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Douche de sécurité – rince-oeil



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Douche de sécurité – rince-oeil


2008 : références réglementaire concernant les rince-oeil

Je cherche des références réglementaires sur les rince-yeux (nombre, vérifications, utilisation, ...)

Je souhaite remplacer les rince-yeux raccordés au réseau d'eau par des coffrets muraux équipés de 2 flacons de solutions.

Les rince oeils (rince yeux??) en flacon ont une durée de vie limitée, il faut donc vérifier régulièrement la date de péremption. D'un autre côté ceux qui sont raccordés au réseau d'eau il vaut mieux les faire fonctionner périodiquement également pour éviter l'accumulation de rouille.

Merci de ta réponse, mais c'est bien pour éventuellement me débarrasser des rinces-yeux fonctionnant à l'eau, que je recherche des infos. Doit-on forcement conserver des appareils fonctionnant à l'eau (et donc bien évidement en assurer la maintenance) car leur présence est

_obligatoire_ (si oui, quel texte), ou peut-on les remplacer par des solutions garantissant un meilleur résultat ? Je comprend que tu ai un peu de mal a assimiler mes questions c'est pourquoi je viens de la reformuler à ton attention exclusive. :-P

Avec ton expérience à Nancy 1, tu n'es même pas en mesure d'éclairer un tout petit peu ma lanterne.

Secourisme


2010 (échanges hors Gp Sup) : transport d’une personne victime d’un AT ou malade, quelle procédure ?

Une personne victime d'un accident de service ou d'un malaise peut elle être transportée dans un cabinet médical ou un centre hospitalier dans un véhicule de la collectivité ou personnelle, par un autre agent ? 


- Doit on avoir un avis médical ? 
- Faut-il un diplôme de secourisme?
Quid si les secours ne veulent pas se déplacer ? 

Une personne victime d'un accident ou d'un malaise peut elle être transportée dans un cabinet médical, au chu ou autre structure dans un véhicule de la collectivité par un autre agent ? Et si oui sous quelles conditions :


- Doit on avoir un avis médical ?
- Faut-il un diplôme de secourisme ?
Quid si les services de secours ne veulent pas se déplacer ? 
Nous avons établi des consignes à tenir lorsqu'un agent à un malaise, un incident ou un accident. Ces consignes validées lors d'uine réunion de CHS sont affichées dans l'ensemble de nos locaux dans différents secteurs. Par ailleurs, une note d'information a été transmise à l'ensemble des agents demandant de respecter  ces consignes.

Le problème est toujours délicat et à mon avis il faut éviter de s'ouvrir des parapluies en béton (genre une ambulance vers l'hôpital pour une coupure bénigne de la pulpe du doigt) et orienter plutôt nos protocoles vers le jugement de personnes responsables et averties.


Bien sûr qu'on peut transporter un blessé dans un de nos véhicules de service, il faut simplement être sûr que son état ne va pas s'aggraver du fait de ce transport (je ne parle pas de l'accident - une aggravation dû à un accident serait alors pris en compte par l'assurance).
Un diplôme de secouriste pour le chauffeur sera un plus si vous deviez expliquer à un juge que l'état de la personne à son départ ne présentait aucun caractère de gravité et que vous étiez donc fondé à ne pas prévoir un mode de déplacement plus sécurisé...
On peut bien sûr faire appel a une ambulance privée, on a pas besoin d'un certificat médical mais il faudra la payer comme tous les frais médicaux liés à l'accident de service (si vous n'êtes pas votre propre assureur, votre assureur peut vous refuser la prise en charge).
L'ambulance, je pense, si vous n'avez pas d'indication médicale, ne vous servira pas tellement de parapluie en cas d'aggravation du fait du transport.
Le 15 est bien sûr le recours béton mais à l'heure où les centres crient "SOS surcharge !", il vaut mieux quand même essayer de fonctionner avec nos neurones
Trêve de blabla, je vous joins la procédure de chez nous où notre élu d'alors n'avait pas tellement tenu compte de mes conseils... :-(

Nous avons la même en BD pour affichage mais je ne peux pas vous la joindre car les images sont sous droit d'auteur.



2010 : le 112 ou le 18 et 15 ?

J'ai remarqué dans une procédure envoyée le numéro 112 pour les portables. Ce numéro n'est pas le numéro pour les portables mais un numéro européen qui permet à une personne étrangère au pays, de dialoguer avec quelqu'un parlant sa langue. Avec le portable il faut faire le 18, le 15 ou le 17 comme sur un fixe. D'ailleurs le numéro 112 fonctionne aussi sur les téléphones fixes.


En cas d'appel au 112 en France par un français l'opérateur vous demandera de raccrocher et d'appeler le 18, le 15 ou le 17 selon l'urgence. (Expérience personnelle)

2010 : procédure pour les secours : appel direct pompier SAMU, appel interne, etc ?

Notre service de médecine de prévention souhaite mettre en place une procédure d'appel aux secours en cas d'accident, de malaise, etc...

La question se pose sur l'appel des pompiers ou du samu... Passer par les loges ou appeler directement...

Y a-t-il des textes imposant l'appel au SAMU ou aux pompiers?

 A mon avis, la procédure d'appel des secours doit être organisée selon les dispositions propres à chaque établissement et il n'y a aucune obligation d'appel direct du 15 ou du 18.
Sur nos campus nous avons mis en place un numéro intitulé CAMPURGENCE. Il s'agit du 19, accessible directement depuis tout poste fixe du campus, et qui renvoie vers un portable de permanence. Le N° de ce portable est également diffusé dans les consignes de sécurité du site afin de permettre d'appeler depuis un téléphone portable sur lequel le 19 ne fonctionne pas.
Appeler la loge plutôt que d'appeler directement les secours, permet de mettre en marche la procédure interne des secours et d'informer le service "logistique" afin que l'accueil sur site et le guidage des secours soit mis en place et que les autres acteurs de la sécurité (secouristes - équipiers de première intervention soient eux aussi mobilisés).
 c'est pas mal pour l'organisation interne et le rendez vous avec les secours mais ça pourrait aussi être une perte de temps en cas d'urgence vitale ou chaque seconde gagnée compte
Dans ton organisation les secours sont attendus, c'est donc un très bon point , mais quid de la transmission du message au 15 qui se fait avec un interlocuteur supplémentaire ???
Si le samu pose des questions supplémentaires sur l'état de la victime??
Personnellement en SST, j'insiste beaucoup sur un appel direct au secours et la fixation impérative d'un point de rendez avec envoi du témoin à ce point de rendez vous.
Et le problème se pose quand la personne est seule.
Aucune solution miracle n'existe malheureusement
 D'un autre côté :  passer par la loge implique, que celle-ci dispose de toutes les bonnes infos (ce qui est rarement le cas, à moins qu'il ne soit directement témoin) et puis nous connaissons tous le principe du "téléphone arabe"...  et si les secours demandent des informations sur la victime ou sur le sinistre que ne possède pas la loge ? sans compter la perte de temps due au relai de l'information...
mais effectivement je suis d'accord la loge est un incontournable pour l'alerte de l'administration, le guidage des secours, la mise en œuvre des secours interne et c'est aussi éviter l'appel des secours de manière anarchique.
 Chez nous :

- si c'est grave (victime inconsciente et/ou avec plaie importante) : le témoin appelle directement le SAMU et également un SST ou le service de médecine.

- si ce n'est pas grave (victime consciente et/ou plaie peu importante)

: le témoin appelle un SST ou le service de médecine.

L'appel au SAMU est privilégié par rapport aux pompiers du fait de la possibilité d'être mis rapidement en contact avec un médecin.

Une des questions que l'on s'est posée était l'évaluation de la gravité par un "non secouriste" : finalement, la gravité ou non de la situation est très bien appréhendée par les témoins (étudiant ou enseignant ou BIATOS). L'organisation de l'accueil des secours à l'entrée du site se fait aussi très spontanément ; en effet, cela est très souvent déjà mis en place à l'arrivée du SST !

Notre problème est la présence "non maitrisée" des SST tôt le matin (entre 7h30 et 8h30) et le soir (à partir de 17h30).

Notre Université de tutelle (l'Université de Rouen) a mis en place des "SST coordinateurs" par site et cela est très bien !

 J'ai remarqué dans la procédure du conseil général des bouches du rhône le numéro 112 pour les portables. Ce numéro n'est pas le numéro pour les portables mais un numéro européen qui permet à une personne étrangère au pays, de dialoguer avec quelqu'un parlant sa langue. Avec le portable il faut faire le 18, le 15 ou le 17 comme sur un fixe. D'ailleurs le numéro 112 fonctionne aussi sur les téléphones fixes.
En cas d'appel au 112 en France par un français l'opérateur vous demandera de raccrocher et d'appeler le 18, le 15 ou le 17 selon l'urgence. (Expérience personnelle)
 Il n'y a effectivement aucune obligation réglementaire de passer par le SAMU en priorité.

Je trouve que chaque numéro a ses avantages et ses inconvénients :

15 :

- on a effectivement un médecin en ligne, mais ça peut être long (faut aimer Vivaldi),



- assure la régulation, ils peuvent donc choisir d'envoyer les pompiers ou S.O.S. médecin,

- si ils décident de se déplacer on a une vraie équipe médicale.

 

18 :


- pas de médecin ou très exceptionnellement,

- se déplacent aussitôt sans poser 36 questions avant.

 

Lors des différentes formations SST, les moniteurs préconisent souvent d'appeler le 15 en priorité à cause de la régulation.



2010 : responsabilité des secouristes

mes secouristes sont intervenus à la demande d'un enseignant pour une étudiante qui était venue en cours alors qu'elle venait d'avoir un accident de la route avec légère perte de connaissance sur les lieux.

Malgré ça elle était venue en cours.
Le secouriste l'a trouvé en forme, elle était accompagné de son ami et malgré les conseils du SST elle a refusé catégoriquement l'appel aux pompiers et même d'aller à l'infirmerie. Le secouriste lui a redonné les numéros d'urgence du campus en lui rappelant qu'il serait mieux pour elle d'aller rapidement consulter.
une heure plus tard, son ami a réussi à la convaincre d'aller à l'infirmerie et on lui a fait les mêmes remarques. Elle est finalement rentrée chez elle et on a appris ensuite qu'elle avait un traumatisme crânien avec entorse cervicale.
les secouristes et moi même nous demandons quelle aurait été notre responsabilité si elle avait eu un pépin plus important. On ne peut pas les obliger à attendre les pompiers et nous ne sommes pas médecin... le trauma n'était pas visible et elle semblait en "état" même si elle était un peu secouée...

 Je pense qu'il n'y avait pas mieux à faire.

Si ses propose étaient cohérents et qu'elle est majeure, elle prend ses responsabilités.

 Dans le cas où une victime refuse que les secours soient prévenus, je demande aux secouristes malgré tout de prévenir le SAMU pour avoir un avis médical en précisant que la victime refuse que les secours se déplacent.


L'appel au SAMU, qui est enregistré constituera une preuve pour le SST qu'il a fait son travail d'alerte. Ensuite il est important que la victime ne soit pas laissée seule.

 Sur Lyon3 nous copions la démarche du sdis 69. Autrement dit nous avons un formulaire que nous remplissons en présence de la victime et qu'elle signe, signifiant qu'elle refuse les secours public. Le document est à remplir après avoir, et cela a plusieurs reprise et devant témoins signifier les risque qu'elle encoure sur sa santé. Cela ne dédouane pas de nos responsabilité face a une victime, mais comme tu l'as dis nous ne pouvons la forcer a montée dans le camion rouge. Un avis du médecin régulateur du 15 est le bien venu.

Je peux ajouter  que même si le SAMU  envoie les pompiers ce dernier refait un bilan  et fais signer le document du SDIS comme quoi il ne veut pas y aller.

le problème c'est que les personnes qui ne veulent pas qu'on appelle les secours partent avant leur arrivée et on ne peut pas les attacher pour qu'ils attendent...


J’adhère totalement à tout ce qui vient d’être dit ce qui n’empêche pas qu’il reste toujours un problème quand le bilan des pompiers fait, une décharge signée par l’intéressé, on voit la personne reprendre la route alors qu’on sait, qu’on voit qu’’elle n’est pas en état de le faire :

Nous avons eu un visiteur d’environ 35 ans qui a perdu connaissance sans raison dans nos locaux il y a quelques temps. Il est resté inconscient près de 10 mn. On a appelé le SAMU qui a envoyé les pompiers. La personne était revenue à elle mais était encore bien « sonnée » à leur arrivée. Les pompiers ont fait un bilan et ont décidé de l’emmener à l’hôpital – Il a refusé – Les palabres ont duré plus d’une heure et finalement il a signé une décharge disant qu’il prenait l’entière responsabilité des conséquences de sa décision de ne pas faire d’examens complémentaires. Les pompiers sont encore restés (en tout près de 2h00) et sont repartis sans lui quand ils ont estimé qu’il était revenu à la normale.

J’ai proposé d’appeler son entreprise ou sa famille  pour qu’on vienne le chercher – Il a refusé – J’ai proposé de le ramener (je sais ce n’est pas ce qu’il faut faire) il a refusé on y a passé toute l’après-midi et il est parti tout pale, tout suant, très énervé et sans savoir pourquoi il était « tombé dans les pommes » : il avait plus d’une heure de route pour rentrer

…tout ça pour dire que s’il était arrivé quelque chose, on n’aurait peut-être pas été poursuivis parce qu’on avait fait ce qu’il fallait mais on aurait objectivement eu une part de culpabilité parce qu’il n’aurait pas dû conduire : c’était évident. Les deux SST et moi-même n’étions pas à l’aise du tout jusqu’à ce qu’il nous appelle pour nous dire qu’il était bien rentré.

Quelques temps plus tard on a eu une chute avec grosse entorse et la victime qui refusait qu’on appelle les secours, ce qu’on a fait quand même. On s’est alors rendu compte qu’elle était sous l’emprise de l’alcool ce qui était totalement indécelable sans examen approprié….Et je me suis dit ce jour-là que très probablement notre précédent cas était peut-être dans la même situation (les pompiers nous ont demandé de nous retirer lors de leur examen et je ne sais pas s’ils font un alcootest) …Parce que c’était vraiment inextricable, cette situation….


2010 (échanges hors GPSup) : présence obligatoire de trousses de secours dans les ERP ?

En terme de responsabilité sur un ERP (musée, biblio) où il y a énormément de passage tous publics confondus, doit-on mettre en place sur ces sites /


-1 pharmacie pour nos agents validée bien entendu par notre médecin préventeur
-1 pharmacie pour notre public, et si c'est le cas, que doit-on y mettre dedans
Quel recours peur-on avoir en cas d'incidents, je n'ai trouvée que le texte référent L.2212-2 du CGCT, mais celà ne correspond pas à ma demande.
D'avance MERCI pour vos expériences et infos.
La mise à disposition des agents de la collectivité d'une pharmacie ou de trousses de premier secours relève d'une obligation réglementaire prévue par le code du travail. Pour ce qui concerne le public, il peut être nécessaire, compte tenu de l'importance de fréquentation de l'établissement, de mettre en place un service de sécurité qui pourra intervenir en urgence avant l'arrivée des secours. Il convient de se référer aux articles R123-1 à R123-55 du code de la construction et de l'habitation

2009 : malaise d’une personne : présence d’un local de repos ?

question à ceux qui ont un PC de sécurité : comment faites-vous quand du public ayant eu un malaise ne nécessitant pas l'intervention des pompiers a besoin d'être étendu? avez-vous un local attenant au PC permettant de mettre la personne au repos? y a t il  une obligation?

chez nous, l'infirmerie servait aussi à cela mais ça posait problème quand il y avait les consultations de la médecine de prévention.

Il existe une banquette à l'accueil de la fac. Elle est à l'abri des regards.

Je ne pense pas qu'il y ait une obligation. C'est juste pratique.

 A l'IUT d'Evreux, nous n'avons pas de PC sécurité mais une vrai salle de soins ouverte aux heures d'ouverture de l'établissement.

Elle est composée d'un lit, d'une table avec un téléphone, d'un panneau d'affichage avec les numéros d'urgence, d'un registre pour les accidents bénins, d'un évier avec savon anti-bactéricide + distributeur essuyage à papier, d'une armoire à pharmacie fermée à clé et utilisée uniquement pour les SST. Et depuis peu d'un défibrillateur !


2008 : transport des personnes en cas de refus par les pompiers

Petit sondage express : comment votre établissement est-il organisé pour transporter à l'hôpital ou reconduire à leur domicile des personnes souffrantes dont les pompiers ne veulent pas se charger ? Certains d'entre vous ont-ils une convention avec une société d'ambulances ?

La question a été posée en CHS. Le Directeur de l’Ecole a décidé que si les secours ne se déplaçaient pas, après coups de fil aux pompiers et au SAMU et refus de leur part de prendre en charge la personne, appel à la famille et impossibilité de celle –ci d’intervenir, il acceptait de « couvrir » le transport dans un véhicule de l’établissement de la personne souffrante vers les urgences ou vers la Maison Universitaire de la Santé où se trouvent médecins et infirmières, par 2 personnes : un conducteur et un secouriste. La consigne interdit strictement le raccompagnement au domicile.

Les débats ont été houleux, et le médecin de prévention opposé à cette mesure, mais nous n’avons pas trouvé d’autre solution. L’appel à une ambulance privée n’a pas été retenu pour la question du paiement. Heureusement, les secours apprécient souvent justement la gravité des situations et envoient un véhicule adapté quand la situation le demande. Nous ne nous sommes que très rarement trouvés dans une situation de ce type et chaque fois pour des bobos…



2008 : interdiction de donner des médicaments par un SST

Je cherche à savoir sur quel texte repose l'interdiction de délivrer des médicaments par les secouristes d'entreprise. Avez-vous l'information ?

 Faut-il vraiment s'appuyer sur un texte dans ce cas ?
Le programme officiel PSC1, que reprend le programme SST dit que l'on peut aider à administrer un médicament à une personne dans la mesure où ce médicament fait l'objet d'un traitement délivré à cette personne par un médecin, et qu'elle connaisse les doses. Ex de la ventoline pour un asthmatique.
L'interdiction d'administrer un médicament est liée au fait que la prise du  médicament engage la responsabilité de celui qui le donne.
Un secouriste ne peut pas savoir si la victime est ou non allergique à un médicament ou un de ses composants. En cas de complications, le secouriste est responsable car il a lui même agi.
Si tu veux des textes, essaye peut être de voir dans le code pénal ! On est dans une situation de mise en danger d'autrui.


2007 : maintenance des douches de sécurité portative

Savez-vous quelles sont les règles de maintenance des douches portatives de sécurité ? Existe-t-il une norme ? Une recommandation d'un organisme ?

La norme européenne NF EN 15154-2 qui a le statut d’une norme française indique que:

Le fabricant doit fournir avec les informations sur les unités de lavage d’yeux de sécurité, des informations sur l’installation, le fonctionnement et la maintenance ainsi que la méthode et la fréquence des essais de routine.

NOTE : L’attention est attirée sur les réglementations nationales qui peuvent s’appliquer pour l’installation, la maintenance et les essais de routine.

Au niveau du code du travail (Art. R231-56-8) pour les installations et les appareils de protection collective : Une vérification doit été réalisée régulièrement (pas de précision sur la fréquence). Les informations relatives à la vérification doivent être mentionnées sur le registre de sécurité. Pas de précision sur la personne ou l’organisme chargé de la vérification.



2007 : lit pour les victimes en attentant les secours

Je souhaite placer à la loge un siège "médicalisé" pour que les personnes victimes de malaise puissent attendre confortablement les secours avez vous des noms de société pouvant me fournir ?

Personnellement j'ai opté pour des lits pliants de "camping" qui ne sont pas encombrant, confortables et surtout que l'on peut transportés... Quand une personne à un malaise, ne se sent pas bien, j'ai trouvé plus pratique de faire venir le lit à la personne. Selon la taille du site, on peut mette plusieurs lits pliants à des endroits stratégiques...

Je les ais acheté chez "SECURIMED" à 54 Euros pièce.



2005 : un thésard peut-il être un SST : à votre avis, des thésards peuvent-ils être officiellement secouriste du travail dans l'Université ? Après tout, ce sont encore des étudiants...

On a des labos où des thésards font partie de l'effectif SST, affiché : après tout, ils sont plus souvent dans les labos !

A Metz, nous formons régulièrement (depuis des années) des thésards afin qu'ils deviennent SST, que nous recyclons régulièrement.


2005 : présence de médicaments dans les trousses de secours.

Réglementairement, dans les trousses de secours, ou pharmacie d'établissement ne doivent pas figurer les antiseptiques colorés (à cause des allergies  notamment) ni de médicaments  ni  l'alcool . ce n'est  que le corps médical  qui peut soigner mais les secouristes apporte les premiers gestes mais sans produits.


Aussi  la Biafine ou Hemoclar n'est pas recommandé entre autres, sauf  si dans l'établissement il y a des  personnels médicaux aussi  ce texte applicables dans les établissements scolaires  BO HS n° 1 du 06/01/2000 peut être une  piste pour l'enseignement  supérieur

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