Enseignants du 1er degré
|
12
|
Enseignants du 2nd degré
|
192
|
Enseignants stagiaires (élèves des ENS)
|
1 182
|
Personnels enseignants chercheurs et assimilés
|
500
|
Personnels d’accompagnement et de suivi des élèves et étudiants
|
56
|
Personnels d’encadrement
|
532
|
Personnels administratifs, techniques et de services hors encadrement
|
7 499
|
Personnels des bibliothèques et des musées
|
34
|
Total en ETPT
|
10 007
|
éléments de la dépense par nature
|
|
|
dépenses de fonctionnement
|
Autorisations d’engagement
|
Crédits de paiement
|
Catégorie
|
Prévision LFI
|
Consommation
|
Prévision LFI
|
Consommation
|
Dépenses de fonctionnement autres que celles de personnel
|
9 837 653
|
14 427 579
|
9 837 653
|
13 993 610
|
Subventions pour charges de service public
|
737 210 474
|
786 585 379
|
737 210 474
|
774 258 213
|
Dépenses de fonctionnement courant
Les crédits d’un montant de 14,4 M€ en AE et 14 M€ en CP ont été notamment consacrés :
- au fonctionnement de l’Agence d’évaluation de la recherche et de l’enseignement supérieur (AERES) pour un montant de 9,2 M€ en AE et en CP, se répartissant en 4,7 M€ consacrés au financement des déplacements et à l’hébergement des experts, 2,7 M€ au paiement du loyer et des charges, 0,8 M€ à l’informatique, 0,3 M€ à la mise en délégation des personnels scientifiques et 0,7 M€ pour diverses autres dépenses de fonctionnement ;
- à divers titres par les services rectoraux (action sociale, …) pour 1,7 M€ en AE et CP ;
- à l’ingénierie de l’opération Campus pour 1,28 M€ en AE et 0,93 M€ en CP ;
- au financement du protocole d’accord sur l’utilisation des œuvres de l’esprit pour 1 M€ en AE et CP se répartissant entre l’AVA (Société de perception et de répartition de droits) pour 0,13 M€ ; le CFC (Centre français d’exploitation du droit de copie) pour 0,7M€ ; la PROCIREP (Société des producteurs de cinéma et de télévision) pour 0,08 M€ et la SACEM (Société des auteurs, compositeurs et éditeurs de musique) pour 0,08 M€ ;
- aux frais de fonctionnement courant de l’administration centrale pour 0,83 M€ en AE et 0,74 M€ en CP (frais de déplacement, informatique…) ;
- au financement de l’académie de médecine pour 0,25 M€ en AE et en CP ;
- aux frais de fonctionnement de l’École supérieure de l’éducation nationale (ESEN) pour 0,17M€ en AE et CP.
Subventions pour charges de service public
La consommation réelle 2010 d’AE s’est élevée à 774,3 M€. Le montant qui apparaît dans le tableau de consommation de l’action (786,6 M€) s’explique par la comptabilisation de 12,3 M€ supplémentaires suite à des opérations techniques de réimputation d’engagements des années antérieures. Une explication est présentée dans la partie consacrée aux modifications impactant la nature des dépenses hors personnel dans les éléments transversaux de la partie justification au premier euro.
Total des dépenses de SCSP : 774,3 M€ en AE et CP.
Les crédits de masse salariale liés à l’accession des établissements aux responsabilités et compétences élargies, incluant les contrats doctoraux et les primes d’excellence scientifique (PES), s’élèvent à 493,3 M€ en AE et CP.
Les autres crédits de fonctionnement
281 M€ en AE et en CP ont été versés au titre des dépenses de fonctionnement.
A- LE FONCTIONNEMENT DES ÉTABLISSEMENTS DONT LA DOTATION EST CALCULÉE PAR LE MODÈLE D'ALLOCATION DES MOYENS (HORS PES)
120,4 M€ en AE et en CP ont été versés aux universités (93 %) et aux écoles d’ingénieurs (7 %).
B - LE FONCTIONNEMENT DES ÉTABLISSEMENTS « HORS MODÈLE »
88,5 M€ en AE et en CP ont été répartis de la façon suivante:
Une dotation de 49,4 M€ en AE et en CP a été consacrée au fonctionnement des grands établissements ou autres établissements non couverts par le modèle d'allocation des moyens :
54,4 %, soit 27,1 M€ en AE et en CP, de ces crédits financent le fonctionnement d’opérateurs secondaires du P150 dont le GIP Agence de mutualisation des universités et établissements (AMUE) (12 M€), le GIP Renater (8,7 M€), l’institut de France (2,3 M€), Campus France (1,6 M€), le GIP Agence Europe Education Formation France (A2E2F) (0,9 M€), le Collège de France (0,7 M€), l’EHESP (0,5 M€), les GIP Drome Ardèche et Grenoble Université (0,4 M€).
23,3 %, soit 11,6 M€ en AE et en CP, financent le fonctionnement des établissements à vocation d’enseignement supérieur et de recherche, dont : le CINES (4,92M€) le Conservatoire national des arts et métiers (CNAM) (2,2 M€), l’UT de Paris Dauphine (1,3 M€), l’École des hautes études en sciences sociales (EHESS) (1 M€), l’École nationale des Chartes (0,7 M€), l’École pratique des hautes études (EPHE) (0,6 M€), l’Institut national des langues et civilisations orientales (INALCO) (0,4 M€) et l’IAE de Paris (0,2 M€).
10 %, soit 5,1 M€ en AE et en CP, financent le fonctionnement des écoles normales supérieures.
6,5 %, soit 3,3 M€ en AE et en CP, permettent de financer le fonctionnement d’établissements à vocation principale de recherche comme le Muséum national d’histoire naturelle (2,1 M€), l’Institut de Physique du Globe de Paris (0,3M€), les observatoires (0,4M€), la MSH (0,3 M€) et l’INHA (0,2M€).
4,7 %, soit 2,3 M€ en AE et en CP financent le fonctionnement des instituts d’études politiques dont 1,3 M€ pour la FNSP
Par ailleurs, 39,1 M€ en AE et en CP ont été attribués dans le cadre de la contractualisation quadriennale des établissements de la vague C et D dont 77 % aux universités, 8 % aux écoles d’ingénieurs, 5 % aux établissements à vocation principale de recherche, 5 % aux établissements à vocation d’enseignement supérieur et de recherche et 3 % aux ENS.
C- ACTIONS SPÉCIFIQUES
72,1 M€ en AE et en CP ont été répartis de la façon suivante :
L’appui au pilotage du système universitaire : 15,4 M€ en AE et en CP
Cette catégorie comprend les actions destinées à renforcer les capacités de gestion des établissements
5,5 M€ au titre du Conseil national des universités (CNU),
5,1 M€ au titre du fonctionnement de diverses instances (Conférence des directeurs d’IUFM, atelier inter-établissements de productique et pôle de ressources informatiques pour la mécanique -AIP PRIMECA- , etc …),
1,8 M€ pour diverses actions découlant notamment du passage aux responsabilités et compétences élargies telle que la compensation de mises à disposition, certaines décharges de services,
1,4 M€ pour le fonctionnement des chancelleries des rectorats,
0,8 M€ pour la mise en place d’une enquête sur l’insertion professionnelle 2010,
0,3 M€ pour des actions d’accompagnement relatives aux opérations CAMPUS.
0,5 M€ au titre de diverses actions exceptionnelles.
L’appui au pilotage opérationnel des établissements d’enseignement supérieur : 51,8 M€ en AE et en CP
Au titre des actions concourant au pilotage opérationnel des établissements ont été financés :
23,7 M€ pour l’accompagnement des établissements d’enseignement supérieur ayant ou devant accéder aux responsabilités et compétences élargies. Cet accompagnement se traduit en N-1 par l’attribution à chacun d’une dotation de 200.000 € destinée à permettre à ceux-ci de piloter les projets de transformations, à optimiser leurs fonctions supports, à financer la formation de leurs personnels. L’année du passage, les établissements se voient accorder un forfait d’un montant plancher de 200.000 € et tenant compte de leurs effectifs ;
5,9 M€ pour le soutien aux projets conduits pour développer les usages des technologies de l’information et de la communication. Ces crédits ont été versés principalement aux universités (70%) et au CNDP (1,2 M€) qui porte le fonctionnement du Centre de Ressources et d'Information sur les Multimédias pour l'Enseignement Supérieur (CERIMES) dont la mission principale est de faciliter l'accès des enseignants- chercheurs et des étudiants de l'enseignement supérieur aux ressources audiovisuelles et multimédias et de les aider à les intégrer dans l'enseignement ;
5,8 M€ au titre de la contribution exceptionnelle à l’accompagnement des étudiants handicapés ;
5,3 M€ destinés à l’organisation de certaines agrégations (droit privé, droit public, histoire du droit, sciences économiques, sciences de gestion) et des concours d’entrées aux grandes écoles ;
2,6 M€ pour l’action sociale facultative en faveur des personnels des universités ayant accédé aux responsabilités et compétences élargies, pour les autres établissements, l’action sociale en faveur des personnels est versée par les rectorats ;
1,7 M€ destinés à la prise en charge des anciens coopérants à l’étranger ;
1 M€ au titre de la contribution du ministère au financement des contrats d’interface de l’Institut national de la santé et de la recherche médicale (INSERM) ;
1 M€ pour le financement annuel du plan de transfert des personnels du laboratoire universitaire au CHU de l’université Strasbourg ;
0,8 M€ destinés au développement des technologies informatiques liées à la recherche, notamment pour les centres de Rennes 1 (0,45 M€) et de Lille 1 (0,29 M€).
Enfin, diverses actions exceptionnelles sont financées à hauteur de 4 M€ : principalement accordées en marge de la négociation contractuelle (vague D), dont par exemple 0,15 M€ pour amorcer l'installation de la nouvelle école du Technopole de Metz, 0,6 M€ pour soutenir des projets à l’étranger (méditerranée, Chine, etc.).
L’accroissement de la dimension internationale de l’enseignement supérieur 1,6 M€ en AE et en CP
L’essentiel des crédits destinés à accroître la dimension internationale de l’enseignement supérieur français est inscrit dans les contrats quadriennaux et donc désormais dans le nouveau modèle. En supplément, des actions spécifiques concourant au rayonnement de la France universitaire et scientifique ont financé pour 1,6 M€ des programmes d’échanges dans le cadre des Campus européen d’été (CEE).
La formation des personnels enseignants et chercheurs : 3,3 M€ en AE et en CP
0,9 M€ ont financé l’organisation des concours destinés aux personnels ITARF des opérateurs du programme 150 et 0,7 M€ à la formation des personnels. 0,2 M€ ont été versés pour des actions de formation pour accompagner la mise en place de la LRU. Enfin, 1,5 M€ sont destinés à soutenir les centres d’initiation à l’enseignement supérieur (CIES).
dépenses d’investissement
|
Autorisations d’engagement
|
Crédits de paiement
|
Catégorie
|
Prévision LFI
|
Consommation
|
Prévision LFI
|
Consommation
|
Dépenses pour immobilisations corporelles de l’État
|
|
-76 042
|
|
0
|
Dépenses pour immobilisations incorporelles de l’État
|
|
751 377
|
|
0
|
depenses pour immobilisation corporelles de l’etat
Le montant négatif en AE de -76 042 € est expliqué dans la partie consacrée aux modifications impactant la nature des dépenses hors personnel dans les éléments transversaux de la partie justification au premier euro.
depenses pour immobilisation incorporelles de l’etat
0,75 M€ en AE ont été consacrés au développement du site internet du Conseil national des universités (CNU).
dépenses d’intervention
|
Autorisations d’engagement
|
Crédits de paiement
|
Catégorie
|
Prévision LFI
|
Consommation
|
Prévision LFI
|
Consommation
|
Transferts aux ménages
|
|
311 031
|
|
314 997
|
Transferts aux entreprises
|
|
3 515 000
|
|
3 035 000
|
Transferts aux collectivités territoriales
|
|
14 996
|
|
14 996
|
Transferts aux autres collectivités
|
10 111 426
|
11 703 466
|
10 111 426
|
11 646 841
|
TRANSFERTS AUX MéNAGES
0,3 M€ en AE et CP ont été versés notamment au CNOUS au titre de la convention qui crée un programme de bourses pour les étudiants arabisants.
Transferts aux entreprises
Les transferts aux entreprises à hauteur de 3,5 M€ en AE et 3 M€ CP concernent notamment la participation financière de l’État au budget du Grand équipement national de calcul intensif (GENCI) à hauteur de 2,9 M€ en AE et en CP et 0,6 M€ en AE et 0,1 M€ en CP à la Caisse des dépôts et consignations au titre du dispositif « pôle entrepreneurial ».
Transferts aux autres collectivités
Cette catégorie comprend les actions destinées à renforcer les capacités de gestion des établissements pour 11,7 M€ en AE et CP dont notamment :
4,8 M€ au titre des relations internationales de l’enseignement supérieur ;
3,5 M€ destinées aux PRES et au contrat de l’ESPCI et de l’ESTIA ;
1,7 M€ pour le fonctionnement des instances (le conseil international pour la science – ICSU -, Conférence des directeurs des écoles françaises d’ingénieur, Conférence des présidents d’universités, Conseil supérieur de la formation et de la recherche, le fonctionnement de la coordination de la formation continue, le Conseil national du droit…) ;
1,5 M€ pour contribuer aux projets en matière de développement des technologies de l’information et de la communication (notamment au groupement d’intérêt public université médicale virtuelle francophone -GIP UMVF -, à l’université numérique ingénierie et technologie –UNIT - et l’université juridique numérique francophone) ;
0,15 M€ pour le fonctionnement de l’Association de préfiguration de la fondation des femmes pour la Méditerranée (APFFM) ;
0,075 M€ pour les réserves parlementaires (Fondation internationale de finances publiques –FONDAFIP -, l’institut des hautes études de défense nationale – IHEDN -, la cité internationale universitaire de Paris ; l’institut de prospective économique du monde méditerranéen -,IPEMED- ).
dépenses d’opérations financières
|
Autorisations d’engagement
|
Crédits de paiement
|
Catégorie
|
Prévision LFI
|
Consommation
|
Prévision LFI
|
Consommation
|
Dotations en fonds propres
|
|
-21 092 361
|
|
0
|
Le montant négatif en AE de -21 092 361 € est expliqué dans la partie consacrée aux modifications impactant la nature des dépenses hors personnel dans les éléments transversaux de la partie justification au premier euro.
Récapitulation des crédits alloués aux opérateurs de l’état
|
|
|
|
Réalisation 2009 (RAP 2009)
|
LFI 2010
|
Réalisation 2010
|
Nature de la dépense
|
Autorisations d’engagement
|
Crédits
de paiement
|
Autorisations d’engagement
|
Crédits
de paiement
|
Autorisations d’engagement
|
Crédits
de paiement
|
Subventions pour charges de service public (titre 3-2)
|
4 595 774 224
|
4 614 758 061
|
8 252 864 622
|
8 252 864 622
|
8 391 553 926
|
8 378 000 608
|
Dotations en fonds propres (titre 7-2)
|
629 892 835
|
402 287 504
|
639 961 492
|
273 151 800
|
310 630 094
|
277 522 281
|
Transferts (titre 6)
|
|
|
|
|
|
|
Total
|
5 225 667 059
|
5 017 045 565
|
8 892 826 114
|
8 526 016 422
|
8 702 184 020
|
8 655 522 889
|
La réalisation 2010 des crédits versés aux opérateurs du programme présentée dans le tableau ci-dessus totalise 8 702,18 M€ en AE et 8 655,5 M€ en CP.
L’écart constaté entre l’exécution 2010 et les crédits ouverts en loi de finances se justifie principalement par :
- la fin de la mise en œuvre du plan de relance ;
- les mouvements de fongibilité asymétrique destinés à compléter le transfert effectué en LFI 2010 du titre 2 vers le titre 3 au titre des 38 établissements ayant accédé aux responsabilités et compétences élargies à compter du 1er janvier 2010.
La répartition des crédits versés aux opérateurs dans les tableaux de financement de l’État par catégorie d’opérateurs correspond à un total de 8 614,3 M€ en AE et de 8 612,4 M€ en CP.
Les crédits répartis se décomposent de la manière suivante :
- en catégorie 32 « Subventions pour charges de service public » : 8 346,1 M€ en AE et 8 357,5 M€ en CP
- dont 8 285,8 M€ en AE et 8 297,2 M€ en CP pour les opérateurs principaux ;
- dont 60,3 M€ en AE et CP pour les opérateurs secondaires.
- en catégorie 72 « Dotations en fonds propres » : 268,2 M€ en AE et 254,9 M€ en CP
- dont 263 M€ en AE et 247,4 M€ en CP pour les opérateurs principaux ;
- dont 5,2 M€ en AE et 7,5 M€ en CP pour les opérateurs secondaires.
Les autres crédits non répartis correspondent à :
- 75,4 M€ en AE et 43,1 M€ en CP qui ont été versés par les rectorats à des collectivités locales qui sont maîtrise d’ouvrage des opérations d’investissement, dont :
- en catégorie 32 « Subventions pour charges de service public » : 33 M€ en AE et 20,5 M€ en CP ;
- en catégorie 72 « Dotations en fonds propres » : 42,4 M€ en AE et 22,6 M€ en CP.
- une comptabilisation de 12,3 M€ d’AE supplémentaires suite à des opérations techniques de réimputation d’engagements des années antérieures, apparaissant dans l’action 15 (cf. partie JPE du RAP).
Pour l’ensemble des catégories d’opérateurs dont les éléments financiers figurent ci-après
Les différences constatées entre le montant des subventions versées par l’État et les ressources figurant dans les comptes des établissements s’expliquent pour partie par les procédures budgétaires et comptables retenues par les établissements pour l’enregistrement des opérations dans leur comptabilité.
Par ailleurs, les différences constatées entre les montants de dépenses figurant dans les comptes de résultats et tableaux de financement abrégés et ceux figurant dans le montant des dépenses par destinations proviennent des opérations d’ordre, comme les amortissements et provisions. Ces opérations ne sont pas intégrées à la ventilation par destination, alors qu’elles participent pleinement à la détermination de la situation financière de l’établissement et figurent à cet égard dans les comptes de résultats et les tableaux de financement abrégés.
consolidation des emplois
|
|
|
emplois des opérateurs Y COMPRIS OPÉRATEURS MULTI-IMPUTÉS SI PROGRAMME CHEF DE FILE
|
Réalisation 2009 (1)
|
Prévision 2010 (3)
|
Réalisation 2010
|
Intitulé de l’opérateur
|
ETPT rémunérés par ce programme
(2)
|
ETP rémunérés
par les opérateurs
|
ETPT rémunérés par ce programme
(2)
|
ETP rémunérés
par les opérateurs
|
ETPT rémunérés par ce programme
(2)
|
ETP rémunérés
par les opérateurs
|
|
|
sous plafond
|
hors plafond
|
contrats aidés
|
|
sous plafond
LFI
|
hors plafond
LFI
|
contrats aidés
|
|
sous plafond
|
hors plafond
|
contrats aidés
|
Universités et assimilés
|
91 603
|
48 858
|
10 357
|
|
38 163
|
103 299
|
8 496
|
|
37 513
|
101 882
|
12 591
|
707
|
Autres établissements à vocation d’enseignement supérieur et de recherche
|
3 516
|
1 049
|
83
|
|
3 530
|
848
|
467
|
|
3 502
|
1 261
|
323
|
6
|
Autres établissements à vocation principale de recherche
|
1 705
|
359
|
204
|
|
1 708
|
313
|
438
|
|
1 706
|
360
|
258
|
5
|
Ecoles et formations d’ingénieurs
|
9 333
|
1 718
|
1 591
|
|
6 357
|
4 833
|
1 166
|
|
6 473
|
5 222
|
1 636
|
23
|
Ecoles françaises à l’étranger
|
|
118
|
18
|
|
|
456
|
0
|
|
|
400
|
18
|
0
|
Ecoles normales supérieures
|
4 463
|
166
|
250
|
|
1 635
|
3 140
|
177
|
|
1 714
|
2 615
|
321
|
0
|
EPCJ - Etablissement public du campus de Jussieu
|
|
42
|
0
|
|
|
57
|
0
|
|
|
56
|
0
|
0
|
Instituts d’études politiques
|
587
|
428
|
50
|
|
589
|
520
|
306
|
|
573
|
764
|
337
|
8
|
A2E2F - Agence Europe Education Formation France
|
|
11
|
0
|
|
|
11
|
30
|
|
|
11
|
31
|
0
|
Académie des sciences de l’outre - mer
|
|
4
|
0
|
|
|
4
|
0
|
|
3
|
4
|
0
|
0
|
ADU Drôme Ardèche - Agence du développement universitaire Drôme Ardèche
|
|
4
|
0
|
|
|
|
|
|
|
5
|
0
|
0
|
AMUE - Agence de mutualisation des universités et des établissements publics d’enseignement supérieure et de recherche
|
|
0
|
114
|
|
|
0
|
126
|
|
|
0
|
118
|
|
BULAC - Bibliothèque universitaire des langues et civilisations
|
|
27
|
0
|
|
|
|
|
|
|
24
|
0
|
0
|
Chancelleries des universités
|
|
0
|
44
|
|
|
0
|
34
|
|
379
|
|
44
|
|
Collège de France
|
|
28
|
13
|
|
|
54
|
15
|
|
322
|
30
|
15
|
|
Institut de France
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
Pôles universitaires et assimilés
|
|
6
|
0
|
|
|
|
|
|
|
6
|
0
|
|
RENATER - Réseau national de communications pour la technologie , l’enseignement et la recherche
|
|
4
|
26
|
|
|
0
|
26
|
|
|
|
26
|
|
Total
|
111 207
|
52 822
|
12 750
|
|
51 982
|
113 535
|
11 281
|
|
52 185
|
112 640
|
15 718
|
749
|
(1) La réalisation 2009 reprend la présentation du RAP 2009.
(2) Emplois des opérateurs inclus dans le plafond d'emplois du ministère.
(3) La prévision 2010 fait référence aux plafonds votés en Loi de finances initiale 2010 ou, le cas échéant, en Loi de finances rectificative 2010.
emplois des opérateurs MULTI-IMPUTÉS (PROGRAMME NON CHEF DE FILE)
|
Réalisation 2009 (1)
|
Prévision 2010 (3)
|
Réalisation 2010
|
Intitulé de l’opérateur
Programme chef de file
|
ETPT rémunérés par ce programme
(2)
|
ETP rémunérés
par les opérateurs (4)
|
ETPT rémunérés par ce programme
(2)
|
ETP rémunérés
par les opérateurs (4)
|
ETPT rémunérés par ce programme
(2)
|
ETP rémunérés
par les opérateurs (4)
|
|
|
sous plafond
|
hors plafond
|
contrats aidés
|
|
sous plafond
LFI
|
hors plafond
LFI
|
contrats aidés
|
|
sous plafond
|
hors plafond
|
contrats aidés
|
CAMPUSFRANCE - Agence de promotion des formations et des échanges éducatifs et scientifiques
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
185 Rayonnement culturel et scientifique
|
|
29
|
2
|
|
|
30
|
8
|
|
|
33
|
5
|
|
EPMQB - Etablissement public du musée du quai Branly
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
175 Patrimoines
|
|
253
|
|
|
|
262
|
|
|
|
262
|
|
|
Total
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(1) La réalisation 2009 reprend la présentation du RAP 2009.
(2) Emplois des opérateurs inclus dans le plafond d'emplois du ministère.
(3) La prévision 2010 fait référence aux plafonds votés en Loi de finances initiale 2010 ou, le cas échéant, en Loi de finances rectificative 2010.
(4) Selon les informations fournies dans le RAP du programme chef de file
EMPLOIS DES OPÉRATEURS
Comme dans les documents budgétaires des années précédentes, les données relatives aux emplois rémunérés par les opérateurs du programme, en prévision comme en réalisation, sont issues pour partie :
- d’une enquête déclarative annuelle effectuée auprès des opérateurs n’ayant pas accédé aux responsabilités et compétences élargies ;
- pour 56 établissements des données issues de l’application de décompte des emplois OREMS, dont la fiabilisation se poursuit.
Pour l’année 2010, la réalisation des emplois rémunérés par les opérateurs s’élève à 128 358 ETP, dont :
- 112 640 relèvent du plafond opérateur ;
- 15 718 ETP sont décomptés hors plafond : dont 14 969 ETP hors contrats aidés et 749 contrats aidés.
A compter de l’exercice 2010, les 56 opérateurs qui ont accédé aux RCE représentent 99 135 ETP sous plafond (soit 88 % des emplois sous plafond) et 13 424 ETP hors plafond (85 % des emplois hors plafond).
Emplois relevant du sous-plafond État des opérateurs
La réalisation totale 2010 des emplois sous-plafond État est de 112 640 ETP. Au regard de la réalisation 2009 (52 822 ETP), on constate une évolution de 59 818 ETP. Cette augmentation résulte de plusieurs facteurs cumulatifs : la modification de périmètre intervenue pour les établissements passés aux responsabilités et compétences élargies (transfert du plafond État vers le plafond d’emplois des opérateurs), l’intégration dans le périmètre de l’enquête de SUPELEC et de la fiabilisation des données de l’enquête menée auprès des établissements.
Comme indiqué ci-dessus, l’écart constaté sur les écoles et formations d’ingénieurs est principalement imputable à l’entrée de l’école SUPELEC dans le périmètre de l’enquête. Cette modification de périmètre contribue à augmenter la réalisation 2010 des écoles et formations d’ingénieurs de 389 ETP sous plafond État.
Des écarts sont aussi présentés entre les prévisions et les réalisations 2010 suite à la fiabilisation des données déclarées par les établissements : + 413 ETP sur les Autres établissements à vocation d’enseignement supérieur et de recherche et + 244 ETP pour les Instituts d’études politiques.
Emplois « hors-plafond État » des opérateurs (financés sur ressources propres, formation continue et recherche)
L’augmentation significative observée entre la réalisation 2009 et la réalisation 2010 (+ 3 688 ETP hors contrats aidés) résulte pour une part des travaux de fiabilisation de l’enquête déclarative, d’un meilleur décompte des emplois par les établissements eux-mêmes, mais aussi des fluctuations inhérentes aux contrats de recherche ou de formation continue passés par les établissements.
On constate néanmoins que l’écart entre la réalisation 2009 et la réalisation 2010 est inférieur à l’écart constaté l’an dernier.
Contrats aidés
Concernant les contrats aidés, le montant présenté reflète les réalisations constatés dans OREMS pour les établissements RCE (424 ETP) et l’enquête déclarative des autres établissements. Aucune prévision n’avait pu être présentée dans le PAP 2010.
BUDGET 2010 OPÉRATEURS DE L’ÉTAT
Les données communiquées dans ce document budgétaire sont des données provisoires, issues d'une enquête déclarative annuelle réalisée entre le mois de février et la mi-mars 2011 auprès de la totalité des 203 opérateurs du programme 150, dont le pourcentage de réponses est quasi complet (99,8 % de réponses). Le régime financier de ces établissements dispose en effet que les comptes financiers sont approuvés au plus tard à l’expiration du 4ème mois qui suit l’exercice, soit le 30 avril.
Le ministère de l’enseignement supérieur et de la recherche met en œuvre une procédure de transfert automatisé des comptes financiers provisoires par l'intermédiaire de la direction générale des finances publiques (DGFIP), en vue d’une alimentation de son portail d’aide au pilotage de l’enseignement supérieur et de la recherche (PapESR). A terme, les informations financières en provenance des établissements seront consolidées par ce canal, ce qui devrait permettre d’optimiser la fiabilisation des restitutions.
Commentaires sur les comptes de l’ensemble des opérateurs
Les comptes agrégés de chaque catégorie d’opérateurs font l’objet d’une présentation distincte sous forme de tableaux et graphiques dans la suite du document budgétaire.
Les éléments décrits dans les comptes de résultat et les tableaux de financement abrégés intègrent les dotations aux amortissements ou les provisions contrairement à la ventilation des dépenses par destination, ce qui explique les écarts constatés entre les tableaux.
On peut estimer que les dépenses de l’ensemble des opérateurs du programme 150 s’élève en exécution 2010 à un montant global ajusté à plus de 12 milliard d’euros, financés à hauteur de 8,6 milliards par le programme 150 du ministère de l’enseignement supérieur et de la recherche.
L’augmentation du budget réalisé 2010 des opérateurs sur l’exercice antérieur de 2009 s’explique par le passage de 38 établissements aux responsabilités et compétences élargies au 1er janvier 2010 (33 universités, 2 écoles normales supérieures et 3 instituts nationaux polytechniques) se traduisant par un transfert de la masse salariale vers le budget des établissements de l’ordre de plus de 3,7 milliards d’euros en recettes de fonctionnement et en dépenses de personnel.
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