Annexes budgétaires



Yüklə 4,07 Mb.
səhifə38/42
tarix30.10.2017
ölçüsü4,07 Mb.
#21784
1   ...   34   35   36   37   38   39   40   41   42

Commentaires techniques :

Compte tenu de la nature et du mode de calcul de l'indicateur, sa mise en place s'est faite via une expérimentation réalisée en 2005.

Les tableaux permettant le calcul de l’indicateur ont été renseignés en 2007 par 13 régions (contre 9 en 2006) et par les services d’administration centrale. Le grand nombre de données traitées et la représentativité des régions concernées permettent d’estimer l’indicateur de manière fiable. Il convient de poursuivre les efforts afin d’aboutir à une base de données complète et harmonisée entre les régions.



INDICATEUR 2.3 : Perception par le public des politiques environnementales : niveau d’implication du public en tant qu’acteur des politiques environnementales







(du point de vue du citoyen)




Unité

2005
Réalisation

2006
Réalisation

2007
Prévision
PAP 2007

2007
Prévision
mi 2007

2007
Réalisation

2010
Cible
PAP 2007

Perception par le public des politiques environnementales : niveau d’implication du public en tant qu’acteur des politiques environnementales

indice

44

50

50




nd

80


Commentaires techniques :

Cet indicateur, dont les résultats sont issus d’un sondage, est abandonné dans le PAP 2008.

La valeur-cible ici mentionnée (80% en 2010) est le produit d’une erreur technique et doit être en réalité considérée sur la base de 60% en 2010.


Analyse des résultats







Concernant l’indicateur « Taux de réponse dans les délais aux demandes des organisations internationales », les résultats sont en progression régulière depuis 2005 et l’objectif cible sera atteint mais probablement à plus longue échéance que celle initialement prévue.

Il convient de noter que le taux de 85%, déterminé par l’Agence européenne pour l’environnement, place la France parmi les tous premiers pays européens à remplir leurs obligations en matière de fourniture de flux de données environnementales. Par ailleurs, l’indicateur de l’Agence européenne pour l’environnement étant relativement élevé, la progression potentielle est elle-même corrélativement assez limitée.

En 2007, le travail de l’IFEN, associé aux principaux producteurs de données (dont l’Ademe, les Agences de l’eau, le Brgm, l’Inra, le Citepa, l’Ifremer, le Muséum national d’histoire naturelle) participant au réseau Eionet France, a permis d’améliorer de deux points la position de la France dans la qualité de la fourniture des données. Un effort particulier a été fait pour améliorer la fourniture des données sur les zonages des espaces protégés, la qualité des plans d’eau et pour fiabiliser celles sur l’air.

L’indicateur « Taux des avis émis par le MEDD dans le cadre de l’évaluation environnementale et de l’intégration de l’environnement dans les politiques publiques suivis par leurs destinataires » fait fonction de garant environnemental du ministère.

Le taux de reprise des avis émis par le MEDD par leur destinataire est supérieur à l’estimation initiale mais inférieur à la réalisation 2006. Le résultat reste très satisfaisant et traduit toujours une très bonne performance des services du ministère (D4E et DIREN) lorsqu’ils sont saisis pour émettre un avis apportant une expertise technique afin d’intégrer l’environnement ou d’évaluer les incidences environnementales d’un projet, plan ou programme.

La différence entre la valeur 2006 et la valeur 2007 s’explique, en partie, par le fait que la proportion d’avis défavorables ou réservés émis par les services déconcentrés en 2007 (56%) est nettement supérieure à la proportion des même avis émis par ces services en 2006 (45%).

Le taux de reprise correspondant aux avis défavorables ou réservés est obligatoirement inférieur au taux de reprise correspondant à l’ensemble des avis (le taux de reprise sur les avis favorables est naturellement proche de 100%). La valeur de ce taux est constante sur 2006 et 2007 à 75%.

Ce résultat est à mettre en parallèle avec la proportion croissante de projets à moyen ou fort enjeu environnemental (54% en 2007 contre 49% en 2006) dans les avis émis. Les services ont mieux ciblé leurs actions vers des projets, plans ou programmes à fort enjeu et/ou susceptibles d’avoir des effets négatifs sur l’environnement.




OBJECTIF n° 3 : Améliorer les délais d’élaboration et la qualité de la réglementation environnementale nationale, communautaire et internationale









INDICATEUR 3.1 : Transposition des directives communautaires







(du point de vue du citoyen)




Unité

2005
Réalisation

2006
Réalisation

2007
Prévision
PAP 2007

2007
Prévision
mi 2007

2007
Réalisation

2008
Cible
PAP 2007

Nombre de directives restant à transposer et dont la date limite de transposition a été dépassée au 31/12 de l’année

Nombre

9

2

1




2

0



Commentaires techniques :

Aucune difficulté d’évaluation de la réalisation n’est à signaler. Le suivi de l’indicateur est rigoureux et les données sûres.





INDICATEUR 3.2 : Pourcentage des interlocuteurs du MEDD considérant que celui-ci contribue significativement au renforcement de l’influence de la France à l’international







(du point de vue du citoyen)




Unité

2005
Réalisation

2006
Réalisation

2007
Prévision
PAP 2007

2007
Prévision
mi 2007

2007
Réalisation

2007
Cible
PAP 2007

Pourcentage des interlocuteurs du MEDD considérant que celui-ci contribue significativement au renforcement de l’influence de la France à l’international

%

44

50

53

53




53


Commentaires techniques :

Ce sondage repose sur des questions fermées appelant une réponse du type « tout à fait d’accord », « plutôt d’accord », « plutôt pas d’accord » et « pas du tout d’accord » sur des propositions relatives à la présence du ministère dans les débats internationaux, sa capacité à proposer (etc.) et des questions ouvertes portant sur la citation de manifestations passées au cours desquelles le ministère aurait particulièrement bien contribué ou insuffisamment contribué au renforcement de l’influence de la France à l’international.

Source : enquête annuelle menée en janvier/février par un prestataire auprès d’une centaine de partenaires institutionnels (autres ministères, établissements publics, correspondants des institutions internationales partenaires et des autres ministères en charge de l’environnement) et non institutionnels du ministère en matière d’action internationale.


Analyse des résultats







En ce qui concerne l’indicateur « Transposition des directives communautaires », l’objectif n’a pas été atteint pour les deux raisons suivantes et indépendantes de l’action propre du service :

- tout d’abord, le projet de loi portant transposition de la directive 2004/35/CE « Responsabilité environnementale » déposé au Sénat le 5 avril 2007 n’a pas été inscrit à l’ordre du jour de la Haute Assemblée en 2007 mais le sera en 2008 ;

- ensuite, les dispositions législatives nécessaires pour achever la transposition de la directive 2004/107/CE « Ozone » ne pourront être prises qu’en 2008, eu égard au calendrier prévu pour l’adoption du projet de loi portant diverses dispositions d’adaptations du droit communautaire dans le domaine de l’écologie, du développement et de l’aménagement durables.

Concernant l’indicateur « Pourcentage des interlocuteurs du MEDD considérant que celui-ci contribue significativement au renforcement de l’influence à l’international », l’enquête n’a pas été entreprise en 2007, car la réorganisation du ministère modifie le périmètre de l’indicateur : l’action internationale inclut désormais de nouveaux domaines, dont l’énergie, l’équipement, l’aménagement du territoire, les transports, l’aviation civile. Cela ne permettrait pas une comparaison pertinente des résultats interannuels.



OBJECTIF n° 4 : Optimiser la gestion des personnes et des moyens du service public de l’environnement









INDICATEUR 4.1 : taux de mobilisation des ETP







(du point de vue de l’usager)




Unité

2005
Réalisation

2006
Réalisation

2007
Prévision
PAP 2007

2007
Prévision
mi 2007

2007
Réalisation

2007
Cible
PAP 2007

taux de mobilisation des ETP

%




98

98




98

98


Commentaires techniques :

Le calcul du taux de mobilisation des ETPT s’effectue sur la base du nombre d’ETPT constatée par rapport au nombre d’ETPT inscrit en LFI.



INDICATEUR 4.2 : Dépense moyenne de fonctionnement par agent







(du point de vue du contribuable)




Unité

2005
Réalisation

2006
Réalisation

2007
Prévision
PAP 2007

2007
Prévision
mi 2007

2007
Réalisation

2007
Cible
PAP 2007

Dépense moyenne de fonctionnement par agent



10 450

9 886

10 322




11 400

10 322


Commentaires techniques :

Le calcul du coût concerné s’effectue sur la base de la dépense constatée dans le logiciel India-Lolf. Il s’agit du total des crédits consommés en titre 3 (dépenses de fonctionnement), sur la sous-action 353, dépenses liées à la gestion immobilière, à la logistique et à la formation (hors loyer budgétaire), ainsi que ceux sur la sous-action 356 qui concernent la téléphonie et les dépenses informatiques. Le numérateur de cet indicateur est le nombre d’ETPT total (hors DRIRE et DDSV)




Analyse des résultats







Concernant l’indicateur « Taux de mobilisation des ETPT » :

La consommation en ETPT en 2007 a conduit à atteindre le plafond autorisé à hauteur de 98 %. Par rapport à un plafond d’emplois de 3 775 ETPT fixé pour l’exercice 2007, le nombre d’ETPT s’est élevé à 3 701,52. Le résultat, conforme à la prévision, est de 98%.

Ainsi, globalement, l’objectif a été atteint grâce au plan d’action mis en place afin de pourvoir les postes vacants reposant notamment sur le recours aux doubles publications (corps de l’équipement et corps de l’agriculture) et au recrutement sur contrats à durée déterminée en l’absence de candidatures de fonctionnaires.

La nouvelle structure ministérielle créée modifie le périmètre des services, et la problématique de gestion antérieure qui était celle d’un département ministériel ayant recours exclusivement à des agents gérés par d’autres départements.

Concernant l’indicateur « Dépenses moyennes de fonctionnement par agent » :

L’objectif de cet indicateur est d’optimiser les moyens des services dans un souci d’efficience en s’appuyant sur une étude comparative d’indicateurs similaires élaborés dans d’autres ministères.

Compte tenu de la réalisation de l’indicateur en 2006, il apparaît que le coût moyen de fonctionnement par agent a augmenté en 2007 du fait d’un accroissement des dépenses de fonctionnement imposées par certaines contraintes, notamment en administration centrale, pour des dépenses ponctuelles (changement de serveurs de messagerie) ainsi que des dépenses de maintenance immobilière imposées par la vétusté du bâtiment (dépenses de maintenance des ascenseurs, plomberie, petits travaux de réparations diverses, etc.)

Justification au premier euro









Éléments transversaux au programme











Autorisations d’engagement

Crédits de paiement

Numéro et intitulé de l’action
/ sous-action

Titre 2
Dépenses
de personnel
(*)

Autres titres

(*)


Total
y.c. FDC et ADP



Titre 2
Dépenses
de personnel
(*)

Autres titres

(*)


Total
y.c. FDC et ADP



Prévision LFI
Consommation

01

Développement durable




19 767 200

19 767 200




19 765 666

19 765 666




18 404 977

18 404 977




19 851 610

19 851 610

02

Connaissance environnementale




3 108 256

3 108 256




3 108 256

3 108 256




2 754 729

2 754 729




2 118 529

2 118 529

03

Action internationale




2 442 612

2 442 612




2 533 720

2 533 720




2 436 591

2 436 591




2 136 951

2 136 951

04

Qualité de la réglementation et efficacité de la police de l’environnement




1 843 418

1 843 418




1 843 418

1 843 418




60 991

60 991




77 486

77 486

05

Management et soutien

225 912 943

95 843 319

322 206 262

225 912 943

54 253 745

280 616 688

8 576 692

47 887 491

56 464 183

8 576 692

45 041 987

53 618 679

06

Information et communication




2 111 124

3 174 124




2 111 124

3 174 124




3 518 845

3 518 845




3 578 787

3 578 787

07

Evaluation et expertise




4 143 535

4 143 535




4 143 535

4 143 535




1 947 881

1 947 881




1 822 405

1 822 405

08

Commission nationale du débat public

1 134 057

796 252

1 930 309

1 134 057

796 252

1 930 309

692 755

453 517

1 146 272

692 755

478 810

1 171 565

Totaux des crédits prévus en LFI

227 047 000

130 055 716

358 615 716

227 047 000

88 555 716

317 115 716

Ouvertures / annulations y.c. FDC et ADP

-215 844 711

-27 532 543

-243 377 254

-215 844 711

-8 122 916

-223 967 627

Totaux des crédits ouverts

11 202 289

102 523 173

113 725 462

11 202 289

80 432 800

91 635 089

Totaux des crédits consommés

9 269 447

77 465 022

86 734 469

9 269 447

75 106 565

84 376 012

Crédits consommés - crédits ouverts

-1 932 842

-25 058 151

-26 990 993

-1 932 842

-5 326 235

-7 259 077

(*) hors FDC et ADP pour les montants de la LFI


Dépenses de personnel











Emplois exprimés en ETPT

Dépenses

Catégorie d’emplois

Réalisation
2006

LFI
2007

Transferts
de gestion

Réalisation
2007

Écart à la LFI 2007
(après transferts)

Réalisation
2007

Catégorie A

25

1 819

-1 730

29

-60

2 460 182

Catégorie B

6

987

-987

6

+6

206 903

Catégorie C

169

969

-775

188

-6

6 602 362

Totaux

200

3 775

-3 492

223

-60

9 269 447





Autorisations d’engagement

Crédits de paiement

Catégorie

Prévision LFI

Consommation

Prévision LFI

Consommation

Rémunérations d’activité

148 744 802

6 714 862

148 744 802

6 714 862

Cotisations et contributions sociales

77 017 736

2 299 631

77 017 736

2 299 631

Prestations sociales et allocations diverses

1 284 462

254 954

1 284 462

254 954

FDC et ADP prévus

200 000




200 000



évolution des emplois

Le plafond des emplois a été fixé, en loi de finances pour 2007, à 3 775 équivalents temps plein travaillé (ETPT). En moyenne, sur l’année 2007, la consommation de ce plafond s’élève à 3 702 ETPT, dont 223 ETPT correspondant à des personnels n’ayant pas fait l’objet d’un décret de transfert en cours d’exercice (désignés ci-après personnels « en gestion directe »).

3695 ETPT ont été consommés sur l’action 5 et 7 ETPT sur l’action 8.

La répartition de ces ETPT par catégories est la suivante : 1 747 ETPT de catégorie A (47%), 992 ETPT de catégorie B ( 27% ) et 963 ETPT de catégorie C ( 26% ).

Les crédits de titre 2 ont été consommés à hauteur de 220 984 705 € en 2007. La consommation a été de 9 269 447 € en gestion directe et de 211 715 258 € par transfert en gestion.

La répartition de la masse salariale et des ETPT consommés peut être présentée de la manière suivante :




Rappel des plafonds d’emplois

Consommation réelle (*)

Masse salariale

Transferts de personnels en gestion

3 492 ETPT

3 479 ETPT

211 715 258 €

Consommation en gestion directe

283 ETPT

223 ETPT

9 269 447 €

Total

3 775 ETPT

3702 ETPT

220 984 705 €

(*) Il est à noter que le second décret de transfert, préparé en concertation avec les ministères partenaires en septembre 2007, a conduit à un transfert total de 3 492 ETPT, lequel correspondait à la consommation annuelle prévisible. 3 479 ETPT ont en définitive été consommés sur ce périmètre.

EVOLUTION DES EMPLOIS :

Les personnels affectés en DIREN et dans les directions d’administration centrale ont représenté en moyenne


2 294 ETPT.

Le total des sorties (hors personnels en DRIRE et en DDSV) s’est établi à 112 ETPT, soit 227 personnes physiques. Les départs en retraite ont représenté 49 ETPT (97 personnes physiques). Les mutations, détachements et disponibilités sortants ont concerné 58 ETPT, soit 120 personnes physiques. Le reste des sorties correspond à des démissions (2 ETPT, 4 personnes physiques) et des décès (3 ETPT, 6 personnes physiques).

Le total des entrées a atteint 166 ETPT, soit 306 personnes physiques

Il s’agit principalement de mutations entrantes, qui ont représenté 126 ETPT (226 personnes physiques) et de recrutements « sortie école » pour 12 ETPT (30 personnes physiques).

Les agents détachés sur contrat ou sur corps ont représenté 21 ETPT, soit 39 personnes physiques. Le reste des entrées ont été des recrutements sur titres (3 ETPT), des réintégrations (2 ETPT) et des recrutements de travailleurs handicapés (2 ETPT).

effectifs et activités des services



Numéro et intitulé de l’action / sous-action

Prévision



Réalisation



ETPT

05

Management et soutien

3 768

216

08

Commission nationale du débat public

7

7

Totaux

3 775

223

Transferts de gestion




-3 492


TRANSFERTS DE CREDITS

Les crédits de titre 2 inscrits en loi de finances 2007 se sont élevés à 227 047 000 €.

Un transfert de 99 743 € - décret n° 2007-517 du 5 avril 2007 - pour le financement de dépenses sociales (extension du CESU notamment) a ramené à 226 947 257 € les crédits disponibles.

Deux transferts supplémentaires ont été effectués en 2007 (décrets n° 2007-1264 du 23 août 2007 et n° 2007-1679 du 27 novembre 2007) pour, comme en 2006, rembourser à quatre ministères partenaires, les rémunérations de leurs personnels en poste au ministère de l’écologie et du développement durable : le premier sur la base de 75 % des montants transférés en 2006, correspondant à 154 005 750 €, le second sur la base d’un ajustement par rapport aux prévisions de dépenses à hauteur de 57 709 508 € .

Les décrets n° 2007-1264 du 23 août 2007 et n° 2007-1679 du 27 novembre 2007 ont transféré au total 3 492 ETPT, répartis comme suit :

Ministère bénéficiaire

Catégorie A

Catégorie B

Catégorie C

Total

Equipement

734

412

418

1564

Agriculture

401

160

96

657

Minéfi

588

412

261

1261

Santé

7

3

0

10

Total

1730

987

775

3492

Les agents relevant de corps de l’INSEE (29 agents pour 1 943 567 €) ont quant à eux été rémunérés en gestion directe, dans le cadre d’une délégation de gestion.

La somme de 4 100 000 € a enfin été annulée par la loi de finances rectificative pour 2007.



REPARTITION DES EFFECTIFS PAR PROGRAMME (181, 153, 211)

Le schéma retenu par le ministère a conduit à un pilotage centralisé des emplois et de la masse salariale au sein du programma 211 « conduite et pilotage des politiques environnementales et développement durable ».

La répartition des effectifs nécessite la réalisation d’enquêtes auprès des services. La dernière en date, réalisée pour le PAP 2007, a conduit à la ventilation suivante :

48 % affectés au programme 181 « prévention des risques et lutte contre les pollutions ;

21 % affectés au programme 153 « gestion des milieux et biodiversité » ;

31 % affectés au programme 211 « soutien aux politiques environnementales et développement durable ».

Éléments salariaux

Les rémunérations versées aux agents ont représenté 220 984 705 €, réparties de la façon suivante :

- Le total des crédits transférés s’est élevé à 211 715 258 €.

Ces crédits ont concerné le ministère de l’Equipement à hauteur de 89 322 278 €, le ministère de l’Agriculture pour un montant de 41 000 000 € de crédits, le MINEFI pour un montant de 80 753 597 € et enfin la santé pour un montant de 639 383 €. Les traitements et indemnités représentent 69 % du total, soit 147 731 882 €. Les cotisations sociales représentent 30 % de la totalité des crédits transférés soit 62 896 887 € de crédits. Le reste des crédits transférés concerne les prestations sociales , soit 1 086 489 €.

Les dépenses relatives au compte d‘affectation spéciale des pensions ont représenté 42 749 560 €.

- En gestion directe, les crédits consommés ont représenté 9 269 447 €, répartis entre la CNDP pour un montant de 692 756 €, les personnels de l’INSEE pour un montant de 1 943 567 €, les crédits de vacations et les indemnisations des commissaires enquêteurs à hauteur de 6 591 556 €. Le solde a alimenté l’action sociale pour 41 568€.

La valeur du point fonction publique prise en compte a été de 53,9796 € pour le mois de janvier 2007 et de 54,4114 € à compter de février 2007.

Coûts ministériels par catégorie d’emploi :

Sur la base des transferts opérés, les coûts moyens globaux s’élèvent à :

• 57 111 € pour un agent « Equipement » ;

• 62 405 € pour un agent « Agriculture » ;

• 75 537 € pour un agent d’administration centrale du Minéfi ;

• 63 321 € pour un agent en DRIRE ;

• 63 938 € pour un agent « Santé ».


Suivi des crédits de paiement associés

à la consommation des autorisations d’engagement














AE ouvertes
en 2007 (**)


























113 725 462




















































AE non affectées
au 31/12/2007


























26 990 993




















































AE affectées
non engagées
au 31/12/2007 (*)















CP ouverts
en 2007 (**)


























91 635 089


































Engagements sur années antérieures non couverts par des paiements
au 31/12/2006

(1)


AE engagées
en 2007
(2)

Total des engagements
réalisés au
31/12/2007

(3) = (1) + (2)






CP consommés
en 2007
sur engagements antérieurs à 2007

(4)


CP consommés
en 2007
sur engagements
2007

(5)


Total des CP consommés
en 2007

(6) = (4) + (5)






Solde des engagements
non couverts par
des paiements
au 31/12/2007

(7) = (3) - (6)






86 734 469

86 734 469




5 802 100

78 573 912

84 376 012




2 358 457































AE reportées
sur 2008














CP reportés
sur 2008












0













0







(*) il s'agit d'AE du titre 5, sauf cas particuliers.

(**) LFI + reports + LFR + mouvements réglementaires.


Justification par action





action n° 01 : Développement durable












Prévision LFI

Réalisation

(y.c. FDC et ADP)

Titre 2

Autres titres

Total

Titre 2

Autres titres

Total

Autorisations d’engagement




19 767 200

19 767 200




18 404 977

18 404 977

Crédits de paiement




19 765 666

19 765 666




19 851 610

19 851 610



éléments de la dépense par nature







dépenses de fonctionnement





Autorisations d’engagement

Crédits de paiement

Catégorie

Prévision LFI

Consommation

Prévision LFI

Consommation

Dépenses de fonctionnement autres que celles de personnel

2 295 235

1 884 617

2 295 235

1 803 425

Subventions pour charges de service public

10 000 000

9 567 411

10 000 000

9 567 411



Dépenses de fonctionnement autres que celles de personnel : 1 884 617 € en AE et 1 803 425 € en CP

Les crédits de fonctionnement couvrent les frais liés à l’animation de la stratégie nationale de développement durable, notamment sur les thèmes liés au changement climatique, à la production et à la consommation durables, ainsi qu’aux projets territoriaux de développement durable.

Ces dépenses se sont avérées moins élevées que prévues, du fait d’un redéploiement opéré en faveur de dépenses d’intervention et d’un souci de contenir les coûts en fonctionnement.

508 650 € en AE et 509 815 € en CP ont été consommés par l’administration centrale afin de financer des études concernant le changement climatique.

1 375 967 en AE et 1 293 610 en CP ont été consommés pour l’animation de la stratégie nationale de développement durable et ont notamment permis de financer la mise en oeuvre du dispositif de reconnaissance des projets territoriaux de développement durable et diverses actions en faveur de la production et de la consommation durables. Parmi ces crédits, 294 819 € en AE et 273 979 € en CP ont été consommés par les services déconcentrés, essentiellement pour des projets visant à soutenir l’éducation à l’environnement pour un développement durable.

Par ailleurs, 2 000 € d’AE ont été engagés par erreur sur le titre 3, au lieu du titre 6 (catégorie 64), pour une action de partenariat associatif.



Subvention pour charges de service public : 9 567 411 € en AE et en CP

Ces crédits ont été attribués à l’Agence de l’environnement et de la maîtrise de l’énergie (ADEME). Ils ont contribué aux moyens de fonctionnement de l’agence, en complément des crédits mobilisés par les taxes affectées et de ceux reçus des programmes 188 « Recherche dans le domaine de l’énergie, 189 « Recherche dans le domaine des risques et des pollutions » et 134 « Développement des entreprises ». Cette subvention, attribuée au sein du programme 211, a été mise en place en 2007 et n’est pas reconduite en 2008.

Le montant de la subvention correspond aux engagements pris dans la LFI. En effet, cette programmation a été impactée par la réserve de précaution, au même titre que les autres postes de dépenses.

A raison d’un coût moyen de 83,6 k€ par salarié, comprenant les coûts salariaux et les charges de fonctionnement (coûts directs et investissements), ce sont 115 ETPT qui ont été financés sur les crédits du programme en 2007. Ils ont contribué pour partie aux actions de lutte contre le changement climatique : dans le domaine de l’énergie, notamment pour les actions d’efficacité énergétique et de développement des énergies renouvelables (environ 253 ETPT permanents et temporaires au total, hors recherche) et pour le montage d’actions transversales et territoriales comme les bilans carbone, les contrats d’objectifs territoriaux, les approches environnementales de l’urbanisme, etc. (environ 123 ETPT permanents et temporaires au total, hors recherche).

dépenses d’investissement



Autorisations d’engagement

Crédits de paiement

Catégorie

Prévision LFI

Consommation

Prévision LFI

Consommation

Dépenses pour immobilisations corporelles de l’Etat




-13 619







Dépenses pour immobilisations incorporelles de l’Etat




-48 229







La consommation négative de crédits est le résultat de désengagements d’opérations engagées sur les années antérieures. Ces AE désengagées sont alors considérées dans les logiciels comptables comme une restitution de crédits et apparaissent en négatif sur la consommation des crédits de 2007.

dépenses d’intervention



Autorisations d’engagement

Crédits de paiement

Catégorie

Prévision LFI

Consommation

Prévision LFI

Consommation

Transferts aux ménages




149 060







Transferts aux entreprises










7 114

Transferts aux collectivités territoriales

2 876 514

632 544

2 876 514

1 895 612

Transferts aux autres collectivités

4 595 451

6 233 193

4 593 917

6 578 048

D’un point de vue comptable, 149 060 € d’AE ont été engagés à tort dans la catégorie « Transferts aux ménages », tout comme les 7 114 € de CP mandatés à tort dans la catégorie « Transferts aux entreprises ». Ces crédits doivent être rattachés à la catégorie « Transferts aux autres collectivités».

Les dépenses d’intervention sont imputées sur deux postes :

- 1 883 477 € en AE et 3 325 417 € en CP pour l’animation de la stratégie nationale de développement durable (soit 980 000 € d’AE en moins et 460 000 € de CP de plus que prévus en LFI ;

- 5 131 320 € en AE et 5 155 357 € en CP pour le partenariat associatif (soit près de 450 000 € d’AE et 480 000 € de CP de plus que prévus en LFI).

Animation de la stratégie nationale de développement durable

Concernant l’animation de la stratégie nationale de développement durable, les services apportent leur soutien aux projets territoriaux de développement durable (Agendas 21, chartes pour l’environnement, etc.) portés par les collectivités territoriales. Ce soutien se traduit par un appui méthodologique (diffusion du cadre de référence des projets territoriaux de développement durable) et par un apport financier.

La faiblesse des engagements financiers (catégorie «Transferts aux autres collectivités» ) traduit une réalisation des actions programmées moins importante que prévue. Ceci est dû notamment aux aléas des calendriers des différents porteurs de projets et aux difficultés rencontrées en matière de prise de décision par ces structures externes. Le démarrage des Agendas 21 nécessite parfois une longue période de réflexion préalable. Il en résulte des glissements qui viennent perturber certaines programmations.

Le décalage entre la consommation des AE et celle des CP s’explique par le règlement dynamique en CP de nombreuses opérations lancées les années précédentes. En cours de gestion, des Diren ont reçu des crédits de paiement afin de solder des opérations programmées dans le cadre des contrats de plan Etat-Région 2000-2006, notamment sur la thématique des vélos-routes et voies vertes.




Yüklə 4,07 Mb.

Dostları ilə paylaş:
1   ...   34   35   36   37   38   39   40   41   42




Verilənlər bazası müəlliflik hüququ ilə müdafiə olunur ©muhaz.org 2024
rəhbərliyinə müraciət

gir | qeydiyyatdan keç
    Ana səhifə


yükləyin