Université Louis Lumière Lyon 2 Faculté de Géographie, Histoire de l’Art, Tourisme


§75, [Kant, E., 1790, 1989], pp. 214-215



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Critique de la Faculté de Juger, §75, [Kant, E., 1790, 1989], pp. 214-215.

1 [Françon, J., 1991], p. 233.

2 [Françon, J., 1991], p. 242.

3 De fait, le premier article de 1981 fait encore paraître l’adresse de de Reffye à Abidjan…

me [Jaeger, M., 1987], p. 46.

1 [Jaeger, M., 1987], p. 4. À ce sujet, l’équipe de de Reffye a coutume de dire que la tige d’une plante pousse un peu « comme le dentifrice sort de son tube quand on le presse » : lors d’une ramification, les entre-nœuds ne sont pas remplacés par d’autres qui seraient ramifiés. L’image d’une substitution ou d’une réécriture telle qu’elle intervient dans les L-systèmes est donc trompeuse d’une point de vue botanique. Les L-systèmes restent un modèle valant pour une approche figurative.

1 [Jaeger, M., 1987], p. 60.

2 [Bouchon, J., Reffye (de), Ph., Barthélémy, D., 1997], p. 317. [Reffye (de), Ph., Blaise, F., Guédon, Y., 1993] préciseront également : « les concepts botaniques utilisés et la modélisation mathématique qui en découle font que la simulation tend à reproduire le fonctionnement de la plante plutôt que sa seule forme » (p. 40.) ; et la phrase de Blaise est reprise dans les mêmes termes p. 41. Ainsi le logiciel semble réaliser un « modèle vrai » de l’arbre, au sens de J. Sauvan, (in [Sauvan, J., 1966] cité par [Legay, J.-M., 1997], p. 25). C’est-à-dire qu’il coïncide avec la réalité modélisée aussi bien du point de vue phénoménologique que du point de vue de la logique interne.

1 [Jaeger, M., 1987], p. 95.

2 [Jaeger, M., 1987], p. 133.

3 Voir [Smith, A. R., 1984], p. 2.

4 Pour Edelin, certains modèles architecturaux de Hallé seraient plus proches que d’autres et seraient ainsi à regrouper sous quelques « super-modèles ». Le modèle informatique nous permettrait de les spécifier plus pertinemment du point de vue botanique. Voir [Jaeger, M., 1987], p. 133.

1 Voir [Ten Dyke, R. P. et Kunz, J. C., 1989], p. 466.

2 “Object-oriented programming is like having a group of specialists working together to solve a problem”, [Ten Dyke, R. P. et Kunz, J. C., 1989], p. 466.

3 [Dahl, O. J. et Nygaard, K., 1966], p. 671.

4 [Nyggard, K. et Dahl, O. J., 1978], p. 245.

5 “a consistent set of concepts”, [Nyggard, K. et Dahl, O. J., 1978], p. 246.

6 [Dahl, O. J. et Nygaard, K., 1966], p. 671.

7 Il se caractérise par l’introduction des structures de contrôles, des pointeurs et de la récursivité. Voir [Bac, C., 1985-2003], p. 1.

8 [Coquillard, P. et Hill, D. R. C., 1997], p. 154.

1 En regard, il est instructif de lire les actes de la RCP du CNRS de 1966 (Recherche Coopérative sur Programme n°30), donc exactement contemporaine du travail de Dahl et Nygaard, sur les procédures ALGOL : elles ne sont dédiées qu’à l’analyse numérique. Voir [Kuntzman, J., 1967] et [Gastinel, N., 1970].

2 Le concept et le terme même de « pluriformalisation » apparaîtront cependant plus tard et dans un autre contexte. Nous y reviendrons plus bas, en temps utile.

3 Sur cette notion, voir [Drogoul, A., 2002a].

4 Précision donnée par [Blaise, F., 1991], p. 56.

5 [Jaeger, M., 1987], p. 61.

6 [Jaeger, M., 1987], p. 61.

1 [Jaeger, M., 1987], p. 61.

2 [Jaeger, M., 1987], p. 67.

[Jaeger, M., 1987], p. 68.

1 [Jaeger, M., 1987], p. 69.

2 [Jaeger, M., 1987], p. 84.

3 [RFF, 1995, vol. 47], p. 71.

1 Référence donnée par [Jaeger, M., 1987], p. 127 : Les Films du Centaure, réalisateur : P. de Roubaix.

2 [Jaeger, M., 1987], p. 134.

3 [Jaeger, M., 1987], p. 134.

1 Signifiant « lecture de l’univers à travers le jardin ».

2 Voir [Dumas, R., 2002], pp. 192-229.

3 C’est un travail de Jean-Louis Boissier qui nous permet de confirmer cette parenté entre la calligraphie extrême orientale et l’image numérique filiforme de la plante. Boissier (né en 1945) est artiste et professeur d’esthétique à l’université Paris 8. Dès 1989, devant les simulations filiformes de bambou présentées par AMAP, il croit retrouver le secret de la calligraphie chinoise. On peut renvoyer à cet extrait d’un de ses articles paru dans un ouvrage sur l’image virtuelle publié par le Centre Georges Pompidou : « Pour restituer l’allure, foncièrement mystérieuse, de cette herbe-arbre, ils [les chercheurs de l’AMAP] sont allés chercher son li [puissance vitale pour les chinois], et son moteur de croissance […] C’est que dans la calligraphie comme dans l’image numérique le point a un potentiel », [CCI, 1989], p. 51.

4 Voir [Houllier, F. et Varenne, F., 2000], p. 19.

5 On y enseigne principalement le pilotage d’hélicoptères.

1 Spécialiste de contrôle optimal et, plus largement, des mathématiques appliquées à l’automatique, il avait été à l’origine de l’IRIA qui deviendra ensuite l’INRIA. Il avait été Président de l’INRIA de 1980 à 1984. À côté de multiples implications au plus au niveau dans des groupes industriels français (Dassault, Thomson…), il était alors Président du CNES. Il le sera de 1984 à 1992.

2 [Reffye (de), Ph., Edelin, C., Françon, J., Jaeger, M. et Puech, C., 1988].

3 Pour des références assez complètes à ce sujet : [Blaise, F., 1991], pp. 50-51.

4 Ou masse des feuilles ; voir [Jaeger, M., 1987], p. 132.

5 [Jaeger, M., 1987], p. 132.

1 [Blaise, F., 1991], p. 133.

2 Francis Hallé a aussi été un des premiers à inciter au passage à la modélisation de la gêne : voir [Reffye (de), Ph., Edelin, C., Jaeger, M. et Cabart, C., 1986], p. 234 : « [Intervention de Hallé après l’exposé transcrit ] : Deux orientations seraient intéressantes : la taille des arbres et son incidence sur la production de fruits ; la gêne entre les arbres dans une forêt. »

1 [Blaise, F., 1991], p. 58.

2 [Blaise, F., 1991], p. 8.

1 [Blaise, F., 1991], p. 55.

2 [Blaise, F., 1991], p. 61.

3 In Analyse architecturale et modélisation du litchi, USTL, Montpellier, 1988, cité par [Blaise, F., 1991], p. 181.

4 S’appuyant sur la synthèse effectuée entre-temps par Claude Edelin, Blaise rappelle que : « La croissance en longueur d’un axe feuillé se décompose en deux phases : dans un premier temps, des entrenœuds sont fabriqués dans le méristème, puis un certain nombre de ces entrenœuds s’allongent dans un temps court […] cette croissance peut s’effectuer de façon continue ou rythmique […] la portion de tige mise en place durant une période d’élongation s’appelle une unité de croissance », [Blaise, F., 1991], p. 27.

5 [Blaise, F., 1991], p. 75.

1 [Blaise, F., 1991], p. 75.

2 Pour plus de précision, voir [Coquillard, P. et Hill, D., 1997], pp. 133-145.

3 [Blaise, F., 1991], p. 77.

4 Ces réflexions d’ordre épistémologique sur l’existence d’un « module », c’est-à-dire sur la capacité d’une séquence élémentaire d’un processus naturel à rythmer toutes les autres qui y participent fait l’objet d’une remarque importante de [Coquillard, P. et Hill, D., 1997], p. 136 : « Lorsque le rapport entre l’échelle de temps des occurrences d’événements et le pas de temps sélectionné est très variable, il est intéressant d’opter pour une gestion du temps dirigée par les événements. » Autrement dit, il faut renoncer à la simulation dirigée par horloge. Cela semble être une limitation conceptuelle pour la production de modèles globaux à changements d’échelles. Voici comment ces auteurs définissent l’approche par événements : « Avec une gestion du temps dirigée par les événements, le temps virtuel va progresser d’une date d’occurrence d’événements à une autre. Il n’y a plus de recherche des événements à traiter entre l’instant t et t + (pas de temps), mais au contraire, il faut gérer un échéancier qui stocke les événements ordonnés chronologiquement. Avec cette approche, lorsque le modèle connaît une longue période d’inactivité, la simulation passe directement au prochain événement significatif », ibid., p. 136. Pour résumer, nous dirions que, dans une simulation guidée par les événements, c’est l’ordre qui crée le temps et non le temps qui crée l’ordre.

1 [Blaise, F., 1991], p. 76.

2 En 1978, dans un même contexte de simulation de formes biologiques, Pauline Hogeweg avait déjà fait face à un problème similaire : le faible réalisme du synchronisme parfait des règles des automates cellulaires. Sur une idée qui lui avait été suggérée par l’informaticien et modélisateur américain Bernard P. Zeigler, elle avait proposé de désynchroniser les L-systèmes ou les automates cellulaires (de type Ulam) en ne conservant, dans les meilleurs des cas, que des synchronismes locaux. L’approche par événements proposée par Zeigler dès 1976 lui semblait donc aussi d’emblée préférable. Voir [Hogeweg, P., 1978]. Voir également [Coquillard, P. et Hill, D., 1997], p. 160 : « La complexité liée au codage de la concurrence d’acteurs ou d’agents en compétition spatiale au même temps de simulation est souvent passée sous silence. En effet, que le modèle soit réalisé avec un langage de simulation implémentant des co-routines, un langage d’acteurs ou un langage de programmation général, seuls les modèles stochastiques de résolution de cette compétition sont jugés comme sérieux par les experts en simulation et les militaires que les situations de guerre confrontent au même problème. » Ce sont les auteurs qui soulignent. La question est donc ici de savoir dans quel ordre faire traiter les événements dont on considère qu’ils ont lieu en même temps. Car ces différents ordres ne donnent pas toujours des résultats équivalents : ils sont donc eux-mêmes en compétition les uns avec les autres. Dans le cas qui nous occupe, pour le traitement de la gêne entre deux unités de croissance qui pourraient paraître simultanément, se toucher, et donc créer des conflits, Blaise utilise des règles de priorités crédibles (observées) d’un point de vue botanique qui sont fonction de la situation relative et hiérarchique des bourgeons concernés dans la topologie générale de l’arbre. Mais comme il y a tout de même des cas où il n’y a pas de priorité claire, Blaise introduit finalement aussi un aléa dans le parcours de l’échéancier. Voir [Blaise, F., 1991], pp. 123-125 et 175.

3 Ensemble de procédures qui permettent d’entretenir et de manipuler l’échéancier. Voir [Blaise, F., 1991], p. 76.

4 Voir [Blaise, F., 1991], p. 77 et [Coquillard, P. et Hill, D., 1997], pp. 136-142.

5 [Blaise, F., 1991], p. 79.

6 Ces langages sont cités, avec les références, par [Coquillard, P. et Hill, D., 1997], p. 140. Plus loin, les auteurs commentent : « en conclusion sur la simulation à événements discrets, il faut rappeler que le développement d’un modèle de simulation dans un langage évolué (Fortran, C, C++, Ada, Pascal…) reste parmi les tâches de programmation les plus difficiles. », ibid., p. 144.

1 [White, J., 1979], pp. 121 et 134 : « La forme des arbres, bien qu’elle soit génétiquement déterminée, est un résultat de processus démographiques, la naissance et la mort des méristèmes. » Références de l’article de E. Münch cité par White, p. 121 : „ Untersuchungen über die Harmonie der Baumgestalt“, Jahrb. Wiss. Bot.,1938, 86, pp. 581-673.

2[Blaise, F., 1991], p. 108.

3 La notion de voxel vient d’une contraction de l’anglais volume et element ou pixel (pixel = picture + element). Elle désigne un cube qui vaut comme élément de volume d’une image numérique. Elle apparaît, dans les années 1970, dans le contexte des techniques de reconstruction volumétrique nécessaire à la tomographie à rayons X assistée par ordinateur, dite tomographie computerisée (CT, apparue en 1972). Son emploi se généralise avec le développement des techniques d’IRM dans les années 1980. Voir [Demeure, R. J., 1999], p. 108. À la fin des années 1980, le secteur de la synthèse d’images s’en empare à son tour car les écrans bitmap sont disponibles et les images sont alors calculées bien plus rapidement avec ce formalisme qu’avec la géométrie analytique. Voir [Greene, N., 1989], p. 175.

4 Alors ingénieur au CGL. Après sa thèse de Master au NYIT, il est embauché par Apple en 1989.

1 [Blaise, F., 1991], p. 108. Voir également [Greene, N., 1989], p. 175.

2 [Blaise, F., 1991], p. 110.

3 [Blaise, F., 1991], p. 110. Nous pensons que Blaise a voulu écrire ici « rameau porté par l’axe » ou « axe d’un ordre supérieur » à la place du premier « axe porteur » de cette phrase. On peut la comprendre aisément toutefois.

4 [Gardan, 1983], cité par [Blaise, F., 1991], p. 113.

1 Grâce à un convertisseur de signal numérique/analogique qui pouvait équiper en sortie les premiers ordinateurs des années 1950-1960.

2 Voir [Bresenham, J. E., 1965], p. 25.

3 [Françon, J., et Reveilles, J. P., 1990], p. 5.

4 Dès lors que le programme peut ne pas se terminer. Voir [Françon, J., et Reveilles, J. P., 1990], p. 4.

5 [Françon, J., et Reveilles, J. P., 1990], p. 6.

6 Même si Jean Françon l’affirme parfois par provocation. Voir plus précisément [Françon, J., 1997], p. 29 : « Je remarque que l’informatique nous a amenés à penser en termes de processus discrets à temps discret ; que les problèmes posés par l’informatique géométrique et graphique ont obligé les chercheurs à penser le discret, et le discret par excellence qu’est le fini, autrement : non pas comme une approximation ou un échantillonnage du continu mais en soi… »

7 [Françon, J., et Reveilles, J. P., 1990], p. 8.

1 [Blaise, F., 1991], p. 152.

2 [Blaise, F., 1991], pp. 138 et 146.

3 [Blaise, F., 1991], p. 153 ; c’est nous qui soulignons. Il avait déjà précisé dans le premier chapitre, p. 10 : « l’image de synthèse est un moyen puissant de rendre compte de résultats de simulations, concrets, palpables ou plus abstraits, sous des formes diverses, souvent remarquables par leur technique et toujours démonstratifs par leur présentation ».

1 [Blaise, F., 1991], p. 153.

2 [Blaise, F., 1991], p. 176.

3 [Blaise, F., 1991], p. 112.

4 Sur les problèmes d’échelles dans la simulation, voir notamment [Legay, J.-M., 1997], passim et [Coquillard, P. et Hill, D., 1997], p. 135.

5 Cela rappelle évidemment les remarques que de Reffye faisait, dès 1975, sur le sens biologique des lois de probabilité qu’il introduisait au titre de caractères génétiques.

1 Bilan fait par [Barthélémy, D., Blaise, F., Fourcaud, T., Nicolini, E., 1995], pp. 71-93.

2 Voir [Blaise, F., 1991], p. 175 : « La richesse et la souplesse de cette structuration (qui vont d’ailleurs de pair avec sa complexité) laissent toute liberté à de nouvelles applications. Enfin, n’oublions pas qu’elle n’est qu’une représentation d’une réalité botanique elle-même complexe. »

3 [Blaise, F., 1991], p. 175.

4 [Blaise, F., 1991], p. 175.

5 [Reffye (de), Ph., et Jaeger, M., 1989].

1 Voir [Reffye (de), Ph., Elguero, E. et Costes, E., 1991], p. 339.

2 Elguero ne se plaira pas à l’AMAP et il poursuivra sa carrière comme ingénieur de recherche à l’IRD (ex-ORSTOM) où il travaillera sur des modèles épidémiologiques.

3 Le processus de Poisson repose sur la notion intuitive de hasard déstructuré. Cela revient à faire deux hypothèses : 1- les événements ont un taux constant d’occurrence (stationnarité ou homogénéité dans le temps), 2- les nombres d’événements intervenant pendant deux périodes de temps disjointes sont indépendants. Un processus de Poisson peut alors être exprimé selon le formalisme des processus de renouvellement. Ce processus de renouvellement exprime la loi qui régit l’intervalle de temps qui sépare deux événements consécutifs. Dans un processus de Poisson exprimé ainsi, les temps inter-occurrence sont distribués exponentiellement. Pour cette présentation simplifiée, nous nous sommes aidé de [Reffye (de), Ph., Elguero, E. et Costes, E., 1991], p. 335. La théorie des processus ponctuels (processus régissant des « événements ponctuels qui se produisent d’une manière aléatoire dans l’espace ou dans le temps », [Cox, D. R. et Lewis, P. A. W., 1966, 1968], p. 1) est un chapitre difficile de l’analyse statistique et de l’estimation. Il s’est développé dans les années 1960, notamment sous l’impulsion des travaux de D. R. Cox du Birbeck College de l’Université de Londres. Une des premières applications a été l’analyse de la survenue des pannes de machine.

4 Voir [Blaise, F., 1991], p. 54.

5 En fait sa spécialité est « Physiologie, biologie des organismes et des populations ».

6 Voir le résumé de [Barthélémy, D., 1988], p. 3 : « Au cours des différentes étapes qui jalonnent la vie d’une plante, la répartition des inflorescences est très précise. La floraison n’intervient qu’après l’acquisition par la plante d’un certain seuil de différenciation. Par la suite, la floraison devient plus abondante, et tend à occuper un nombre de sites croissant avec le développement de l’organisme. Cet envahissement par la floraison traduit une évolution commune à toutes les espèces étudiées. Partant de cette approche architecturale des plantes tropicales, la floraison est interprétée comme une étape du mouvement morphogénétique parcouru par la plante de la germination à la mort, et le concept de floraison automatique est proposé. »

7 [Reffye (de), Ph., Dinouard, P. et Barthélémy, 1991], p. 251.

8 [Reffye (de), Ph., Dinouard, P. et Barthélémy, 1991], p. 262.

1 Voir notre entretien [Coléno, A. et Varenne, F., 2001], p. 4.

1 Qui avait commencé sa carrière à l’INRA, dans les années 1950, en génétique animale.

2 [Keilling, J., 1997], p. 3.

3 [Keilling, J., 1997], p. 4.

4 Dans ce même esprit, Poly présidera à la création, en 1979, d’un nouveau département de l’INRA : le département des « Systèmes Agraires et Développement » (SAD). Ce département sera chargé d’engager des recherches sur le développement. Son approche se voudra « systémique », au sens des « systèmes agraires » des géographes. Des savoirs techniques divers devront être intégrés au plus près des pratiques. Le SAD souffrira longtemps d’être déconsidéré par les autres départements de l’INRA : avec ses problématiques mixtes et plutôt techniques que scientifiques, on l’accuse périodiquement de ne pas véritablement faire de la recherche. Voir sur ce point [Vissac, B. et Deffontaines, J.-P., 1999], p. 2.

5 Jean Bouchon (né en 1938) est un X-ENEF (Ecole Nationale des Eaux et Forêts). Démissionnaire du corps des Eaux et Forêts en 1963, il devient attaché de recherche, chercheur puis directeur de recherche à l’INRA. Dans les années 1980, il est en poste à la « station de sylviculture et de production forestière » de l’INRA de Nancy. Il enseigne également à l’ENGREF.

1 [Ottorini, J.-M., 1995], p. 97.

2 Qui dépend lui-même du secteur des productions végétales. Dans un entretien publié, Jean Bouchon rappelle que « la biométrie à l’INRA a été créée par des forestiers et notamment par des forestiers polytechniciens. Les besoins en mathématiques du secteur dendrométrie ont été importants dès le début alors qu’ils étaient ressentis moins vivement ailleurs. Les statistiques supposaient des moyens de calcul importants », [Bouchon, J. et Poupardin, D., 1995], p. 103. On conçoit ainsi que les « forestiers » de l’INRA aient été plus réceptifs à l’approche de de Reffye.

3 [Bouchon, J. et Poupardin, D., 1995], p. 105.

4 Selon les termes de Bouchon lui-même [Bouchon, J. et Poupardin, D., 1995], p. 107.

5 Pour ces informations, nous nous sommes appuyé sur [Houllier, F. et Varenne, F., 2000], pp. 3-7.

6 Les tables de production sont utilisées en foresterie depuis la fin du dix-neuvième siècle. Elles apparaissent d’abord en Allemagne avant de se diffuser très tardivement, en France, dans la décennie 1963-1973 (voir [Bouchon, J. et Poupardin, D., 1995], p. 104). Ce sont des résumés tabulés, éventuellement mathématisés, de la trajectoire moyenne d’un peuplement forestier sur une station. Les variables y sont exprimées en fonction de l’âge du peuplement. Ce sont le volume, la hauteur et le diamètre moyen des arbres. L’objectif est essentiellement économique.

1 Hors plantations, où les arbres ne sont donc pas nés la même année.

2 Voir [Bouchon, J., 1995], p. 7.

3 Colloque du 23-25 novembre 1993 qui a fait l’objet de deux publications séparées : [Bouchon, J., 1995] et [Bouchon, J., Reffye (de), Ph., Barthélémy, D., 1997].

1 Françoise Dosba - INRA Bordeaux DGAP, Philippe de Reffye – AMAP/CIRAD Montpellier, Jean Bouchon - INRA Nancy, Unité de Recherche sur la Croissance, la Production et la Qualité des Bois.

2 Dans tout ce paragraphe, nous nous appuierons sur la présentation que Jean Bouchon fait du contexte de l’AIP,
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