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des erreurs syntaxiques et phonétiques qu’il sera amené à corriger ; ensuite, de la clarté et de la
cohérence et enfin, de la pertinence des stratégies illocutoires utilisés.
Par ailleurs, le travail hors classe et la participation active de l’apprenant sont à prendre
en considération.
En effet, l’effort de recherche, l’initiative personnelle, sont à encourager.
Enfin, des épreuves conçues sous forme de devoirs surveillés, similaires aux épreuves
de l’examen sommatif sont à proposer aux apprenants afin de les familiariser avec la
configuration générale des textes sommatifs.
-
L’épreuve globale
En 1ère année, le texte support de l’épreuve est tiré du programme ou similaire à ceux
étudiés au cours du semestre.
L’étude de texte, notée sur 10 points, englobe 8 à 10 questions
qui portent sur la
contextualisation, la situation énonciative, la composition et l’analyse des détails du texte
(repérage, explication, interprétation)
et enfin, les moyens d’expression linguistiques et
stylistiques de l’épreuve.
Pour ce qui est de l’expression écrite, elle est notée également sur 10 points. Elle
permet de contrôler les capacités de réflexion et les capacités rédactionnelles et culturelles de
l’apprenant. Le sujet doit être en rapport soit avec le texte support ou avec l’un des textes ou
des thèmes figurant au programme.
En 2
ème
et 3
ème
années, l’épreuve globale, notée sur 10 points, porte sur un texte support
et sa conception est identique à celle de la 1
ère
année. Pour ce qui est de la production écrite, il
s’agit d’évaluer les compétences rédactionnelles et culturelles de l’apprenant
ainsi que ses
capacités de réflexion comme en 1
ère
année ; toutefois, en 2
ème
et en3ème années, l’épreuve
comporte en plus, des écrits plus spécialisés, notamment l’essai littéraire ou le commentaire
composé.
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