Nouveaux Bleus



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Commentaires techniques

Source de données :

Synthèse de deux enquêtes sur l’insertion professionnelle des diplômés de BTS – MEN / DEPP pour le sous-indicateur 1

Enquête sur l’insertion professionnelle des diplômés de l’université – MESR / DGESIP-DGRI / SIES pour les sous-indicateurs 2, 3, 4 et 5

Enquête CEREQ pour les doctorats – Centre d’études et de recherche sur les qualifications pour les sous-indicateurs 6 et 7



Mode de calcul :

Le taux d’insertion est défini comme étant le pourcentage de diplômés de nationalité française, issus de la formation initiale, ayant mis fin à leurs études après l’obtention de leur diplôme et occupant un emploi, quel qu’il soit, par rapport à l’ensemble des diplômés vérifiant les mêmes critères et présents sur le marché du travail (c'est-à-dire en emploi ou en recherche d’emploi). Est entendu par emploi permanent, ou emploi stable, les emplois de fonctionnaires, d’indépendants et les contrats à durée indéterminée du secteur privé.

Pour les diplômés de BTS, les enquêtes d’insertion dans la vie active des jeunes sortants de lycée (IVA) et d’insertion professionnelle des apprentis (IPA) rendent compte de la première insertion professionnelle sept mois après la fin de leur formation. Les données des deux enquêtes IVA et IPA sont retravaillées afin de renseigner un indicateur synthétique sur l’ensemble des diplômés du BTS, sous statut scolaire ou par apprentissage. La situation d’emploi est observée au 1er février n+1. La valeur n de l’indicateur porte donc sur les diplômés de l’année universitaire n-2/n-1 et est disponible pour analyse au RAP n+1.

Pour les diplômés DUT/ Licence professionnelle/Master a été construite avec l’ensemble des universités une enquête d’insertion homogène, enquête réalisable annuellement par université et consolidable au niveau du programme. Ce dispositif d’enquête d’insertion porte sur les diplômés. Ils sont interrogés sur leur situation professionnelle au 1er décembre de l’année n, soit 30 mois après l’obtention de leur diplôme. La valeur n de l’indicateur porte donc sur les diplômés de l’année universitaire n-3/n-2.

En 2012, 90 % des titulaires d’un Master obtenu en formation initiale, qui sont de nationalité française et qui n’ont pas poursuivi d’études sont en emploi 30 mois après leur sortie. 74% de ces diplômés en emploi occupent un emploi permanent.

Pour les titulaires du doctorat, on utilise l’observation triennale réalisée par le CEREQ dans le cadre des « enquêtes génération » qui s’intéressent à l’entrée dans la vie active des jeunes (moins de 35 ans) sortis du système éducatif. L’enquête interroge un échantillon de ces jeunes sur leur situation trois ans après leur sortie de formation initiale. Le champ de l’enquête est donc celui des étudiants, inscrits dans un établissement en n-4/n-3, et n'ayant pas repris leurs études pendant l'année qui a suivi leur entrée sur le marché du travail. Est retenu pour le renseignement de cet indicateur les étudiants diplômés en D l’année n-3.

L’année de référence n pour les valeurs de l’indicateur est celle de la réalisation de l’enquête mais ces valeurs ne sont pas disponibles, du fait des délais d’exploitation de l’enquête, avant le RAP de n+1. La donnée de réalisation 2013 sera fournie au RAP 2014.

Limites et biais connus

Cet indicateur est particulièrement sensible à la conjoncture du marché du travail dont les évolutions ne peuvent être correctement anticipées sur une durée triennale. L’exercice de prévision à 3 ans et de fixation de cible est donc très difficile.

Par construction, sont exclus de l’observation les diplômés de l’année n qui ont poursuivi leurs études en n+1. Les valeurs peuvent donc varier en fonction de la variation du taux de poursuite d’études des diplômés concernés.

Pour les diplômés de BTS, la donnée de réalisation 2011 (90,9 %) a été modifiée sur le RAP 2013. Cette valeur présentée au PAP 2013 provenait de l’enquête triennale « Génération » réalisée par le CEREQ et présentait le taux d’insertion professionnelle à 3 ans. Les données de réalisation 2011 et 2012 présentées ici sont issues des enquêtes IVA et IPA. Les données historiques de l’indicateur seront actualisées au PAP 2015 selon la méthode présentée supra.

Pour les diplômés de master, seuls font l’objet d’une enquête les titulaires d’un diplôme de master délivré par les universités qui ont en la matière un quasi-monopole. Par ailleurs, un certain nombre d’établissements (écoles d’ingénieurs par exemple) délivrent des diplômes qui confèrent le grade de master. Les titulaires de tels diplômes ne sont pas dans le champ de l’enquête.

Au niveau Doctorat, le renseignement de l’indicateur n’est possible que tous les trois ans en raison du caractère triennal de l’enquête Génération : il y a donc deux années blanches sur trois au PAP/RAP.



Commentaires :

Tous ces sous-indicateurs sont extrêmement sensibles à la conjoncture économique. Même si les jeunes diplômés de l’enseignement supérieur sont moins exposés que les autres aux aléas de la conjoncture et que ceux qui ont obtenu un diplôme au moins de niveau master sont sensiblement mieux armés que les autres, l’état du marché du travail est également pour eux un facteur déterminant de l’insertion professionnelle.




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