Annexes budgétaires


Dépenses de fonctionnement autres que celles de personnel



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Dépenses de fonctionnement autres que celles de personnel :

11 306 € en AE correspondent à une erreur d’imputation d’une DRIRE sur l’action 3 de la DE, et sont donc à réimputer sur l’action 1.



Bruit :

Dans ce domaine, 374 120€ en AE et 606 907 € en CP ont été utilisés pour les principales opérations suivantes : maintenance technique de matériel de mesure (en 2007 ont été effectués le pré-contrôle de 55 appareils pour 43 702 € en AE et 38 152 € en CP et le contrôle réglementaire de 77 appareils pour 78 700 € en AE et CP) ; études, actions de sensibilisation et de communication (251 718 € en AE et 490 055 € en CP).



Pilotage de l’inspection des installations classées :

L’inspection des installations classées assure la police des installations classées industrielles et agricoles sur l’ensemble du territoire, ainsi que la concertation et l’information sur les questions de prévention des pollutions et des risques. Les inspecteurs appartiennent à divers services, dont essentiellement les DRIRE, les DDSV et le STIIIC (préfecture de police de Paris). 3 690 000 € en AE et 1 680 000 € en CP ont été employés à assurer le pilotage et l’encadrement de l’inspection. En particulier, 950 000 € en AE et 400 000 € en CP ont été nécessaires en matière de formation (renouvellement du marché triennal, pour les formations initiales et de prise de poste), 2 440 000 € en AE et 980 000 € en CP ont été utilisés pour le développement de systèmes d’information et d’outils méthodologiques (renouvellement d’un marché triennal également), et 300 000 € en AE et CP ont été utilisés pour des actions de communication et d’information. Par ailleurs, 2 330 000 € en AE et 2 000 000 € en CP ont été consommés par les services pour les actions locales d'animation et de formation des agents et en matière d’information et de concertation :

- publication de documents et mise à disposition sur Internet de données sur l’état de l’environnement et sur l’action de l’inspection ;

- organisation de réunions techniques d’information ou de colloques.



PPRT (Plans de Prévention des Risques Technologiques) et CLIC (Comités Locaux d’Information et de Concertation) :

La loi sur les risques du 30 juillet 2003 a prévu la mise en place, autour des établissements à haut risque (Seveso hauts), de comités locaux d’information et de concertation permettant aux élus, riverains, exploitants industriels, salariés et services de l’Etat d’échanger autour de la maîtrise du risque industriel, ainsi que la mise en œuvre de plans de prévention des risques technologiques pour maîtriser l’urbanisation future autour des sites industriels et résorber les situations difficiles héritées du passé. Un retard a été constaté dans la mise en œuvre de cette dernière démarche, du fait de la complexité des études que doivent réaliser les industriels, nécessaires à l’avancement des projets. Des difficultés d’appropriation de ces éléments par les associations et les élus a nécessité un long travail d’information et d’explication préalable à une réelle concertation.

Au 31 décembre 2007, 2 PPRT étaient approuvés et une quarantaine de PPRT devraient l’être en 2008. Les crédits utilisés en 2007 ont permis le fonctionnement des 277 CLIC en place, la réalisation de documents pédagogiques sur les risques et la réalisation de diverses études sur la maîtrise des risques industriels, à hauteur de 1 800 000 € en AE et 1 650 000 € en CP.

Qualité de l’air, rejets dans l’eau et lutte contre l’effet de serre :

Les crédits dépensés, s’élèvent à 1 650 000 € en AE et 1 200 000 € en CP. Ils ont permis la réalisation d’études relatives à la qualité de l’air et aux gaz à effet de serre, notamment en appui à la mise en œuvre de la directive établissant un marché de quotas de dioxyde de carbone dans l’Union européenne (élaboration du Plan National d’Affectation des Quotas – PNAQ) ou de celle établissant des plafonds d’émissions de polluants atmosphériques pour chaque Etat membre (900 000 € en AE et 450 000 € en CP). Ils ont également permis la maintenance de la base de données relative aux rejets polluants des installations industrielles et agricoles (GEREP), qui est accessible au public sur Internet et la traduction des BREF, documents de référence présentant les meilleures techniques disponibles pour différents secteurs et permettant de mettre en œuvre la directive dite « IPPC » sur le contrôle et la prévention intégrés des pollutions (750 000 € en AE et CP).



Sites et sols pollués :

Les services déconcentrés ont utilisé 150 000 € en AE et CP pour mettre en œuvre localement la politique nationale de prévention et de gestion des sites et sols pollués.



Contentieux :

Le règlement de plusieurs contentieux s’est traduit par une consommation de 1 160 000 € en AE et en CP.

Deux contentieux importants ont été imputés à la DPPR : la commune de Coubon et Godet frères. Le contentieux avec la commune de Coubon a entraîné la condamnation de l’Etat en réparation des préjudices résultant du défaut d’information au sujet d’un risque d’inondation sur son territoire. L’indemnité est partagée à moitié par la DGUHC. Concernant le contentieux Godet frères, il s’est agi d’indemniser le préjudice subi suite à la fermeture par décret de leurs chais sis à la Rochelle.

Dépenses support concourant à l’action :

Les éléments analytiques offerts par les outils de restitution ne permettent pas de ventiler de façon précise certaines de ces dépenses, pour un montant de 697 810 € en AE et de 592 066 € en CP.



2. Subventions pour charges de service public :

Remarque : Des erreurs d’imputation ont été recensées au niveau des catégories, de certaines sous-actions, ainsi que sur les actions de la direction de l’eau. La différence importante entre la consommation d’AE et la prévision résulte essentiellement de la procédure de désengagement des AE de l’ADEME antérieures à 2007 à hauteur de 32 388 981 € en AE.

Les montants totaux de crédits consommés sur la catégorie 3.2, corrigés du désengagement des crédits de l’ADEME et d’autres erreurs d’imputation, s’élèvent à 35 084 989 € en AE et de 39 884 893 € en CP.



Opérateurs :

Il a été attribué aux opérateurs ADEME, INERIS et AFSSET des subventions pour charges de service public pour un montant de 20 615 000€ en AE et 24 615 000 € en CP. Les éléments de justification figurent dans la partie « Opérateurs » du rapport annuel de performance.



Qualité de l’air :

Le Laboratoire Central de Surveillance de la Qualité de l’Air (LCSQA), GIS regroupant l’INERIS, le centre commun de recherche Ecole des Mines de Douai – ARMINES et le Laboratoire National d’Essais (LNE), a bénéficié d’un financement de 2 505 000 € en AE et en CP pour l’INERIS et 930 487 € pour ARMINES, en AE et en CP, pour la mise en œuvre d’un programme d’études et de recherche visant à maintenir un bon niveau de surveillance de la qualité de l’air et à assurer, notamment, l’étalonnage des capteurs. Le LNE n’étant pas un opérateur, les crédits qui lui ont été attribués relèvent de la catégorie « transfert aux entreprises ».

La dotation prévue pour les AASQA (associations agréées de surveillance de la qualité de l’air), financées par le MEDAD via les DRIRE, s’élève à 10 600 000 € en AE et en CP. Du fait de différentes erreurs d’imputation des services déconcentrés, les consommations réelles en catégorie 32 sont de 8 557 393 € en AE et de 9 217 297 € en CP.

Le centre interprofessionnel technique d’études sur la pollution atmosphérique (CITEPA) a été financé à hauteur de 1 027 109 € en AE et en CP, afin notamment d’assurer la réalisation des inventaires nationaux d’émissions requis par les réglementations internationales ou européennes.



Prévention et gestion des sites et sols pollués :

Les travaux liés à l’intégration, dans des bases de données, des informations issues de la surveillance des eaux souterraines réalisée par les exploitants d’installations classées se sont poursuivis, de même que l’élaboration des bases de données BASOL et BASIAS sur les sites potentiellement pollués. Une étude sur les établissements accueillant des populations sensibles (enfants) à proximité d’anciens sites industriels ou de services potentiellement pollués lancée fin 2006 a démarré. Dans ce cadre, le BRGM a bénéficié des financements suivants :

- conventions 2006 et 2007 dans le domaine de la pollution des sols : 1 110 000 € en AE et 350 000 € en CP ;

- bancarisation des données de surveillance des eaux souterraines : 250 000 € en CP ;

- étude sur les établissements accueillant des populations sensibles : 650 000 € en CP

Bruit :

Une subvention de 340 000 € en AE et en CP a été allouée au centre d’information et de documentation sur le bruit (CIDB).

dépenses d’investissement



Autorisations d’engagement

Crédits de paiement

Catégorie

Prévision LFI

Consommation

Prévision LFI

Consommation

Dépenses pour immobilisations corporelles de l’Etat




552 823




186 571

Dépenses pour immobilisations incorporelles de l’Etat

4 270 000

1 648 347

4 945 042

1 103 562

74 500 € d’AE proviennent d’une erreur d’imputation d’une DRIRE ayant effectué des dépenses sur l’action 3. Ce montant est donc à réaffecter sur l’action 1.

Les dépenses pour immobilisations corporelles de l’Etat concernent, d’une part, des investissements en matériel informatique et en matériel d’analyse pour les DDE, à hauteur de 147 342 € en AE et 32 384 € en CP, et, d’autre part, le financement de matériel de mesure pour les pôles de compétences « bruit », en DDASS, pour 405 481 € en AE et 154 187 € en CP dans le cadre, notamment, du soutien à l’action de contrôle des nuisances sonores.

En ce qui concerne les dépenses pour immobilisations incorporelles de l’Etat, le retard pris dans la mise en œuvre des plans de prévention des risques technologiques entraîne une sous-consommation des AE prévues en LFI sur le titre 5, Les engagements et mandatements, établis à hauteur de 1 648 347 € en AE et de 1 103 562 € en CP correspondent à la mise à jour du système d’information sur les installations classées en DRIRE (GIDIC) en vue de l’amélioration du suivi des établissements concernés et d’une meilleure gestion du système (113 469 € en AE et 224 722 € en CP), à la poursuite de l’inventaire national spatialisé des émissions de polluants et gaz à effet de serre (652 878 € en AE et 314 382 € en CP) et à l’acquisition de licences IGN d’utilisation de bases de données géographiques (882 000 € en AE et 564 458 € en CP).

dépenses d’intervention



Autorisations d’engagement

Crédits de paiement

Catégorie

Prévision LFI

Consommation

Prévision LFI

Consommation

Transferts aux ménages

950 000

374 109

1 150 000

490 081

Transferts aux entreprises




1 340 900




1 255 929

Transferts aux collectivités territoriales

3 250 000

-3 402 712

1 250 000

593 111

Transferts aux autres collectivités

412 000

2 262 970

1 112 000

1 974 847

Le montant des transferts aux ménages prévu concernait la mise en œuvre de moyens destinés à réduire les nuisances sonores (points noirs dus au bruit des réseaux routier et ferroviaire, réhabilitation d’établissements sensibles, etc.). En 2007, 374 109 € en AE et 490 081 € en CP ont été consacrés à la réduction des nuisances sonores.

Les transferts de crédits aux entreprises  correspondent, pour 975 380 € en AE et CP, à la subvention versée au LNE dans le cadre du laboratoire central de la surveillance et de la qualité de l’air. 200 000 € en AE et 100 000 € en CP ont été versés au CSTB dans le cadre de la création de l’observatoire de la qualité de l’air intérieur. 62 289 € d’AE et 70 137 € de CP ont été consacrés à des études dans le domaine du bruit et à des subventions ayant pour objet la mise en place de silencieux pour l’aviation légère. 103 231 € en AE et 110 412 € en CP ont été consommés par les DDAF et les DDE pour la lutte contre les points noirs dans le domaine du bruit.

Le montant négatif des autorisations d’engagement consommées sur la catégorie « Transferts aux collectivités territoriales » correspond, pour -3 681 010 €, à une reprise de crédits résultant d’une erreur d’imputation des responsables des BOP de bassin sur cette action en 2006. Des opérations dans le domaine de la prévention du bruit (acquisition de matériel sonométrique, notamment) ont été financées à hauteur de 278 298 € en AE et 593 111 € en CP.

En ce qui concerne le transfert aux autres collectivités, les montants consommés en AE intègrent une erreur d’imputation de 1 345 000 € en AE et en CP de 1 383 000 €, correspondant à une subvention pour charges de service public à une AASQA. De plus, 178 k€ en AE correspondent à une erreur d’imputation des responsables des BOP de bassin. Par ailleurs il faut rattacher à ces dépenses 333 000 € d’AE imputés par erreur par une DRIRE sur l’action 3.

Au total, les montants réellement consommés s’élèvent à 917 970 € en AE et 591 847 € en CP. Les dépenses correspondent à une subvention attribuée à l’AFNOR relative à la réalisation de travaux de normalisation dans le domaine de l’environnement de 256 857 € en AE et CP, à différentes actions dans les domaines de la prévention du bruit (76 517 en AE et 100 658 en CP) et des plans de prévention des risques technologiques (584 596 € en AE et 234 332 € en CP).





action n° 02 : Prévention des risques naturels












Prévision LFI

Réalisation

(y.c. FDC et ADP)

Titre 2

Autres titres

Total

Titre 2

Autres titres

Total

Autorisations d’engagement




11 027 453

11 027 453




16 435 455

16 435 455

Crédits de paiement




29 357 453

29 357 453




20 496 386

20 496 386



éléments de la dépense par nature







dépenses de fonctionnement





Autorisations d’engagement

Crédits de paiement

Catégorie

Prévision LFI

Consommation

Prévision LFI

Consommation

Dépenses de fonctionnement autres que celles de personnel

5 929 453

5 550 365

4 984 453

5 458 293

Subventions pour charges de service public

2 305 000

2 015 456

1 957 000

3 968 133



1. Dépenses de fonctionnement autres que celles de personnel :

Le montant de ces dépenses correspond pour 44 924 € en AE et 81 640 € en CP à une imputation erronée de dépenses par les responsables des BOP de bassin sur cette action. La consommation réelle s’élève donc à 5 505 441 € en AE et à 5 337 372 € en CP.

1 903 949 € en AE et 1 364 326 € en CP ont été consacrés à des opérations nationales dans le domaine de la connaissance, de la surveillance et de l’information préventive sur les risques naturels et dans celui de la réglementation et de la planification des risques naturels. Parmi les actions significatives engagées par la DPPR, on peut noter l’organisation d’un séminaire de valorisation des productions du réseau risques (qui rassemble les services de l’Etat intervenant dans la prévention des risques) et d’un séminaire sur « changement climatique et prévention des risques sur le littoral » (59.525 € en AE/CP), l’édition de brochures et guides méthodologiques à destination des services, des élus et des habitants dans le cadre d’un marché d’édition (200.000 € en AE), la poursuite de la mise en ligne des informations relatives aux risques (programme « CARTORISQUES » pour 378.600 € en AE et 264 290 € en CP, site internet PRIM.NET pour 103.470 € en AE et 16 663 € en CP). Le financement des actions réalisées dans les TOM est également imputé sur ces crédits, et en 2007 a été financée la mise à jour de l’atlas des risques de Mayotte (140.080 € en AE et 170 080 € en CP). Le solde, pour 1 022 274 € en AE et 853 768 € en CP, concerne 28 autres actions engagées, très diverses : l’achat d’ouvrages, la diffusion au grand public d’outils pédagogiques, la réalisation d’une plaquette tsunami en Polynésie, le recours à un collège d’experts, pour le suivi du site de Séchilienne, une étude méthodologique sur la vulnérabilité aux séismes des écoles primaires de Martinique, diverses subventions à des associations, etc.

3 601 492 € en AE et 2 813 503 € en CP correspondent aux dépenses relevant des plans de prévention des risques naturels et de l’information préventive, réalisées par les services déconcentrés. Ces financements ont été complétés à hauteur de 9.541.206 € par des crédits du fonds de prévention des risques naturels majeurs (FPRNM), conformément aux dispositions de l’article 136 de la loi de finances pour 2006, selon lesquelles le fonds prend en charge les trois quarts de la dépense dans la limite de 16 M€ par an.

En 2007, ont ainsi notamment pu être financés la poursuite du programme d’élaboration des PPRN (511 PPRN ont été approuvés en 2007), des actions d’information préventive du public avec, en particulier, la réalisation des dossiers départementaux sur les risques majeurs, la mise à disposition du grand public de divers documents, dans le cadre du dispositif d’information des acquéreurs et des locataires, la mise en ligne de documents cartographiques sur les risques (atlas de zones inondables, plan de prévention des risques approuvé), diverses actions de formation des scolaires.

Les crédits de paiement correspondent, à hauteur de 1.159.544 €, au règlement de dettes antérieures.



2. Subventions pour charges de service public :

Les subventions pour charges de service public concernent, pour 2 015 456 € en AE et 3 968 133 € en CP, le financement du BRGM, de l’INERIS et d’autres opérateurs non principaux pour leurs actions dans le domaine de la connaissance des risques majeurs (cartographie des sols argileux, scénarios du risque d’effondrement des cavités souterraines, cartographie de l’aléa sismique, mise à jour des bases de données en ligne, etc.).

Les crédits de paiement correspondent, à hauteur de 1 120 264 € au règlement de dettes antérieures.

dépenses d’investissement





Autorisations d’engagement

Crédits de paiement

Catégorie

Prévision LFI

Consommation

Prévision LFI

Consommation

Dépenses pour immobilisations corporelles de l’Etat




3 920 658




316 236

Dépenses pour immobilisations incorporelles de l’Etat




146 845




15 000

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