1 Ghislaine Chartron et Franck Rebillard, “Modèles de publication sur le web, Rapport d'activités AS-CNRS 103” (2004), http://archivesic.ccsd.cnrs.fr/sic_00001159/en/.
2 Ghislaine Chartron, “Evolution de l'édition scientifique, 15 ans après” (2007), http://archivesic.ccsd.cnrs.fr/docs/00/18/66/75/PDF/eutic-chartron-Athenes2007.pdf.
3 Marin Dacos et Pierre Mounier, L'édition électronique, 1 vol., Repères (Maspero), ISSN 0993-7625 ; 549 (Paris: la Découverte, 2010).
5 Chartron et Rebillard, “Modèles de publication sur le web, Rapport d'activités AS-CNRS 103.”, op . Cit.
6 http://Revel.unice.fr/
7 http://infoscience.epfl.ch/
8 La section « Sources » contient la liste des entretiens qui ont fourni la matière de ces études de cas.
9 Michael H Goldhaber, “The attention economy and the Net,” text, Avril 7, 1997, http://firstmonday.org/htbin/cgiwrap/bin/ojs/index.php/fm/article/viewArticle/519/440.
10 La paternité du concept est généralement attribué à Herbert Simon, bien qu’il ne le formule pas exactement en ces termes. Simon, H., 1971. « Designing Organizations for an Information-Rich World », in Computers, communications, and the public interest. pp. 72, 37. (Chantepie 2008, p.500)
11 Bush, V., 1945. As We May Think. The Atlantic monthly, 176(1), 101-108. http://www.theatlantic.com/magazine/archive/1969/12/as-we-may-think/3881/, cité par Pierre Mounier ,in “Homo Numericus : Libre accès : entre idéal et nécessité, un débat en mutation” , http://homo-numericus.net/spip.php?article300.
12 Jean-Michel Salaün, “Libre accès aux ressources scientifiques et place des bibliothèques,” Text, http://bbf.enssib.fr/consulter/bbf-2004-06-0020-003.
13 Hubert Guillaud, « Qu’est-ce que le livre à l’heure du numérique ? » in Dacos, Read/ Write Book. p. 51-71
14 Jean-Michel Salaun, “Diffusion vs accès : deux économies antagoniques,” text, Mars 15, 2007, http://blogues.ebsi.umontreal.ca/jms/index.php/post/2007/03/15/199-diffusion-vs-acces-deux-economies-antagoniques.
15 Emma Bester, L'économie de l'attention pour le libre accès. Le cas de Revues.org dans les bibliothèques universitaires. Mémoire pour obtenir le titre de "Chef de projet en ingénierie documentaire", sous la direction de Ghislaine Chartron et de Pierre Mounier (CNAM, 2009), memsic.ccsd.cnrs.fr/docs/00/52/11/26/PDF/BESTER.pdf.
16 Emma Bester, ibid. p. 40.
17 Pierre Mounier, “Homo Numericus : Libre accès : entre idéal et nécessité, un débat en mutation”, http://homo-numericus.net/spip.php?article300.
18 Ghislaine Chartron et Jean-Michel Salaün, “La reconstruction de l'économie politique des publications scientifiques,” BBF 2000, tome 45, n°2, Text, http://bbf.enssib.fr/consulter/bbf-2000-02-0032-003.
19 Bester, L'économie de l'attention pour le libre accès. Le cas de Revues.org dans les bibliothèques universitaires. Mémoire pour obtenir le titre de "Chef de projet en ingénierie documentaire", sous la direction de Ghislaine Chartron et de Pierre Mounier.
20 Chartron, “Evolution de l'édition scientifique, 15 ans après.”
21 Dacos et Mounier, L'édition électronique.
22 Salaün, “Libre accès aux ressources scientifiques et place des bibliothèques.”
23 Pour une vision critique du concept, voir Armand Mattelart, Histoire de la société de l'information, 4 éd. (Editions La Découverte, 2009).
24 Rapport du Comité IST Information scientifique et technique. Remis le 19 mai 2008 au Directeur général de la recherche et de l'innovation et au Directeur général de l'enseignement supérieur. (Paris, 2008), http://media.enseignementsup-recherche.gouv.fr/file/2008/65/8/Rapport_IST-Juin_2008_31658.pdf.
25 Ibid.
26 L’Agence Bibliographique de l’Enseignement Supérieur, http://www.abes.fr/abes/index.html
27 Association du réseau des établissements utilisateurs de l’ABES
28 Couperin, ADBU, et AURA, “Pour une politique nationale de l'IST. Propositions communes Couperin - ADBU - AURA,” Mai 2009, http://www.couperin.org/IMG/pdf/Politique_nationale_IST_Couperin-ADBU-AURA.pdf. p. 1.
29 Ibid., p. 4.
30 Jean-Michel Salaün, “Publications scientifiques : Web, bibliothèque et bien public mondial,” Forum Universitaire La communication scientifique: Enjeux du partage de la connaissance 4-6 Juin, Montréal 2003, Archives nationales du Québec, http://hal.archives-ouvertes.fr/docs/00/06/21/76/HTML/.
31 Ginsparg, P., 1994. « First Steps Towards Electronic Research Communication ». Computers in Physics, 8(4), 390-396, cité par Pierre Mounier, op. cit.
32 La notion de bien public en économie permet la prise en compte de phénomènes auxquels le marché ne peut répondre ; un bien public est un bien dont il n’est pas possible de restreindre l’usage, l’exemple canonique étant le phare en mer. La notion de bien public est également mise en avant par des courants d’économie politique insistant sur le rôle re-distributeur de l’Etat et sur la nécessité de son intervention dans certains secteurs considérés comme relevant de l’intérêt général
33 Philippe Aigrain, 2005. Cause commune : L’information entre bien commun et propriété, Fayard, cité par Pierre Mounier, op. cit.
34 Salaün, “Publications scientifiques : Web, bibliothèque et bien public mondial.”
35 Ibid.
36 Carl M. Drott.. Open access. In Blaise B. Cronin (Ed.), Annual Review of Information Science and Technology. 2006 (pp.79-109).
37 Chartron, “Evolution de l'édition scientifique, 15 ans après.”, op. cit. , p. 8.
38 Digital Repository Infrastructure Vision for European Research, http://www.driver-repository.eu/
39 Centre pour la Communication scientifique directe
40 Accès unifié aux données et documents numériques des sciences humaines et sociales, http://www.tge-adonis.fr/
41Chartron, Ghislaine. “Evolution de l'édition scientifique, 15 ans après” (2007). http://archivesic.ccsd.cnrs.fr/docs/00/18/66/75/PDF/eutic-chartron-Athenes2007.pdf., citant Dulong, Mélanie. "Le partage créatif, un système de gouvernance de la distribution d'oeuvres en ligne - A propos de Creative Commons", Revue Lamy Droit de l'Immatériel, Vol. 2, n°2, 2005, p. 59. Ce jugement n’est cependant pas partagé par tous les analystes, certains soulignant que les licences Creative Commons ne constituent pas un cadre juridique adéquat.
42 Le classement académique des universités mondiales, dit de Shanghaï, publié pour la première fois en 2003 par l’université Jiao-Tong de Shanghaï, a reçu un écho médiatique immédiat malgré les critiques systématiques dont il fait l’objet, notamment de la part des spécialistes en bibliométrie qui soulignent les nombreux biais inhérents aux choix des critères du classement (prime accordée à la taille de l’établissement notamment). En France il sert d’argument pour justifier certaines politiques comme celle du regroupement des établissements d’enseignement supérieur et de recherches dans des PRES.
43 Cette démarche d’évaluation en France concerne la plupart des grands organismes. Pour l’analyse de la démarche d’évaluation mise en place au sein de l’INRIA, à titre d’exemple, voir le document détaillé : l’INRIA, à titre d’exemple, voir les travaux de la Commission d’évaluation de l’INRIA : Commission d'évaluation de l'INRIA, “Que mesurent les indicateurs bibliométriques ?” (2007), http://www.inria.fr/content/download/6425/58287/version/1/file/ce_indicateurs.pdf. ; l’OST, l’observatoire des sciences et des techniques, produit des indicateurs sur la recherche et le développement dans un cadre national. http://www.obs-ost.fr/
44 France, ministère de l’Économie, des Finances et de l’Industrie, « Les clés de la Lolf. Budget 2006 : projet de loi et architecture ». http://www.minefi.gouv.fr/lolf/5_1_145.htm ; voir aussi Manuel Durand-Barthez, “Entre Lolf et Shanghai,” BBF, 2010, tome 55, n°4. http://bbf.enssib.fr/consulter/bbf-2010-04-0006-001.
45 La loi relative aux libertés et responsabilités des universités
46 BESSON Eric , FRANCE. Premier ministre; et FRANCE. Secrétariat d'Etat à la prospective, à l'évaluation des politiques publiques et au développement de l'économie numérique, France numérique 2012 - Plan de développement de l'économie numérique, Octobre 2008,
48 Caisse des dépôts et Conférence des Présidents des Universités, “Guide méthodologique de l'université numérique,” Janvier 2009, http://www.cpu.fr/fileadmin/fichiers/actu/CDC_Guide_universite_numerique_version_finale.pdf., p. 35.
49 Ibid, p. 34.
50 Ibid., p. 35.
51 Ibid, p. 34.
52 Salaün, “Libre accès aux ressources scientifiques et place des bibliothèques.”, op. cit.
53 Chartron et Rebillard, “Modèles de publication sur le web, Rapport d'activités AS-CNRS 103.”
54 http://infoscience.epfl.ch/
55 http://infoscience.epfl.ch/record/125618?ln=fr . Les exemples développés sur Infoscience se fondent également sur les informations recueillies lors d’entretiens réalisés à l’EPFL de Lausanne (cf. Souces).
56 Entretien réalisé avec Monique Joly. Cf. la section « Sources »
58 Infoscience se place au 6e rang du classement des archives institutionnelles et au 11e rang concernant les archives ouvertes en général. HAL occupe l’une des premières places dans ces deux classements.
59 Rapport du Comité IST Information scientifique et technique. Remis le 19 mai 2008 au Directeur général de la recherche et de l'innovation et au Directeur général de l'enseignement supérieur.
60 http://www.driver-repository.eu/
61 Un compte-rendu de ces études comparatives et une vision d’ensemble est fournie par : Muriel Foulonneau et Francis André, Investigative study of standards for digital repositories and related services (Amsterdam University Press, 2008).
62 Ibid.
63 technique permettant d’automatiser le traitement de gros volumes de contenus texte pour en extraire les principales tendances et répertorier de manière statistique les différents sujets évoqués
64 http://www.narcis.nl/ et le site de la fondation SURF qui expose les innovations du réseau en termes de communication scientifique : http://www.surffoundation.nl/en/themas/openonderzoek/Pages/default.aspx
65 http://www.openarchives.org/ore/ et le wiki de Couperin : http://gtao.wikidot.com/oai-ore . ORE (Object Reuse and Exchange) est un projet soutenu notamment par la Mellon Foundation et par Microsoft, qui implique des acteurs majeurs du champ des ressources numériques et de l’interopérabilité, mais également des communautés de spécialistes de la recherche d’information.
66 Plusieurs solutions techniques sont possibles pour permettre aux applications de découvrir ces named graphs : l’utilisation de sitemaps (des fichiers XML standards reconnaissables par les moteurs comme Google ou Yahoo !), le protocole OAI-PMH ou encore des mécanismes de syndication comme RSS ou Atom.
67 Muriel Foulonneau et Francis André, Investigative study of standards for digital repositories and related services. Amsterdam University Press ; 2008.
69 Certaines initiatives visent ainsi à prendre en compte les publications dans les revues en open access et les dépôts dans les archives ouvertes pour évaluer la recherche : Research Assessment Exercise (RAE) au Royaume-Unie, Research Quality Framework (RQF) en Australie. Voir aussi le blog de Peter Suber sur ces questions : http://www.earlham.edu/~peters/hometoc.htm.
70 http://cordis.europa.eu/cerif/
71 http://www.ukoln.ac.uk/repositories/digirep/index/SWAP . L’EAP est un standard maintenu par le JISC : http://www.jisc.ac.uk/ organisme soutenu par diverses fondations britanniques promouvant l’innovation par l’usage des TIC dans les domaines de la recherche et de la pédagogie ; il soutient des projets relatifs aux technologies numériques, à l’accès aux ressources électroniques, au nouvel environnement pour la formation et l’apprentissage, et associe experts des communications, universitaires et techniciens de l’enseignement supérieur. Plusieurs profils d’application fondés sur le DC ont été développés au Royaume Uni, parmi lesquels SWAP.
72 Le terme anglais est data center. En France beaucoup de bases en ligne regroupant des matériaux utiles à la recherche, ou pouvant constituer des sources pour la recherche ne s’appellent pas « des centres de données » : les données fournies par l’INSSE (statistiques et résultats des recensements) sur son site constituent ainsi une base de données publiques en libre accès qui peuvent servir de matériau et constituer une source pour la recherche scientifique.
79 Citées par Muriel Foulonneau et Francis André, ibid.
80 La relation entre deux ressources peut se matérialiser par une citation bibliographique, une URL, un nom d’auteur, et elle doit être interprétée par une application pour diriger l’utilisateur vers une ou plusieurs localisations.
81 Certains identifiants, fondés sur la combination d’un identifiant de l’archive avec l’identifiant de l’item qui s’y trouve, dépendent pour leur pérennité de la stabilité des archives. D’autres solutions permettent d’identifier une ressource indépendamment de sa localisation, ainsi des standards comme HANDLE, DOI, ARK, URN.
84 Le calcul de l’impact factor est proposé par le Journal Citation Report, outil bibliométrique proposé par ISI-Web of Science. Il sert à évaluer l’importance relative d’une revue par rapport aux autres revues d’une même thématique. Il mesure la fréquence de citation de « l’article moyen » d’une revue durant une année donnée. Il repose sur le calcul du rapport entre le nombre de citations reçues par un périodique pendant deux ans et le nombre d’articles publiés par un périodique pendant la même période.
85 Ce succès s’explique par celui des indicateurs bibliométriques proposés par la base, mais aussi sur les utilisations détournées qu’en font les chercheurs pour savoir qui cite leurs recherches, connaître les travaux de leurs pairs sur un sujet donné, connaître l’évolution d’un sujet, etc.
86 Muriel Foulonneau et al., Digital repositories infrastructure vision for European research : review of technical standards : DRIVER project WP7.3 deliverable prepared by CNRS, France, 1 vol. ([S.l.]: CNRS, 2007).
87 Foulonneau et André, Investigative study of standards for digital repositories and related services.
90 Yann Nicolas, “TEF en RDF - Premier essai,” Juillet 4, 2007, www.abes.fr/abes/documents/tef/rdf/tef_rdf_04072007.pdf.
91 Ibid.
92 Ibid., p. 23.
93 “Les métadonnées des thèses électroniques françaises. Recommandation préparée sous l'égide du groupe CG46/CN357/GE5 de l'AFNOR- 1ere édition,” Mai 2005, www.abes.fr/abes/documents/tef/recommandation/tef_01.pdf.
96 Calenda est un outil recensant les manifestations scientifiques, les colloques et les séminaires en sciences humaines et sociales mis en place par Revues.org
97 Daniel Bourrion, “Se fondre dans le grand tout,” Text, http://bbf.enssib.fr/consulter/bbf-2007-06-0034-006.
98 Ibid.
99 Ibid.
100 http://people.epfl.ch/, ou dans la version française http://personnes.epfl.ch/
101 Entretien avec Monique Joly, cf. Sources.
102 Le Comité scientifique et technique (CoST) et le Comité stratégique inter-établissements pour la plateforme nationale d’archives ouvertes (CoSTRA).
103 “wiki du Cost-Accueil,” wiki du Comité scientifique et technique du Comité stratégique inter-établissements pour la plate forme nationale d’archives ouvertes, http://www.revues.org/cost/index.php/Accueil.
104 CoST, “CoST – GR2 – Groupe métadonnées. Premier rapport d’étape au CoStra.” (Février 22, 2007), http://www.revues.org/cost/images/3/3c/CoST-GR2-rapport1-v1.doc . p. 13
105 ibid.
106 ibid., p. 14
107 Voir le Guide du dépôt dans HAL, section 9, sur le site du CCSD : http://www.ccsd.cnrs.fr/spip.php?rubrique12
108 Entretien avec Daniel Charnay.
109 Wiki du CoST, sous-groupe métadonnées, op. cit.
110 CoST, “Principes pour les échanges entre systèmes locaux et HAL,” http://www.revues.org/cost/images/e/e3/CoST-GR2et5-principes-v1.doc.
111 Research Assessment Exercise (RAE) au Royaume-Unie, Research Quality Framework (RQF) en Australie. Voir aussi le blog de Peter Suber sur ces questions : http://www.earlham.edu/~peters/hometoc.htm.
112 et notamment dans les revues avec un facteur d’impact élevé. Thomson Scientific et la base du Web of Science ont été acceptés comme l’outil de référence pour l’évaluation de la recherche. Leur succès repose notamment sur les outils d’analyse bibliométriques proposés, le Science Citation Index Expanded et le JCR, Journal Citation Report qui évalue le facteur d’impact des revues, c’est-à-dire le rapport, pour une année donnée, entre le nombre de citations des articles publiés par un périodique et le nombre d’articles publiés, le tout sur une période de deux ans. Il sert à évaluer l’importance relative d’une revue par rapport aux autres revues d’une même thématique. Il mesure la fréquence de citation de « l’article moyen » d’une revue durant une année donnée. Le succès de ces indicateurs se traduit notamment par le fait qu’un grand nombre de chercheurs ciblent les revues à fort facteur d’impact pour leurs publications.
113 CoST, “CoST – GR2 – Groupe métadonnées. Premier rapport d’étape au CoStra..”, op. Cit.
114 Agence de mutualisation des universités et établissements. C’est un groupement d’intérêt public qui assiste notamment les établissements dans la mise en place de systèmes d’établissements et dans l’établissements d’indicateurs de pilotages.
115 CoST, “CoST – GR2 – Groupe métadonnées. Premier rapport d’étape au CoStra..”, op. Cit.
116 L’observatoire des sciences et des techniques fournit des indicateurs sur la recherche internationale. Les travaux sur les affiliations ont lieu dans le cadre du comité Normadresse : http://www.obs-ost.fr/fr/le-savoir-faire/activites/projets-cooperatifs/suivi-detaille-de-normadresses.html
117 Entretien avec Monique Joly. Cf. « Sources »
118 La bibliométrie désigne l’application des mathématiques et des statistiques à l’analyse de la bibliographie, autrement dit l’exploitation statistique des publications. Elle peut permettre d’évaluer le fonds d’une bibliothèque, ou de suivre l’évolution d’un thème de recherche dans un corpus. Ses applications ne se limitent donc pas à l’évaluation de l’activité des laboratoires ou des chercheurs. Dans le cas de SERVAL, c’est cependant bien de celle-ci qu’il s’agit.
119 Sylvie Godel, Isabelle de Kaenel, et Pablo Iriarte, “Web Services for Bibliometrics,” http://archivesic.ccsd.cnrs.fr/sic_00540289/fr/.
120 Voir notamment Commission d'évaluation de l'INRIA, “Que mesurent les indicateurs bibliométriques ?.”
121 Le nombre H d’un auteur a été définir par J. E. Hirsch comme le nombre h d’articles de l’auteur qui ont été cités au moins h fois chacun. Il peut être facilement obtenu à partir du WoS.
122 Entretien avec Isabelle de Kaenel (voir la section « Sources »). Voir aussi Sylvie Godel, Isabelle de Kaenel et Pablo Iriarte, Op. cit., p. 5.
123 Entretien avec David Aymonin et Grégory Favre. Voir la section « Sources ».
124 Cf. partie II, supra, « Mécanismes de mise en relation ».
125 Le classement académique des universités mondiales, dit de Shanghaï, publié pour la première fois en 2003 par l’université Jiao-Tong de Shanghaï, a reçu un écho médiatique immédiat malgré les critiques systématiques dont il fait l’objet, notamment de la part des spécialistes en bibliométrie qui soulignent les nombreux biais inhérents aux choix des critères du classement (prime accordée à la taille de l’établissement notamment). En France il sert d’argument pour justifier certaines politiques comme celle du regroupement des établissements d’enseignement supérieur et de recherches dans des PRES. cf. Manuel Durand-Barthez, “Entre Lolf et Shanghai,”