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MONDE RUSSE



EU: "Partenariat oriental" et coopération avec la Russie sont compatibles

(




Commission européenne)
18:32 | 12/ 12/ 2008

MOSCOU, 12 décembre - RIA Novosti. La politique de "Partenariat oriental" et la coopération avec la Russie ne s'excluent pas, a déclaré vendredi sur les ondes de la radio "Echo de Moscou" le chef de la représentation de la Commission européenne (CE) à Moscou, Marc Franco.

"Le "Partenariat oriental" prévoyant une coopération plus étroite avec les pays de l'espace postsoviétique et la coopération avec la Russie ne s'excluent pas, mais nos relations avec la Russie se distinguent de nos rapports avec les pays du "Partenariat oriental", a indiqué M.Franco.

Approuvée récemment par l'Union européenne (UE), la politique de "Partenariat oriental" prévoit d'instaurer une coopération plus étroite dans les domaines économique et politique avec l'Azerbaïdjan, l'Arménie, la Géorgie, la Moldavie et l'Ukraine. Il n'est pas exclu que la Biélorussie soit associée à ce projet sous réserve que Minsk accepte les exigences de l'Union européenne en matière de démocratisation de la société biélorusse. Ce programme, qui ne contient pas de perspective d'adhésion à l'UE, "vise un renforcement significatif du niveau de coopération politique, l'intégration au sein de l'économie européenne, le renforcement de la sécurité énergétique, et l'augmentation de l'aide financière".

Quoi qu'il en soit, la Commission européenne souligne que le projet de "Partenariat oriental" de l'UE "n'est pas dirigé contre la Russie et n'entre pas en contradiction avec les intérêts russes".

"Nous appliquons cette ligne ("Partenariat oriental") dans le cadre de la politique de voisinage. La Russie a décidé de ne pas y participer. Aussi coopérerons-nous avec l'Azerbaïdjan, l'Arménie, la Géorgie, la Moldavie et l'Ukraine sans la Russie, mais cela ne signifie pas que nous excluons la Russie de cette coopération", a indiqué le diplomate européen.



http://fr.rian.ru/world/20081212/118833465.html

    1. CHYPRE



Mort de Tassos Papadopoulos, ancien président chypriote

I




l y a 4 jours

NICOSIE (AFP) — L'ancien président chypriote Tassos Papadopoulos, qui incarnait l'aile dure du nationalisme chypriote-grec, est décédé vendredi dans un hôpital de Nicosie à l'âge de 74 ans, a annoncé la radio nationale.

Il avait été admis le 22 novembre dans l'unité de soins intensifs de l'hôpital général de Nicosie en raison de problèmes respiratoires aigus.

Le 1er décembre, le chef de cette unité, Theodoros Kyprianou, avait annoncé qu'il souffrait d'un cancer des poumons, ajoutant que l'ancien président faisait "face à ses problèmes de santé avec calme et courage".

Vendredi, son état a empiré rapidement dans la matinée et il est mort dans l'unité de soins intensifs de l'hôpital.

Avocat formé à Londres, Tassos Papadopoulos avait été battu dès le premier tour de l'élection présidentielle de février dernier, remportée par le communiste Demetris Christofias, alors qu'il se présentait pour un second mandat.

Il était apparu en 2004 en pleurs devant les caméras de télévision pour exhorter ses compatriotes à refuser un plan de réunification de Chypre défendu par le secrétaire général de l'ONU d'alors, Kofi Annan.

Peu après, les Chypriotes-grecs avaient massivement rejeté par référendum ce projet pourtant accepté par les Chypriotes-turcs, entérinant le statu quo sur une île divisée depuis l'invasion turque de sa partie nord en 1974. En mai 2004, l'île avait rejoint divisée l'Union européenne.

Né en janvier 1934 à Nicosie, ce fumeur invétéré est mort des suites d'un cancer du poumon après avoir été hospitalisé dans la capitale chypriote en raison de graves problèmes respiratoires, moins d'un an après avoir échoué dans sa quête d'un second mandat présidentiel.

Elu cinquième président de Chypre en 2003, Tassos Papadopoulos, tour à tour présenté comme champion de l'hellénisme ou adversaire buté de l'influence turque sur l'île, a accompagné l'entrée de son pays dans l'Union européenne en 2004, puis l'adoption de l'euro, au 1er janvier 2008.

Mais son nom restera associé au rejet par les Chypriotes-grecs, lors d'un référendum en 2004, du plan de réunification de l'île, pourtant accepté par les Chypriotes-turcs.

Peu après, les Chypriotes-grecs avaient massivement rejeté ce projet, entérinant le statu quo sur une île divisée depuis l'invasion turque de sa partie nord en 1974.

Près d'un demi-siècle après avoir décroché son premier portefeuille ministériel, il s'était servi de cette image de "dur" insensible aux pressions extérieures pour partir à la conquête d'un second mandat.

Mais c'est un champion de l'ouverture vers la communauté chypriote-turque, le communiste Demetris Christofias, qui s'était fait élire à la présidence en février, M. Papadopoulos ne passant même pas le premier tour.

Des questions sur sa santé s'étaient posées au cours de sa campagne, après qu'il eut annulé des réunions en raison d'une "grippe", selon son entourage.

Chef du secteur de Nicosie lors de la lutte pour l'indépendance contre l'empire colonial britannique, au sein de l'Organisation nationale des combattants chypriotes (Eoka), il fut en tant que juriste l'un des quatre représentants chypriotes-grecs dans le comité de rédaction de la Constitution.

Plus jeune ministre, à 26 ans, de l'histoire moderne de Chypre, dès 1959, il a assumé plusieurs portefeuilles jusqu'en 1970 avant d'être élu député de 1970 à 2003, année où il avait conquis de justesse la présidence face à un autre vétéran de la politique chypriote, Glafcos Clerides.

Sa campagne avait été assombrie par des informations de presse sur des liens entre son cabinet d'avocat et le régime yougoslave de Slobodan Milosevic, pourtant sous le coup de sanctions internationales.

Pendant la guerre en Irak, il avait autorisé les survols de l'île et offert une assistance au sol à l'aviation américaine.

Papadopoulos, marié à une héritière de l'empire industriel chypriote Leventis, avait assumé les fonctions de négociateur en chef avec les Chypriotes-turcs, de 1976 à 1978.

Sur la question de la réunification, il avait rencontré en tête à tête le dirigeant de Chypre nord, Mehmet Ali Talat, en 2006 et 2007. Mais le dialogue était resté dans l'impasse.

Depuis, MM Christofias et Talat ont officiellement lancé des négociations de paix.

M. Papadopoulos était le père de quatre enfants, dont Nicolas, élu député en 2006.
http://www.google.com/hostednews/afp/article/ALeqM5hPxpu_JYLxMFitoeuhTeuXUUqe7g

Tassos Papadopoulos, ancien président de la République de Chypre

LE MONDE | 16.12.08 | 16h17

L'ancien président de la République de Chypre, Tassos Papadopoulos, est mort, vendredi 12 décembre à Nicosie, d'un cancer du poumon. Il était âgé de 74 ans.

Tassos Papadopoulos laissera l'image d'un "dur" dans la recherche d'une solution à la division de l'île de Chypre, coupée en deux entre les communautés grecque, au sud, et turque, au nord, depuis l'invasion de l'armée d'Ankara en 1974.

En avril 2004, ému aux larmes, il avait lancé un appel télévisé à ses compatriotes pour qu'ils rejettent le plan de réunification présenté par le secrétaire général de l'ONU Kofi Annan. Une écrasante majorité des Chypriotes grecs l'avait suivi, après que le parti communiste eut rejoint le camp des opposants. Au contraire, les deux tiers des Chypriotes turcs avaient voté oui au référendum organisé le même jour. Entre-temps, le président Papadopoulos s'était assuré de l'entrée de son pays dans l'Union européenne, ce qui fut chose faite le 1er mai 2004.

MINISTRE À 26 ANS

Né le 7 janvier 1934 à Nicosie, avocat formé à Londres du temps de la colonisation britannique, Tassos Papadopoulos a été un des plus jeunes hommes politiques de Chypre. Ministre à 26 ans, il avait combattu dans les rangs de l'EOKA, l'Organisation nationale des combattants chypriotes, dont il avait été le chef pour le secteur de Nicosie.

Il avait participé dès la fin des années 1950 à la rédaction de la Constitution chypriote et avait été député de 1970 jusqu'en 2003. Après la scission de l'île, il avait participé aux premières négociations gréco-turques.

En 2003, il gagne l'élection présidentielle contre un autre vétéran de la politique chypriote, Glafcos Cléridès, mais cinq ans plus tard il échoue dès le premier tour, où il n'arrive qu'en troisième position. C'est le communiste Demetris Christofias qui l'emporte, avec la promesse de reprendre le dialogue avec Mehmet Ali Talat, "président" de la République turque de Chypre du Nord, une entité reconnue seulement par Ankara.

Depuis septembre, les négociations se poursuivent entre les deux communautés dans un climat apaisé, sans toutefois que des progrès substantiels aient été accomplis vers la réunification de l'île.

Selon la partie chypriote turque, un accord butte sur le nationalisme de l'Eglise orthodoxe - qui n'a rien à envier à celui de Tassos Papadopoulos -, bien que le président Christofias ait pris ses distances avec elle.

L'obstacle majeur, selon la partie chypriote grecque, est la présence de plus de 30 000 soldats turcs dans le nord de l'île dont la population ne dépasse pas 200 000 personnes.

Après la mort de Tassos Papadopoulos, M. Talat a dit partager "le chagrin du peuple chypriote grec".

Daniel Vernet


Article paru dans l'édition du 17.12.08.
http://www.lemonde.fr/carnet/article/2008/12/16/tassos-papadopoulos-ancien-president-de-la-republique-de-chypre_1131766_3382.html



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