Veille media



Yüklə 0,82 Mb.
səhifə10/15
tarix03.11.2017
ölçüsü0,82 Mb.
#29236
1   ...   7   8   9   10   11   12   13   14   15

EMILIE:

Juriste pour la télévision, Emilie est la femme de Fred Agop. Elle chante également dans son groupe de pop.

Française d'origine corse, elle n'avait jamais entendu parler du génocide arménien avant de rencontrer Fred.

Désormais initiée à la cause arménienne, ce voyage en Turquie va constituer pour elle une autre grande découverte et lui permettra de répondre aux nombreuses questions qu'elle se pose encore sur le sujet.



YESSAI:

Né en Arménie il y a 20 ans, il est le pianiste de Fred et va donc lʼaccompagner pour cette tournée.

Dʼune nature extrêmement curieuse, Yessaï est le plus jeune de la bande, et ouvert à toutes les expériences nouvelles.

Cʼest lʼempêcheur de tourner en rond, avec ses réflexions philosophiques parfois un peu « barrées ».



LEVON:

Levon est un musicien talentueux et unique en son genre puisqu'il joue du dukuk, un instrument à vent rare issu des montagnes d'Arménie,

qui fait la particularité de la musique pop de Fred Agop.

Levon possède une partie de sa famille en Turquie. Enfant, il s'y est rendu plusieurs fois, mais n'en garde que des souvenirs diffus. Véritable bout-en-train, ce Marseillais au sang chaud retrouve donc la terre de ses grands-parents avec un regard adulte.



CLAIRE:

Journaliste née en Turquie, elle vient de réaliser un documentaire sur les Arméniens du Dersim.

Parlant couramment le turc, elle est spécialiste de la région.

GUILLAUME:

Votre serviteur... J’ai passé les 3 dernières années sur une banquette de taxi pour une série que je réalise pour France 5. Pour moi, ce moyen de transport est un véritable espace dʼéchange et de partage avec les clients.

Pour ce projet j’accompagnerai lʼéquipe en tant quʼauteur-réalisateur, et batteur de Fred Agop!

Lʼintérêt de ce dispositif réside dans le fait que les réalisateurs-filmeurs Claire et moi-même, nous sommes au cœur de lʼaction, et faisons partie intégrante de lʼéquipe dans laquelle nous avons une réelle fonction. Ce système permettra une meilleure acceptation des caméras par les protagonistes du film, qui oublieront leur présence au fil du voyage.

Les rencontres avec les différents personnages - prévues ou non - lors de notre périple seront ainsi rendues plus naturelles et plus « fluides », renforçant lʼidée du road-trip.

Lire les étapes du road-trip sur le site KissKissBankBank

http://www.kisskissbankbank.com/le-sillon

http://www.collectifvan.org/article.php?r=3&id=88981


Agenda - Vient de paraître : "Nous avons vu l'enfer"

Agenda - Vient de paraître : "Nous avons vu l'enfer" - Collectif VAN -www.collectifvan.org - Vient de paraître le livre "Nous avons vu l'enfer" de Hyacinthe Simon, Jacques Rhétoré, Marie-Dominique Berré. Cent ans après le premier génocide de l’histoire, ce livre présente la pierre de vérité, cruciale, apportée par trois dominicains à la réparation d’un trou noir de notre mémoire qui demeure nié, occulté ou minoré. 


"Nous avons vu l'enfer 

De Hyacinthe Simon, Jacques Rhétoré, Marie-Dominique Berré 



Editions : Les éditions du Cerf 
Prix : 24,00€ 
Date de parution : Avril 2015 

Cent ans après le premier génocide de l’histoire, ce livre présente la pierre de vérité, cruciale, apportée par trois dominicains à la réparation d’un trou noir de notre mémoire qui demeure nié, occulté ou minoré. 

Retenus otages à Mardin, la « Jérusalem de l’Est », entre fin 1914 et fin 1916, les frères Marie-Dominique Berré, Jacques Rhétoré et Hyacinthe Simon assistent, impuissants, à l’anéantissement programmé, industriel, systématique des Arméniens qu’accompagne le massacre à la chaîne des Assyriens, des Chaldéens et des Syriaques. Témoins oculaires, ils vont se faire les chroniqueurs de l’indicible et consigner, chacun de son côté, ce déchaînement sans précédent de l’enfer sur terre. 

Pour la première fois, leurs dépositions précises, lucides, terribles sont réunies en un seul volume qui a valeur d’inédit. Elles ne font pas que donner une sépulture aux victimes anonymes des charniers d’hier. Elles valent alarme pour aujourd’hui. Alors que la tragédie des chrétiens d’Orient se répète sous les mêmes cieux et dans la même indifférence, leurs récits, toujours documentés, parfois apocalyptiques, ressortent rétrospectivement comme prophétiques. 

Un testimonial pour la reconnaissance du crime. Un testament pour le réveil de la probité. Une lecture indispensable, pour tous ceux qui n’entendent pas se réfugier derrière l’ignorance consentie et prétendre : « Je ne savais pas ». 

Présentation de Jean-François Colosimo 

Dimensions : 155x240x29 
ISBN : 9782204104036 
Poids : 538 grammes 

http://www.editionsducerf.fr/librairie/livre/6955/nous-avons-vu-l-enfer

http://www.collectifvan.org/article.php?r=4&id=88585
Agenda - Parution/Roland Godel : "Dans les yeux d'Anouch"

Agenda - Parution/Roland Godel : "Dans les yeux d'Anouch" - Collectif VAN -www.collectifvan.org - A l'occasion de la commémoration du centenaire du génocide arménien, Roland Godel a écrit pour le jeune public une fiction s'appuyant sur l'histoire de sa grand-mère arménienne qui a vécu la déportation et a été l'une des rares rescapées. Très bien documenté d'un point de vue historique, le roman rend compte de la situation des Arméniens vivant en Turquie au début du XXe siècle. 

Roman : "Dans les yeux d'Anouch" 

Période historique : XXè siècle Période historique Dans les yeux d'Anouch Autres 
Type de document : Roman 
Auteur : GODEL Roland 
Editeur : Gallimard jeunesse 
Année d'édition : 2015 
ISBN : 978-2-0706-6359-0 
EAN : 9782070663590 
Prix : 10,90 € 

A partir de 12 ans. 

Résumé 

Anouch, 13 ans, et sa famille sont arméniens ; ils vivent à Bursa en Turquie. Un jour de l'été 1915, le chef de la police informe la famille qu'elle est déportée comme des milliers d'autres arméniens. Commence alors un long et douloureux exode. Les familles n'ont pas d'autre choix que de dormir dehors, à moins de réussir à se fabriquer un abri de fortune. L'alimentation manque, l'hygiène est absente et les soldats sont extrêmement violents. Il faut sans cesse fuir pour échapper aux massacres, à la déportation vers la Syrie, le désert, bref vers une mort certaine. Mais au milieu de ce chaos, Anouch rencontre Dikran, lui aussi déporté avec sa famille. Elle voit de magnifiques images dans ses yeux, des images qui lui font garder espoir. Les deux adolescents se promettent de se retrouver coûte que coûte s'ils venaient à être séparés. 




L'avis d'Histoire d'en lire 

A l'occasion de la commémoration du centenaire du génocide arménien, Roland Godel a écrit pour le jeune public une fiction s'appuyant sur l'histoire de sa grand-mère arménienne qui a vécu la déportation et a été l'une des rares rescapées. 

Très bien documenté d'un point de vue historique, le roman rend compte de la situation des Arméniens vivant en Turquie au début du XXe siècle. Jusqu'en 1915, c'est une population plutôt bourgeoise, qui exerce bon nombre de métiers indispensables aux Turcs. Et tout bascule pendant l'été 1915, alors que la guerre fait rage également en Europe occidentale. Du jour au lendemain, les Arméniens sont chassés de chez eux et déportés. Maladies, misère, violence sont leur quotidien. La police turque massacre des millions d'hommes, de femmes, d'enfants, de vieillards. La famille d'Anouch, malgré la perte du petit frère et du grand-père, s'en sort à force de ténacité, de courage, d'aides précieuses. Mais cet exil dure cinq longues années, jusqu'en 1920. 

L'histoire d'amour entre Anouch et Dikran est le rayon de soleil qui vient éclairer ce contexte si sombre. Nous les voyons grandir, se perdre, devenir adultes. Parviendront-ils à tenir leur promesse ? Et comment se reconstruire après avoir vécu de tels événements ? 

Un roman pour se souvenir. 


A lire aussi, d'autres chroniques du roman Dans les yeux d'Anouch de Roland GODEL : 

- Dans les yeux d'Anouch sur le site La Cliothèque 

http://clio-cr.clionautes.org/dans-les-yeux-d-anouch.html#.VV2SmY6qqkp

- Dans les yeux d'Anouch sur le site Page des libraires. 

http://www.pagedeslibraires.fr/livre-7625/dans-les-yeux-d-anouch.html

http://www.histoiredenlire.com/20e-siecle/dans-les-yeux-d-anouch.php

http://www.collectifvan.org/article.php?r=4&id=88694
Agenda - Parution/Centenaire du génocide arménien : "De la douleur à la renaissance"

Agenda - Parution/Centenaire du génocide arménien : "De la douleur à la renaissance" - Collectif VAN - www.collectifvan.org – Il y a 100 ans, le 24 avril 1915, l'arrestation de plus de 600 notables et intellectuels arméniens, lors d’une rafle ordonnée à Constantinople par les nationalistes Jeunes-Turcs... L’Orient-le Jour a voulu commémorer ce souvenir douloureux en rendant un hommage appuyé aux entrepreneurs, industriels et commerçants qui ont largement contribué à l’essor de l’économie nationale, mais aussi les dizaines de milliers de particuliers arméniens, qui par leur savoir-faire et leur dynamisme dans les domaines de l’art, de la culture, de la gastronomie et de la musique, ont enrichi le tissu social libanais. 

1915 - 2015 
Centenaire du génocide arménien
 

De la douleur à la renaissance 

Avril 2015 

Il y a 100 ans, le 24 avril 1915, l'arrestation de plus de 600 notables et intellectuels arméniens, lors d’une rafle ordonnée à Constantinople par les nationalistes Jeunes-Turcs, scellait le destin des deux tiers des Arméniens d’Anatolie. 

Entre un million et un million et demi d’Arméniens ont été victimes entre 1915 et 1916 d’une politique de déportations et de massacres. 

L’Orient-le Jour a voulu commémorer ce souvenir douloureux en rendant un hommage appuyé aux entrepreneurs, industriels et commerçants qui ont largement contribué à l’essor de l’économie nationale, mais aussi les dizaines de milliers de particuliers arméniens, qui par leur savoir-faire et leur dynamisme dans les domaines de l’art, de la culture, de la gastronomie et de la musique, ont enrichi le tissu social libanais. 

64 pages 

Prix : 11$ (frais de livraison au Liban inclus) 


(Poids : 0.5 Kg) 

http://boutique.lorientlejour.com/products/270.html

http://www.collectifvan.org/article.php?r=4&id=88458
Agenda - Missakian, témoin de l'entreprise génocidaire, "Face à l’innommable"




Agenda - Missakian, témoin de l'entreprise génocidaire, "Face à l’innommable"- Collectif VAN - www.collectifvan.org - Les Éditions Parenthèses, sises à Marseille, publient dans leur Collection Diasporales, sous le titre "Face à l’innommable, avril 1915", les souvenirs de Chavarche Missakian (1884/1957), jeune journaliste arménien d'Istanbul, engagé dans le combat pour les libertés, et qui a échappé par miracle à la rafle des intellectuels arméniens le 24 avril 1915. Cette rafle avait marqué le début du génocide perpétré par le gouvernement Jeune-Turc. Ce témoignage essentiel a été traduit de l’arménien l'an dernier par sa fille Arpik Missakian, décédée le vendredi 19 juin 2015, après avoir tenu en main les éditions française et arménienne des souvenirs de son père. Merci aux Éditions Parenthèses qui assurent un travail d'exception depuis le début des années 80.

Éditions Parenthèses



Chavarche Missakian : Face à l’innommable
Avril 1915

La Première Guerre mondiale est commencée depuis plusieurs mois, la Turquie est alliée à l’Allemagne. Le 24 avril 1915 débute la Grande Rafle des intellectuels d’Istanbul, marquant le début du génocide des Arméniens.

Chavarche Missakian est alors un jeune journaliste engagé dans le combat pour les libertés. Il échappe par miracle à la rafle : il était le sixième sur la liste noire des personnalités recherchées. Entré en clandestinité, il reste très actif et note dans ses carnets, sous forme cryptée, les terribles nouvelles qu’il reçoit sur les exactions commises dans les provinces : déportations en masse, exécutions de groupes de soldats, tortures et élimination des intellectuels. Il s’attache dans le même temps à transférer ces informations à l’étranger. Dénoncé, il est arrêté, et c’est là que commence le récit de la période qui va le mener de la Police politique turque à la Cour martiale. Malgré les années de souffrances et de tortures, il gardera toujours le silence et ne sera libéré qu’à l’armistice.

Ces souvenirs sont le récit de l’homme de presse qu’il deviendra et de ses carnets chargés d’histoire. Après un long silence, car ce qu’il avait vu et vécu était de l’ordre de l’« innommable », il prend la plume en 1935 pour répondre aux mémoires d’Ali Riza, le chef de la police politique turque qui est face à lui pendant toute sa détention, et pour rétablir sa vérité.

Dans un style vif et concis, Chavarche Missakian, grand lecteur et déjà francophone à l’époque, documente de manière précise les premiers temps de l’entreprise génocidaire.


Biographie :

Chavarche Missakian est né en 1884 à Zmara près de Sivas, province arménienne de l’Empire ottoman. Sa famille s’installe ensuite à Istanbul où il fréquente le collège central Guetronagan à Galata. Il devient très tôt journaliste, trompant la vigilance de la censure turque et publiant quelques articles dans la presse arménienne en Europe. La révolution jeune-turque de juillet 1908 restaure la Constitution de 1876 et institue la liberté de la presse. Il collabore à plusieurs périodiques.

Il entre dans la clandestinité après la rafle du 24 avril 1915 et fait parvenir au journal Hayastan de Sofia des informations sur les exactions exercées envers les Arméniens. Il est arrêté le 26 mars 1916, emprisonné, torturé ; il se jette du troisième étage mais survit. Il est libéré à l’armistice, en novembre 1918.

En novembre 1922, après la victoire de Mustafa Kemal, il sera obligé de s’exiler à Sofia où il se marie. Il arrive à Paris en novembre 1924 et fonde en 1925 le journal Haratch, quotidien en langue arménienne. Il paraîtra sans interruption jusqu’à sa suspension volontaire au moment de l’Occupation pour éviter de subir la censure des Allemands alliés de la Turquie. Reparaissant après la Libération, l‘éditorial du 9 décembre 1945 est titré “Génocide”. Chavarche Missakian y explicite l’étymologie du mot, utilisé pour la première fois après les travaux de Raphaël Lemkin et avant la Convention pour la prévention et la répression du crime de génocide adoptée à l’Onu trois ans après jour pour jour. Il a dirigé son journal, devenu mythique pour tous ses lecteurs, jusqu’à son dernier souffle, le 26 janvier 1957. Il est enterré au cimetière du Père-Lachaise. Une place lui est dédiée dans le IXe arrondissement à Paris.

Repris par sa fille, Arpik Missakian, le quotidien a paru pendant plus de quatre-vingts ans et restera le dernier quotidien en langue étrangère publié en Europe.


Chavarche Missakian
Face à l’innommable
avril 1915


Traduit de l’arménien par Arpik Missakian. Postface de Krikor Beledian
Collection : Diasporales
16,5 × 23 cm, 144 pages, 2015.
ISBN 978-2-86364-299-3
Prix : 19 €

*****


Lire aussi :

Arpik Missakian : Un esprit libre de l'ancienne diaspora http://www.collectifvan.org/article.php?r=0&id=89589

Arpik Missakian : la fin d’un monde
http://www.collectifvan.org/article.php?r=4&id=89570

Un certain regard sur les Arméniens en France
http://www.collectifvan.org/article.php?r=0&id=60702

TÉLÉCHARGER :
http://www.collectifvan.org/images/main/pdf_icon.gif Extrait "Face à l’innommable" http://www.collectifvan.org/pdf/11-36-36-28-06-15.pdf

http://www.editionsparentheses.com/Face-a-l-innommable?nouveauA=nouveau&idart=474

http://www.collectifvan.org/article.php?r=0&id=89735
Agenda - Parution : Le Petit Nicolas en arménien occidental

Agenda - Parution : Le Petit Nicolas en arménien occidental - Collectif VAN -www.collectifvan.org - Le Petit Nicolas de Goscinny et Sempé parle désormais l’arménien occidental et s’inscrit ainsi dans notre collection des « Langues de France ».


Le Petit Nicolas en arménien occidental - Edition bilingue arménien occidental / français 

Auteurs : Sempé & Goscinny 
Traduction : Anaïd Donabédian et Chaghig Meguerditchian 
142 pages / couverture souple / Format : 18,2 x 18,7 cm 
Prix public : 15 euros 
• 6 histoires en arménien occidental 
présentées en regard du texte en français 

EN 2015, LE PETIT NICOLAS REND HOMMAGE À LA COMMUNAUTÉ ARMÉNIENNE 

Voici le célèbre chef-d’œuvre de Goscinny et Sempé, traduit en arménien occidental, langue de la communauté arménienne de France et de la diaspora. 

Des milliers d’enfants ont accédé au plaisir de la lecture avec Le Petit Nicolas. Désormais, à l’école ou en famille, ils pourront découvrir les aventures du célèbre écolier en arménien occidental. 

Cet ouvrage s’adresse à la fois aux élèves et aux professeurs d’arménien occidental ainsi qu’à tous ceux qui ont à cœur de faire vivre leur patrimoine linguistique. 

Le Petit Nicolas de Goscinny et Sempé parle désormais l’arménien occidental et s’inscrit ainsi dans notre collection des «Langues de France». 

Cette langue a en effet le même statut que les 75 langues régionales telles que le breton, le corse. 

ou le picard, statut qu’elle partage aussi avec les langues de France dites non territoriales. 

Vous pouvez commander dès à présent le livre – qui sera disponible dès le 4 mars 2015 – chez votre libraire habituel ou sur Amazon ! 


*** 
Des milliers d'enfants ont accédé au plaisir de la lecture avec Le Petit Nicolas. 

Désormais, à l'école ou en famille, ils pourront découvrir les aventures du célèbre écolier en arménien occidental. 

Cet ouvrage s'adresse à la fois aux élèves et aux professeurs d'arménien occidental ainsi qu'à tous ceux qui ont à coeur de faire vivre leur patrimoine linguistique. 

http://www.petitnicolas.com/le-petit-nicolas-bientot-disponible-en-armenien-occidental/

http://www.collectifvan.org/article.php?r=0&id=87344



Agenda - Vient de paraître : Micheline Aharonian Marcom "Trois pommes sont tombées du ciel"

Agenda - Vient de paraître : Micheline Aharonian Marcom "Trois pommes sont tombées du ciel" - Collectif VAN -www.collectifvan.org - Un roman mosaïque qui plonge le lecteur dans le secret des consciences et dans les multiples regards témoins du massacre des Arméniens. Dans l’Empire ottoman en guerre, un peuple disparaît. À Kharpert, au sommet d’une colline aride d’Anatolie, entre 1915 et 1917, au plus profond du génocide arménien, des destins se croisent. Anaguil, cachée par ses voisins turcs, tente de sauver les gestes et les paroles de son peuple. Sarkis, l’apprenti poète, amant de la beauté, perd doucement la raison, confiné dans le grenier de sa maison. Le roman est traduit par Georges Festa. 

Roman : "Trois pommes sont tombées du ciel" 

Auteur(s): Micheline Aharonian Marcom 
Collection: Le métier à tisser 
ISBN: 978-2-94-0406-99-9 
Date de publication: 07.05.2015 
Nombre de pages: 288 


DESCRIPTION DE L'OUVRAGE 

Un roman mosaïque qui plonge le lecteur dans le secret des consciences et dans les multiples regards témoins du massacre des Arméniens 

Dans l’Empire ottoman en guerre, un peuple disparaît. À Kharpert, au sommet d’une colline aride d’Anatolie, entre 1915 et 1917, au plus profond du génocide arménien, des destins se croisent. Anaguil, cachée par ses voisins turcs, tente de sauver les gestes et les paroles de son peuple. Sarkis, l’apprenti poète, amant de la beauté, perd doucement la raison, confiné dans le grenier de sa maison. Maritsa, jeune musulmane, voudrait être un garçon. Loussine, la maîtresse du consul des États-Unis, espère l’exil. Et Rachel, qui les a tous connus, raconte sa mort, tout au fond du puits où elle s’est jetée. À travers la mosaïque de leurs récits s’élèvent la poussière des rues, les vapeurs des bains, les cris de stupeur d’une culture en train de mourir. Restent alors les souvenirs et les contes: «Et trois pommes sont tombées du ciel, une pour qui raconte, une pour qui écoute et une pour les oreilles indiscrètes.» 

Traduit de l’anglais par Georges Festa

http://www.metispresses.ch/shop/trois-pommes-sont-tombees-du-ciel/



http://www.collectifvan.org/article.php?r=4&id=88569

Agenda - Écritures de la Shoah : Parution du livre de Catherine Coquio

Agenda - Écritures de la Shoah : Parution du livre de Catherine Coquio - Collectif VAN - www.collectifvan.org – L’Arachnéen est heureux d'annoncer la parution du livre de Catherine Coquio, La Littérature en suspens. Écritures de la Shoah : le témoignage et les œuvres. En librairie à partir du 2 avril.


L’Arachnéen

La littérature en suspens.

Écritures de la Shoah : le témoignage et les œuvres
Catherine Coquio

Ce livre est consacré aux textes de ceux qui ont entrepris de témoigner des camps nazis et de la Shoah en faisant œuvre. Il réfléchit le statut incertain et le caractère tourmenté de ces œuvres qui témoignent d’une forme de «désappartenance» humaine, et cherche en elles les effets de cette scission : quelle tension produit le fait de témoigner d’une rupture anthropologique à l’intérieur du système de valeurs qu’est la «littérature» ? Ce qui a lieu alors n’est pas un adieu à la littérature, ni sa complète disqualification, mais sa crise et sa critique, implicite ou explicite, à la manière d’une mise en «suspens».

«Quand on écrit sur Auschwitz, il faut savoir que, du moins dans un certain sens, Auschwitz a mis la littérature en suspens», disait Imre Kertész en 2002 (L’Holocauste comme culture). On tente ici de comprendre ce «certain sens» et la manière dont il se démultiplie selon les histoires et les aires où ces œuvres ont été produites.

La Littérature en suspens distingue les «Théories et paradigmes» (I) et les «Œuvres» (II), en prenant un double parti : celui d’abord d’historiciser les discours critiques et paradigmes qui se sont développés à ce sujet, en différenciant ce qui s’est joué en Occident et en Europe orientale (URSS et Pologne), selon les expériences historiques, les expériences politiques et leurs horizons culturels d’inscription ; celui ensuite de s’immerger dans certaines œuvres où l’art se voit à la fois requis et rejeté, ou mobilisé et questionné : celles en particulier de trois déportés politiques (David Rousset, Charlotte Delbo, Jean Cayrol), puis d’écrivains juifs rescapés de l’extermination (Etty Hillesum, Piotr Rawicz, Jean Améry, Imre Kertész, Georges-Arthur Goldschmidt, Aharon Appelfeld). La question des rapports entre «témoignage» et «littérature» est ainsi reposée en considérant un corpus plus vaste et différencié que le canon d’où émergent les théories du pseudo «genre testimonial» jusqu’ici mobilisées ; au parti pris d’une philologie critique se joint une approche de type anthropologique attachée à préciser le rapport entre l’acte de témoigner et le jeu de la création, et à comprendre la place du serment et du rituel dans ces écritures sécularisées.

Ce livre montre que l’intégration du témoignage dans la «littérature» s’est faite sur un mode suspensif, schismatique et souvent ironique, dans tous les cas dans une forme de distance dont la signification réclame d’être davantage réfléchie, à l’heure où le supposé «passage de témoins» fait parler d’une «littérature de la troisième génération». Le legs précieux de cette littérature pensante ne doit pas se dissoudre dans notre culture de la mémoire. La conjugaison de l’acte de témoignage et du jeu de l’œuvre créatrice produit une ritualité spécifique, étrangère à toute sacralisation du témoignage en tant que tel. Le livre tente de comprendre le rapport spécifique au sacré qu’élabore cette littérature de la désappartenance, profane et iconoclaste, en se penchant sur les relations complexes inventées pas chaque auteur au monde de la littérature, et, à travers elle, sur les liens entre la terreur mythique associée au passé et l’intensité nécessaire d’une vie à venir.

http://www.editions-arachneen.fr/?p=3173

http://www.collectifvan.org/article.php?r=5&id=86510


Yüklə 0,82 Mb.

Dostları ilə paylaş:
1   ...   7   8   9   10   11   12   13   14   15




Verilənlər bazası müəlliflik hüququ ilə müdafiə olunur ©muhaz.org 2024
rəhbərliyinə müraciət

gir | qeydiyyatdan keç
    Ana səhifə


yükləyin