Annexes budgétaires



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Intitulé de l’action

LFI 2007
Crédits directs
y.c. FDC et ADP

LFI 2007
après
ventilation interne

LFI 2007
après
ventilation externe

Prévention des risques technologiques et des pollutions

63 048 927

63 048 927

220 939 455

Prévention des risques naturels

29 357 453

29 357 453

43 608 301

Gestion des crues

70 415 824

70 415 824

106 676 238

Gestion des déchets et évaluation des produits

7 279 521

7 279 521

10 730 312

Lutte contre les pollutions de l’eau et des milieux aquatiques

9 343 353

9 343 353

19 460 879

Lutte contre le changement climatique (ancien)










Total

179 445 078

179 445 078

401 415 185


Dépenses exécutées après ventilation ou « dépenses complètes »







Avertissement

Les dépenses complètes sont présentées en deux phases. Lorsque sont opérés des déversements entre actions du programme, seuls ceux-ci sont pris en compte dans un premier temps, afin que le responsable de programme présente les dépenses par action de politique publique résultant de sa gestion.



Les déversements vers ou depuis les actions d’autres programmes, voire d’autres missions, sont intégrés dans un second temps, afin de rendre compte de la dépense complète exécutée, par action de politique publique.



Dépenses exécutées après ventilation interne









Intitulé de l’action

Exécution 2007
Crédits
de paiement

Ventilation interne
au sein
du programme

Exécution 2007
après
ventilation interne

Écart
à la prévision
2007

Écart
à l’exécution
2006

Dépenses directes

Prévention des risques technologiques et des pollutions

54 527 967

0

54 527 967

-8 520 960

-6 360 157

Prévention des risques naturels

20 496 386

0

20 496 386

-8 861 067

+8 545 285

Gestion des crues

52 072 408

0

52 072 408

-18 343 416

+24 943 371

Gestion des déchets et évaluation des produits

6 817 262

0

6 817 262

-462 259

-17 283 200

Lutte contre les pollutions de l’eau et des milieux aquatiques

10 918 118

0

10 918 118

+1 574 765

-7 629 987

Lutte contre le changement climatique (ancien)













-9 643 834

Total__144_832_141__0__144_832_141'>Total

144 832 141

0

144 832 141

-34 612 937

-7 428 522

ANALYSE DES RÉSULTATS



L’écart entre la prévision et la réalisation 2007 est liée à la différence entre les prévisions initiales de rattachement du fonds de concours « Barnier stock » pour 40 M€ (prélèvement sur le fonds de protection des risques naturels majeurs) et le montant effectivement rattaché en gestion de 19 M€. Les deux actions impactées sont les actions n°1 et 3, seules concernées par le rattachement de ce fonds de concours.



Dépenses exécutées après ventilation EXterne









Intitulé de l’action

Exécution 2007
après
ventilation interne

Ventilation externe
depuis ou vers d’autres programmes

Exécution 2007
après
ventilation externe

Écart
à la prévision
2007

Écart
à l’exécution
2006

Dépenses complètes

Prévention des risques technologiques et des pollutions

54 527 967

+110 827 922

165 355 889

-55 583 566

-35 926 909

Prévention des risques naturels

20 496 386

+3 570 138

24 066 524

-19 541 777

+4 764 376

Gestion des crues

52 072 408

+15 861 869

67 934 277

-38 741 961

+22 263 038

Gestion des déchets et évaluation des produits

6 817 262

+2 218 327

9 035 589

-1 694 723

-19 070 878

Lutte contre les pollutions de l’eau et des milieux aquatiques

10 918 118

+3 446 269

14 364 387

-5 096 492

-12 669 592

Lutte contre le changement climatique (ancien)













-10 025 938

Total

144 832 141

+135 924 525

280 756 666

-120 658 519

-50 665 903


Ventilation des dépenses de pilotage, de soutien et/ou de polyvalence vers (+) ou en provenance (-) d’autres programmes

-135 924 525

Aménagement, urbanisme et ingénierie publique (Mission « Politique des territoires »)

-700 993

Contrôle et prévention des risques technologiques et développement industriel (Mission « Développement et régulation économiques »)

-37 802 421

Gestion durable de l’agriculture, de la pêche et développement rural (Mission « Agriculture, pêche, forêt et affaires rurales »)

-3 913 473

Sécurité et qualité sanitaires de l’alimentation (Mission « Sécurité sanitaire »)

-12 948 450

Conduite et pilotage des politiques environnementales et développement durable (Mission « Écologie et développement durable »)

-26 363 601

Conduite et pilotage des politiques de l’agriculture (Mission « Agriculture, pêche, forêt et affaires rurales »)

-2 205 458

Soutien et pilotage des politiques de l’équipement (Mission « Transports »)

-51 990 129

Les écarts entre la prévision et la réalisation 2007 sont principalement liés à la difficulté d’intégrer en comptabilité d’analyse des coûts les modalités particulières de gestion des effectifs du ministère chargé de l’écologie. Les crédits sont inscrits en LFI sur le programme 211 à hauteur de plus de 220 M€. Les effectifs étant effectivement rémunérés par les ministères partenaires, les crédits correspondant sont transférés en gestion sur les programmes des ministères partenaires. Les crédits de rémunération du programme 211 ont donc fait l’objet d’un déversement dans la CAC prévisionnelle vers le programme 181 à hauteur de 144 M€, alors que les crédits exécutés en titre 2 sur le programme 211 représentent moins de 10 M€. Les déversements des ministères partenaires n’ont pu intégrer que la part des crédits correspondant aux effectifs relevant uniquement de leur plafond d’emploi et travaillant pour l’écologie. Si le déversement initial pouvait être réintégré, la différence par rapport à l’exécution serait positive de 24 M€.


Coûts complets par action de politique publique







Avertissement

La construction de coûts complets assis exclusivement sur des données de comptabilité générale (charges) a pour but de compléter l’information du Parlement en donnant une image plus fidèle de la consommation de l’ensemble des ressources, imputable à l’exercice, permettant l’atteinte des objectifs des politiques publiques. Il s’agit là d’un objectif à terme.

En effet, la présentation des coûts complets revêt encore un aspect lacunaire, tant dans leur teneur que dans leur interprétation.

La palette des données comptables à analyser est certes large en théorie : charges ayant donné lieu à opérations budgétaires (personnel, fonctionnement, subventions pour charges de service public, transferts aux ménages, entreprises et collectivités), rattachement de charges à l’exercice et charges n’ayant donné lieu à aucun décaissement (variations de stocks, dotations aux amortissements, aux dépréciations d’actifs, aux provisions…).

Toutefois, les immobilisations ne sont pas encore prises en compte dans leur ensemble dans le bilan de l’État. Le périmètre des actifs intégrés est d’ailleurs variable selon les ministères. De même, seuls les stocks significatifs, en termes de volume et d’enjeu, figurent au bilan.

La non exhaustivité du bilan de l’État et les difficultés inhérentes à l’appropriation progressive de la comptabilité générale limitent encore de fait la portée de l’analyse des coûts appliquée aux charges. Les données comptables elles-mêmes et les traitements analytiques ne permettent pas encore d’évaluer avec suffisamment de précision les coûts complets des politiques publiques. Le coût économique et le lien avec les activités, lorsqu’ils auront pu être établis, ne sauraient donc avoir qu’un caractère indicatif, au mieux illustratif.





Intitulé de l’action

Exécution
2007

Ventilation des coûts de pilotage,
de soutien et/ou de polyvalence

Exécution
2007

Écart
à l’exécution 2006




Coûts directs

au sein du programme

entre programmes

Coûts complets

Coûts complets

Prévention des risques technologiques et des pollutions

9 102 180

0

+111 187 675

120 289 855

-82 566 864

Prévention des risques naturels

17 221 833

0

+3 543 579

20 765 412

+4 031 068

Gestion des crues

50 605 537

0

+15 743 870

66 349 407

+8 575 280

Gestion des déchets et évaluation des produits

18 070 980

0

+2 201 825

20 272 805

-6 907 845

Lutte contre les pollutions de l’eau et des milieux aquatiques

19 045 968

0

+3 420 632

22 466 600

+53 385 695

Lutte contre le changement climatique (ancien)













-10 022 803

Totaux

114 046 498

0

+136 097 581

250 144 079

-33 505 469


Ventilation des coûts de pilotage, de soutien et/ou de polyvalence
vers (+) ou en provenance (-) d’autres programmes

-136 097 581

Aménagement, urbanisme et ingénierie publique (Mission « Politique des territoires »)

-720 475

Contrôle et prévention des risques technologiques et développement industriel (Mission « Développement et régulation économiques »)

-38 705 422

Gestion durable de l’agriculture, de la pêche et développement rural (Mission « Agriculture, pêche, forêt et affaires rurales »)

-3 754 462

Sécurité et qualité sanitaires de l’alimentation (Mission « Sécurité sanitaire »)

-13 118 147

Conduite et pilotage des politiques environnementales et développement durable (Mission « Écologie et développement durable »)

-23 447 040

Conduite et pilotage des politiques de l’agriculture (Mission « Agriculture, pêche, forêt et affaires rurales »)

-2 133 995

Soutien et pilotage des politiques de l’équipement (Mission « Transports »)

-54 218 040



Analyse des coûts complets







La comptabilité d’analyse des coûts en charge a été réalisée à partir des données de la comptabilité générale relative aux charges fournies par les départements comptables ministériels concernés. Les déversements ont été effectués en fonction des effectifs relevant des actions comme l’indique les enquêtes des effectifs.

Programme 153



(Aplat goldie économisons l’encre)

Programme 153

Gestion des milieux et biodiversité

ministre concerné : jean-louis borloo, ministre d’état, ministre de l’écologie, de l’énergie, du développement durable et de l’aménagement du territoire





Bilan stratégique du rapport annuel de performances

74

Présentation des crédits et des dépenses fiscales

77

Rappel de la présentation du programme

85

Objectifs et indicateurs de performance

88

Justification au premier euro

94

Opérateurs

113

Analyse des coûts du programme et des actions

134



Bilan stratégique du rapport annuel de performances









Michèle ROUSSEAU

Secrétaire générale

Responsable du programme n° 153 : Gestion des milieux et biodiversité

Le programme 153 est constitué de deux politiques : la politique de l’eau et la politique de la nature et des paysages.

POLITIQUE DE L’EAU

Analyse de la performance  :

Les objectifs du programme sont l’atteinte du bon état des eaux en 2015 (application de la DCE) et la conciliation et la satisfaction des différents usages de l’eau, via la gouvernance dans le domaine de l’eau. Ces deux objectifs sont liés, la planification étant utilisée dans la lutte pour le bon état. Le programme est axé sur la défense du bon état qui est mis en œuvre grâce à quatre instruments : la police (y compris celle exercée par le CSP, devenu l’Office national de l’eau et des milieux aquatiques - ONEMA - par décret du 27 mars 2007), les recettes perçues et les subventions versées par les agences de l’eau, les documents de planification et enfin le système d’information sur l’eau.

Le service unique de police de l’eau est hébergé par les directions départementales de l’agriculture et de la forêt (DDAF). Sa gestion sera facilitée par la réforme des services départementaux de l’Etat (fusion des DDE et DDAF.) Le réseau hydrobiologique des DIREN caractérisera l’état des masses d’eau et le comparera au « bon état écologique » en 2015. En matière de contrôle, les résultats obtenus se rapprochent de 20% d’ETP consacrés aux contrôles, résultats qui correspondent à la cible attendue pour 2007. En outre, un système informatique de gestion des remontées d’information dédié (Cascade) est en cours de développement (2007-2008).

Le système d’information sur l’eau (SI eau), instrument d’application des directives, collecte, bancarise et valorise les données sur l’eau. Les divers participants au SI eau (associations, services de l’Etat, établissements publics) conservent leurs applications et leurs bases de données, mais ces systèmes sont rendus inter-opérables.

S’agissant des actions de gouvernance, la loi sur l’eau du 30 décembre 2006 et son décret d’application du 10 août 2007 sur les SAGE créent de nouvelles obligations. Il s’agit, d’une part, de la nécessité de diligenter une enquête d’utilité publique et, d’autre part, de constituer un nouveau document (le règlement). Ces nouvelles obligations ont eu un impact sur les délais et le nombre de procédures effectuées en 2007, et sans doute en 2008.

Orientations futures :

En 2008, la politique de l’eau a été regroupée dans un programme unique (le programme 181). Une réforme de nomenclature est en cours d’instruction pour les budgets 2009-2011, en cohérence avec la réforme de l’administration centrale du MEEDDAT issue du Grenelle de l’environnement et la refonte des services déconcentrés Les modalités de la mesure de la performance seront vraisemblablement modifiées.

En décembre 2007, les services de la police de l’eau de l’Etat, les DIREN et les missions inter-services de l’eau (MISE) ont été destinataires d’une feuille de route qui précise les chantiers prioritaires pour 2008. Ces orientations tiennent compte des conclusions du Grenelle de l’environnement et accompagnent la simplification des textes réglementaires intervenue dans le cadre de la loi sur l’eau. Elles permettront aux services de police de l’eau d’accroître le temps consacré aux contrôles et d’intensifier la lutte pour le bon état des masses d’eau.

La gestion opérationnelle du système d’information sur l’eau (Si eau) est dévolue à l’ONEMA, qui centralisera les données sur l’eau et apportera sa compétence technique sur le traitement des données et leur rapportage, facilitant ainsi le suivi des résultats de la politique. Les réseaux de surveillance de la qualité des eaux, dont la création est requise par la directive cadre sur l’eau, ont été mis en place dans chaque bassin en fin d’année. Dès 2007, il est ainsi possible de mesurer la qualité des milieux aquatiques.

Enfin, les agences de l’eau et l’ONEMA apporteront leur soutien financier aux opérations menées par les collectivités territoriales en cohérence avec les objectifs prioritaires. En particulier, l’ONEMA se substituera à l’Etat pour le financement des opérations de préservation des zones humides en métropole et les opérations de mise aux normes des équipements d’épuration des eaux dans les DOM et les TOM.

POLITIQUE DE LA NATURE ET DES PAYSAGES

60% des écosystèmes à l’échelle mondiale sont dégradés alors que les services économiques, culturels et environnementaux qu’ils rendent à nos sociétés demeurent indispensables à notre développement et à notre avenir. La dégradation du fonctionnement et de la qualité de ces écosystèmes induira des coûts socio-économiques et budgétaires. Face à cet enjeu, la stratégie déployée en 2007 dans le domaine de la nature et des paysages a consisté à valoriser les territoires par une gestion durable du patrimoine naturel, au moyen d’outils réglementaires et incitatifs, tout en veillant à la maîtrise des dépenses publiques.

Le premier objectif (objectif n°3) vise à améliorer l’efficacité biologique et l’efficience du réseau des espaces protégés au titre de la nature et des paysages.

En 2007, le déploiement de nouveaux outils de protection et l’accroissement de ce réseau ont constitué des axes forts de performance. Deux nouveaux parcs (Guyane et Réunion) ont été créés, traduisant l’importance des enjeux de conservation de la biodiversité ultra-marine et l’engagement de la France dans ce domaine. La superficie totale des cœurs de parcs nationaux atteint désormais plus de 2,5 millions d’hectares, alors qu’elle n’en comptait que 0,3 millions en 2006.

La mise en place du premier parc naturel marin en mer d’Iroise a également été une étape marquante de 2007. Instauré par la loi du 14 avril 2006, ce nouvel outil a pour finalité de protéger et de gérer durablement les espaces marins à forte valeur patrimoniale. Dans le cadre de la stratégie nationale pour les aires marines protégées, approuvée à l’automne dernier et confirmée par les conclusions du Grenelle de l’environnement, il sera mis en place un réseau d’aires marines protégées, dont la nouvelle agence des aires marines protégées aura la charge d’assurer la création, la mise en cohérence et l’animation.

Plusieurs créations ou extensions de réserves naturelles nationales sont, par ailleurs, intervenues : quatre nouvelles réserves, couvrant au total 7 601 hectares, ont vu le jour et une réserve a été étendue (+ 364 hectares).

Le second objectif (objectif n°4) prévoit d’inciter, par le biais d’actions partenariales, à la conservation des espaces naturels et des espèces animales et végétales menacés.

Face à la menace de contentieux communautaires, priorité a été donnée, au cours du premier trimestre de l’année 2007, à l’achèvement du réseau terrestre des sites Natura 2000. La finalisation de ce réseau, représentant à ce jour 1705 sites couvrant plus de 6,8 millions d’hectares (12,4% du territoire terrestre métropolitain), a conduit au classement des poursuites à l’encontre de la France.

Fin 2007, des documents d'objectifs (DOCOB) étaient engagés sur les deux tiers du réseau et plus de 700 sites étaient entrés en phase d’animation. La poursuite de cette cadence devrait permettre d’atteindre l’objectif fixé par l’Union européenne qui est de doter tous les sites Natura 2000 de plans de gestion d’ici 2010/2011, et ce, à coût maîtrisé. Par ailleurs, l’obligation communautaire de constituer un réseau en mer cohérent et suffisant d’ici à la mi-2008 a nécessité un travail important de formalisation et de mise en œuvre des procédures relatives à la désignation des sites Natura 2000 pour les habitats naturels et les espèces d’intérêt communautaire présents dans l’espace maritime. Ce travail devrait aboutir à l’identification de prés de 300 sites dès la fin de l’année 2008.

Enfin, l’année 2007 a vu conduite la première évaluation sur l’état de conservation des espèces et habitats d’intérêt communautaire pour la période 2000-2006. Les résultats ont été transmis à la Commission européenne au début de l’année 2008 et ont permis de déterminer des prescriptions en matière de maintien ou de restauration d’un état de conservation favorable de ces espèces et habitats, qui font ressortir des enjeux forts en termes de connaissance, de pilotage des politiques de préservation de la nature et de prise en compte de la biodiversité dans les politiques sectorielles.

Un bilan satisfaisant, conforté par un niveau élevé de consommation sur les actions 3 et 4 (près de 99% en AE et en CP), mérite donc d’être dressé. Il résulte principalement des éléments stratégiques de pilotage suivants :

- le renforcement du pilotage des opérateurs, en particulier par la mise en œuvre des contrats d’objectifs finalisés avec les parcs nationaux et avec l’Office national de la chasse et de la faune sauvage (ONCFS), et par la création et la diffusion d’outils et de procédures de qualité ;

- la mise en œuvre du protocole du système d’information sur la nature et les paysages (SINP), dont les modalités ont été définies par la circulaire du 21 mai 2007, qui a favorisé les synergies entre acteurs pour la production, la gestion, le traitement, la valorisation et la diffusion des données sur la nature et les paysages;

- le perfectionnement des processus partenariaux qui contribuent à construire des consensus autour de la mise en œuvre de la stratégie nationale pour la biodiversité et de ses plans d’actions.





récapitulation des objectifs et indicateurs de performance







OBJECTIF 1 : Satisfaire aux obligations communautaires de bon état de l’eau et des milieux aquatiques en conciliant les différents usages de l’eau.

- Indicateur 1.1 : Efficacité de la police de l’eau

- Indicateur 1.2 : Pourcentage de zones humides bénéficiant d’une intervention des agences de l’eau

OBJECTIF 2 : Renforcer l’implication des acteurs dans les programmes nationaux ou locaux améliorant la qualité de l’eau

- Indicateur 2.1 : Couverture du territoire par des schémas d’aménagement et de gestion des eaux (SAGE)



OBJECTIF 3 : Améliorer l’efficacité biologique et l’efficience du réseau des espaces protégés au titre de la nature et des paysages

- Indicateur 3.1 : Coût annuel pour le MEDD de l’hectare (ha) d’espace protégé



OBJECTIF 4 : Inciter par le biais d’actions partenariales à la conservation des espaces naturels et des espèces animales et végétales menacés

- Indicateur 4.1 : Variation moyenne depuis 10 ans de l’indice d’évolution de la biodiversité avifaunistique

- Indicateur 4.2 : Coût annuel pour le MEDD des mesures de gestion des sites Natura 2000


Présentation des crédits et des dépenses fiscales







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