terrain que se positionne Wattamate. La start-up bonnimontaine a développé une plateforme Web facilitant la mise en relation d’individus cherchant une colocation. « Nous avons retourné le problème. Beaucoup cherchent une colocation, pour nous, il nous est apparu plus logique de trouver déjà le bon colocataire », explique Morgan Melchilsen, fondateur de Wattamate.

Adéquation

Après une enquête auprès d’un panel de 400 personnes vivant en colocation, les fondateurs de Wattamate se sont aperçus que plus de la moitié d’entre eux avaient des problèmes relationnels avec son ou ses colocataires. D’où l’idée de créer un service en ligne basé sur un dépôt d’annonces, mais disposant d’un système de filtrage en fonction des affinités de chacun. Seuls les résultats correspondant au profil de la personne recherché sont retournés. « Nous avons mis au point un algorithme qui va calculer le pourcentage d’affinités et de complémentarité entre eux. Les personnes renseignent une Wattacard, une sorte de CV du colocataire avec son budget, sa ville, ses centres d’intérêt, son style de vie, etc.

L’application renvoie ensuite les résultats des personnes correspondantes, à eux, de se mettre en relation ensuite. » Gratuite pour les utilisateurs, Wattamate compte se rémunérer sur la revente de données ainsi qu’auprès d’annonceurs, mais aussi via la mise en place d’annonces payantes enrichies à l’image du Bon Coin. Une levée de fonds est d’ores et déjà en cours, la start-up espérant récolter 100 000 à 200 000 € cet été. Trois recrutements sont prévus pour cette année tandis que Wattamate prévoit un chiffre d’affaires de 500 000 € dès 2017 et d’atteindre les 2 M€ d’ici deux ans.
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Erasmus: où vivent les étudiants qui partent à l’étranger ?


http://mcetv.fr/mon-mag-campus/erasmus-ou-vivent-etudiants-partent-etranger-0107/
Partir en échange Erasmus, oui, mais où vivre ? Étudier à l’étranger est une expérience qui fait rêver la plupart des étudiants. Découvrir une culture différente, rencontrer de nouvelles personnes, visiter un pays… Nombreux sont ceux qui attendent chaque année de savoir s’ils ont été acceptés dans le pays de leur rêve pour un semestre, ou plus. Mais une fois les réjouissances passés, il faut préparer son départ. Trouver un logement dans son pays d’accueil devient alors une priorité. Quel type de logement favorisent-ils et quels sont les problèmes rencontrés ? L’International Exchange Erasmus Student Network (ESN) en partenariat avec Uniplaces a interrogé plus de 12 000 étudiants partis en Erasmus sur leurs préférences.

La colocation, logement préféré des Erasmus

« 47% des étudiants Erasmus se tournent vers la colocation, très appréciée puisque permettant de faire de grandes économies », explique ESN. Car qui dit étudiant dit précarité. Alors pour éviter de se ruiner en loyer, les jeunes Erasmus privilégient ce type de logement. Ce constat est particulièrement avéré en Espagne, ou 92% des étudiants Erasmus vivent en colocation. Ils sont 79% au Portugal et 70% en Italie. La plupart des étudiants en colocation ne vivent pas avec des locaux, mais avec des étudiants d’autres nationalités. Ainsi, 52% des Erasmus au Portugal vivent avec des étudiants d’autres nationalités. La résidence universitaire occupe la deuxième position au classement des logements préférés des étudiants européens. Elle accueille 45% d’entre eux en Europe. Elle a d’ailleurs beaucoup de succès en Allemagne où elle accueille 66% des étudiants Erasmus. Les résidences universitaires accueillent 57% d’entre eux en France et 51% en Grande-Bretagne.

Pas toujours facile de trouver un logement

Coûts des loyers trop élevés, manque d’informations sur les logement ainsi que sur leur emplacement précis : voilà « les trois plus grands défis auxquels doivent faire face les étudiants Erasmus ». Et la barrière pécuniaire est particulièrement élevé chez les étudiants partis étudier en Grande-Bretagne (39%), en France (30%), en Italie (26%) et en Allemagne. Quant au Portugal et à l’Espagne, le principal problème était d’obtenir des informations précises sur l’emplacement du logement. Si la France s’en sort plutôt bien sur ce point, elle est aussi championne du manque de transparence de la part des propriétaires. Ainsi, 23% des étudiant Erasmus qui s’y sont rendus s’en plaignent. Alors pour continuer à attirer les étudiants européens, quelques efforts seraient les bienvenus.

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Etudiants. Qui sont les bénéficiaires des aides au logement de la Caf ?



http://etudiant.aujourdhui.fr/etudiant/info/qui-sont-les-beneficiaires-des-aides-au-logement-de-la-caf.html
Les Caf d'Ile-de-France (Caisse d'allocations familiales) reversent tous les mois des aides à plus de 150 000 étudiants dans la région. Ces aides (APL, ALS, ALF) sont ouvertes à tous, sous conditions de ressources bien sur - voici le profil type de ces étudiants bénéficiaires : leur profil, leur loyer moyen... et le montant moyen des aides reversées

Ces chiffres sont issus du service d’étude des Caf en Ile-de-France (CTRAD) pour le mois de décembre 2015 et ne concernent que les allocataires ayant déclaré être "étudiant".
A Paris en décembre 2015, 74 646 étudiants bénéficient d'une aide au logement et représentent la moitié des étudiants franciliens percevant cette prestations.

Les Caf propose 3 aides - non cumulables - les ALS (Allocation Logement sur critère social), les ALF (pour les familles/étudiants avec enfants) - les APL (pour les logements conventionnés).

Par abus de language on parle beaucoup des APL, mais à 80% des cas les aides distribuées sont des ALS.
Ils ont en moyenne 23 ans et 18% vivent en colocation. 8 bénéficiaires sur 10 sont de nationalité française.
Montant du loyer et de l'aide au logement de la Caf
Pour 75% des Parisiens, le montant du loyer est supérieur à 400€ (contre 62% au niveau régional). Le montant moyen du loyer s’élève à 539€ à Paris en décembre 2015 (contre 480€ en Ile-de-France).

En moyenne, les étudiants parisiens perçoivent 203€ d’aide au logement et 205€ pour toute l'IDF.
Attention : le montant de l'aide au logement proposée par la Caf dépend de votre loyer mais aussi de votre situation personnelle (revenus, ressources…)

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Une coopérative étudiante qui fait des petits… légumes!


http://www.courrierlaval.com/Actualites/2016-07-22/article-4595705/Une-cooperative-etudiante-qui-fait-des-petits%26hellip%3B-legumes!/1
AGRICULTURE URBAINE. Pour une première saison, les Jardins en Équilibre font pousser des fines herbes, légumes et fruits à l'arrière du Collège Montmorency. Un projet d'une coopérative étudiante qui pourrait devenir à moyen terme un jardin sur toit vert.

Après la mise sur pied d'une coopérative à l'hiver 2016 et l'obtention de quelques subventions, le projet Jardins en Équilibre a pu amorcer ses activités en mai dernier avec la semence et plantation de légumes, fines herbes et fruits biologiques.

L'objectif? Sensibiliser la population estudiantine et générale à l'agriculture urbaine. « Nous voulons rassembler les gens autour du jardinage », fait savoir Jérôme Allard, jardinier-animateur. « La direction du cégep voulait un jardin commun et, à plus long terme, elle voudrait transporter le projet sur un toit vert lorsque l'agrandissement de l'établissement sera terminé », mentionne Nardin Farag, jardinière-animatrice.

Agriculture urbaine

L'agriculture urbaine a ceci de particulier qu'elle se réalise dans des bacs adaptés pour ce type de culture plutôt qu'en pleine terre. Le fond du bac est muni d'un réservoir d'eau qui réduit les besoins en arrosage.

« Nous avons pratiqué la méthode de compagnonnage en plantant deux variétés amies dans un même bac, ce qui favorise l'éloignement des insectes indésirables », explique-t-il. Sa collègue Nardin Farag ajoute qu'à ce jour aucun fertilisant, pesticide ou insecticide n'a été utilisé. Au total, le potager urbain comprend 70 bacs faisant pousser une vingtaine de cultivars.

Tous deux étudiant en Sciences de la nature au cégep, les jardiniers-animateurs ont dû faire face à quelques imprévus. Le potager a reçu la visite de petits rongeurs qui se sont bourré la fraise dans les crucifères. Situé à côté d'un parc municipal, le jardin a également été victime de vols.

Ateliers animés pour tous les âges

Lancé par des étudiants et deux conseillères à la vie étudiante du volet environnement, ce projet coopératif comprend l'entretien des plants, la récolte et la vente à petits prix des fruits de leur labeur, mais également l'animation d'ateliers auprès des enfants et aînés grâce à des partenariats entre les Jardins en Équilibre et des CPE, camps de jour et résidences de personnes âgées.

Par exemple, des résidents de la Résidence Soleil ont eu la visite des animateurs-jardiniers pour préparer un pot pour cultiver des légumes sur leur balcon. Les tout-petits du CPE Youpi du Collège ont, quant à eux, construit un hôtel à insectes aux côtés du potager urbain.

« Nous voulons animer des ateliers pour les participants du programme de francisation du collège, une façon d'intégrer les réfugiés et les immigrants à la communauté par une activité pratique », ajoute Jérôme Allard.

Des activités de cuisine collective se déroulant à l'intérieur du cégep sont prévues au programme automnal des Jardins en Équilibre. « À la session d'automne, nous allons offrir nos produits à bas prix aux étudiants », précise-t-il.

Pour l'instant, les légumes à maturité sont vendus à l'avant du Collège les vendredis, mais il n'est pas exclu de les retrouver ailleurs. Le mieux est de suivre la page Facebook du projet estudiantin au www.facebook.com/coopjardinsenequilibre/?fref=ts.

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Action Logement étend la caution solidaire Visale à l'ensemble des moins de trente ans


http://www.localtis.info/cs/ContentServer?pagename=Localtis/LOCActu/ArticleActualite&jid=1250271158434&cid=1250271157104
Le 21 juillet - avec quelques jours de décalage sur la date prévue en raison de l'attentat de Nice -, Emmanuelle Cosse, la ministre du Logement, et l'UESL-Action Logement ont signé un avenant à la convention quinquennale 2015-2019 qui les lie depuis décembre 2014 (voir notre article ci-contre du 3 décembre 2014). Pour l'essentiel, cette signature concrétise les mesures adoptées par le conseil d'administration d'Action Logement en juin dernier (voir notre article ci-contre du 7 juin 2016).

Ouverture de Visale aux étudiants

Le premier avenant concerne l'extension du dispositif de caution solidaire Visale à l'ensemble des jeunes de moins de 30 ans. Ce dispositif a été mis en place le 1er janvier 2016 pour succéder - avec des ambitions nettement réduites - à la défunte GUL (garantie universelle des loyers), issue de la loi Alur du 24 mars 2014 mais qui n'a jamais reçu ses textes d'application.

Dans sa version initiale (voir nos articles ci-contre des 12 et 22 janvier 2016), Visale ne couvrait en effet que les jeunes salariés : bénéficiaires d'un CDD ou d'une promesse d'embauche, CDI en période d'essai, apprentis et formations en alternance, mais aussi certaines catégories particulières comme les personnes logées dans le parc locatif privé par le biais d'une association d'intermédiation locative ou les intermittents du spectacle. Les étudiants (bénéficiaires du dispositif CLE, caution locative étudiante), mais aussi les jeunes demandeurs d'emploi n'étaient donc pas couverts. L'extension progressive du dispositif était toutefois prévue dès l'origine (voir notre article ci-contre du 12 janvier 2016).

L'avenant signé le 21 juillet prévoit que Visale sera étendue à tous les jeunes de moins de 30 ans à compter du 30 septembre 2016. Outre les jeunes salariés, seront ainsi couverts les non-salariés de moins de 30 ans, les chômeurs et étudiants (en dehors des étudiants non boursiers rattachés au foyer fiscal de leurs parents), y compris les étudiants entrant en résidence universitaire dès lors que les logements ne sont pas conventionnés.

Fonds propres, mixité sociale, logement des jeunes et rénovation énergétique

La seconde composante de l'avenant est de portée plus générale. Elle vise en effet à mettre sur pied "une mobilisation exceptionnelle d’Action Logement au service des priorités du gouvernement", en matière d'emploi, de logement et de jeunesse.

Plus concrètement, l'avenant reprend plusieurs mesures déjà annoncées. Parmi celles-ci, une bonification, à hauteur de 300 millions d'euros, d'un milliard de prêts de haut de bilan destinés à accélérer les investissements des bailleurs sociaux, aux côtés de la bonification de la Caisse des Dépôts, permettant ainsi d'atteindre une enveloppe totale de deux milliards d'euros (voir notre article ci-contre du 1er juin 2016). De même, pour favoriser la mixité sociale, Action Logement va financer la création de mille logements locatifs intermédiaires par l'Association Foncière Logement (150 millions d'euros). Sont également prévues des enveloppes supplémentaires de 75 millions d'euros pour créer des structures collectives pour les jeunes et les travailleurs migrants et de 120 millions d'euros pour soutenir l'accession à la propriété, tandis que 100 millions d'euros supplémentaires iront au financement d'actions de l'Anah en faveur de la rénovation énergétique du parc privé.
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Paris : le nouveau visage de la Porte de Vincennes se dessine


http://www.leparisien.fr/paris-75020/paris-le-nouveau-visage-de-la-porte-de-vincennes-se-dessine-19-07-2016-5979895.php
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