SIMCLIM
Titre du projet
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SIMulation in situ et ex situ des effets du réchauffement CLIMatique sur la biodiversité des communautés intertidales des substrats rocheux naturels et d’origine anthropique
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Acronyme
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SIMCLIM
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Mots clés (5 à 10)
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Changement climatique, Scénarisation climatique, Paysage thermique, Remédiation, Adaptation, Biodiversité, Comportement, Résilience, World Harbour Project
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Nom du coordinateur scientifique
Titre, Fonction
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Laurent SEURONT
Directeur de Recherche
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Organisme
Adresse
Téléphone
Email
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CNRS
UMR 8187 LOG, 28 avenue Foch, BP 80, 62930 Wimereux
0321992960
laurent.seuront@cnrs.fr
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Organisme(s) et Laboratoire(s) impliqués dans le projet
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Université des Sciences et Technologies Lille 1
CNRS
Conservation Faunistique Régional
The University of Hong Kong, China
The University of New South Wales, Australia
Rhodes University, South Africa
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Organisme(s) gestionnaire(s) des crédits
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CNRS
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Coût prévisionnel total (TTC) et montant de l’aide demandée (TTC)
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Coût prévisionnel total : 464027€
Aide demandée : 99730€
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Cofinancements assurés et/ou prévus (TTC) (y compris autres que nationaux)
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CPER Climibio : 51267€
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Durée (24 mois minimum – 36 mois maximum)
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36 mois
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Résumé
Le projet SIMCLIM a pour objectif de dresser un état des lieux exhaustifs de la biodiversité (faune et flore) des substrats durs intertidaux qu’ils soient naturels ou d’origine anthropiques, et de mettre en place des outils d’aide à la gestion de leur richesse biologique via une prise en compte explicite des effets potentiels du changement climatique sur ces substrats. En particulier, une des originalités de ce projet est de considérer les trois grandes zones portuaires de la Région Hauts de France (Boulogne-sur- Mer, Calais et Dunkerque) comme de potentiels réservoirs de biodiversité et des noeuds de connectivité.
Le projet sera réalisé en étroite collaboration avec le Conservatoire Faunistique Régional et les trois grands ports maritimes de la Région Hauts de France dans le cadre de leur démarche de mise en place de plans de développement durable dans le cadre d’une prise en compte explicite du réchauffement climatique dans leurs aménagements, et d’un suivi de l’évolution de l’incidence de leurs ouvrages artificiels sur le devenir de la biodiversité.
De manière générale, ce projet s’insèrera dans le « World Harbour Project » qui a pour objectif de développer des projets de recherche et de management entre les grands ports urbains à l’échelle globale. Dans ce cadre, des contacts avancés ont dores et déjà été pris avec le Sydney Institute of Marine Science (SIMS) initiateur de ce projet.
De manière spécifique ce projet s’articule autour de grands objectifs qui incluent
(1) la réalisation d’un inventaire de la biodiversité des substrats intertidaux d’origine naturelle ou anthropique,
(2) l’identification des propriétés thermiques de ces substrats à l’échelle saisonnière pour des échelles spatiales compatibles avec la biologie des organismes,
(3) la mise en place de scenarii climatiques qui seront testés in situ via l’utilisation de structures artificielles simulant les effets climatiques attendus dans les décennies à venir,
(4) la compréhension des contraintes thermiques rencontrées in situ par les organismes intertidaux via le deploiement in situ de modèles biomimétiques et une approche ex situ de leurs capacités physiologiques, biologiques et comportementales à résister et éventuellement s’adapter au stress thermique.
In fine les résultats du projet pourront être exploités dans un but de conservation afin d’identifier et d’expliquer les changements potentiels (passés et à venir) concernant l’occupation et l’exploitation des habitats intertidaux rocheux et portuaires par la faune et la flore.
Implication de paysans à la protection de la biodiversité et de l'environnement par la permaculture
Titre du projet
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Implication de paysans à la protection de la biodiversité et de l'environnement par la permaculture
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Acronyme
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Mots clés (5 à 10)
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La permaculture, Protection de l’environnement, la biodiversité, et augmentation des revenus
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Nom du coordinateur scientifique
Titre, Fonction
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KIZUNGU VUMILIA Roger
Docteur en sciences
Directeur scientifique de l’INERA, responsable de l’équipe de modernisation des phénomènes biologiques
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Organisme
Adresse
Téléphone
Email
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UCOOPAKIN (Union des coopératives agricoles de Kinshasa) ; L'Institut Nationale d'Etudes et des Recherches Agronomiques (INERA);Faculté des sciences agronomiques de l'univesrsité de Kinshasa (UNIKIN); Ferme d'Application de Résultats des Recherches (FARRE)
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Organisme(s) et Laboratoire(s) impliqués dans le projet
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l’équipe de modernisation des phénomènes biologiques de ; Laboratoire de l’INERA
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Organisme(s) gestionnaire(s) des crédits
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UCOOPAKIN
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Coût prévisionnel total (TTC) et montant de l’aide demandée (TTC)
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Cofinancements assurés et/ou prévus (TTC) (y compris autres que nationaux)
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Location de terre
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Durée (24 mois minimum – 36 mois maximum)
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24 mois
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Résumé
Ce projet vise à transformer l'agriculture de subsistance en agriculture commerciale tout en protègent: l’environnement, la biodiversité, et aussi augmenter des revenus dans les milieux: Urbain, Peri-urbain, et Rural. Pour y parvenir, on s'appuie aux conclusions de la FAO comme quoi, l'agriculture sur terrasse est suffisamment intensive pour qu'un quart d'hectare assure à lui seul un emploi à plein temps à une personne (FAO, 1992); Et aux enquêtes du projet HUP sur l'agriculture urbaine et peri-urbaine qui vont dans le même sens. Vu la collaboration que Dr. KIZUNGU VUMILIA Roger entretenue avec un thésard de l'agro Paris Tech qui travaille sur " l'hypothèse de génération du salaire de 2000$ par mois dans les conditions de Paris et sur 1000m2".Nous voulons mettre un chifre derrière le terme emploi à plein temps de la FAO. Nous voulons vérifier l'hypothèse selon laquelle, 1000m2 c'est-à-dire dans un système permaculturel sur base de 20 espèces de légumes, et un marché de proximité, on peut générer 2000$ par Mois à Kinshasa. Ceci nous ramène aux modélisations des rotations des associations et des successions des cultures. Si sur 1000m2 on peut générer 2000$, alors il nous reste 9000m2 pour l'intégration de cette agriculture avec l'élevage, et l'agroforesterie. Ceci nous ramènera à la modélisation bio-économiques du co-management forêt troupeaux, des cultures, du partage de lumière entre culture en association, des structures de troupeaux etc.
Nous voulons qu'à l'issue de ces études, nous soyons capables de convaincre, toute personne capable de se procurer 1 hectare qu'il peut en vivre afin de limiter les déboisements, et augmenter les reboisements pour une bonne protection de l'environnement.
Contrairement à ce que l'on puisse croire, ces pistes de recherche sont très appliquées. En effet, tout le long des études, nous aurons à valider les résultats su 1 hectare: 6000 m2 sont réservés pour le Techno-pâturage pour chèvres intégré à un verger, 1000m2 au maraichage et le reste soit 3000m2 pour la basse-cour et la porcherie. Les résultats de ces recherches servirons des exemples à toute personne qui a un faible capital financier , un faible niveau technique, un terrain marginal, accidenté à ne pas désespérer sous l'effet de la fausse propagande qui consiste à faire croire que l'on vit de l'agriculture que sur de vastes étendues éventuellement avec des tracteurs. Les modélisations ont pour avantage de porter l'étude à l'échelle du niveau des filières des produits agricoles et aux différents niveaux d'intégrations des systèmes à savoir: La culture, la production, l'unité familiale, le village. Permettra également l'installation de: Micro-agriculture bio-intensive, maraichage biologique diversifié, arboriculture, permaculture, maraîchage agro écologique ; permettra également: La viabilité économique et écologique de la micro ferme, viabilité-Agriculture urbaine-conception et gestion de systèmes durables. Il suffit que tous les paysans s'adaptent à ce projet, y a moyen d'avoir X arbres dans peu de temps.
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