Journalisme et litterature notes



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Deux autres documents importants:

La Lettre ouverte à M. Paul Claudel e le Banquet de Saint-Pol-Roux.


Il 2 luglio 1925, Breton pubblica su un volantino scritto in nero su sfondo rosso una feroce lettera aperta a Paul Claudel, ambasciatore di Francia in Giappone, firmata dal gruppo surrealista al completo. Nel testo il diplomatico è ingiuriato perché si era permesso di “qualifier leur activité de pédérastique” in un’intervista rilasciata a un giornale, « Comœdia ». Breton e compagni non solo attaccano in modo forte e diretto Claudel, ma colgono l’occasione per dare voce ad alcune idee già radicate nel gruppo: il sostegno alle insurrezioni coloniali, sostegno che tanto fa indignare i nazionalisti francesi:
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Nous souhaitons de toutes nos forces que les révolutions, les guerres et les insurrections coloniales viennent anéantir cette civilisation occidentale dont vous défendez jusqu’en Orient la vermine et nous appelons cette destruction comme l’état de choses le moins inacceptable pour l’esprit.


Essi colgono inoltre l’occasione della pubblicazione della lettera per rifiutare pubblicamente tutto ciò che è francese. Nel contempo il tradimento alla propria patria, ma anche a tutta la tradizione classica e religiosa, è considerato possedere in sé più poesia di qualunque altra azione compiuta a loro favore:
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Nous saisissons cette occasion pour nous désolidariser publiquement de tout ce qui est français, en paroles et en actions. Nous déclarons trouver la trahison et tout ce qui, d’une façon ou d’une autre, peut nuire à la sûreté de l’Etat beaucoup plus conciliable avec la poésie que la vente de « grosses quantités de lard » pour le compte d’une nation de porcs et de chiens. C’est une singulière méconnaissance des facultés propres et des possibilités de l’esprit qui fait périodiquement rechercher leur salut à des goujats de votre espèce dans une tradition catholique ou gréco-romaine. Le salut pour nous n’est nulle part. Nous tenons Rimbaud pour un homme qui a désespéré de son salut et dont l’œuvre et la vie sont de purs témoignages de perdition. Catholicisme, classicisme gréco-romain, nous vous abandonnons à vos bondieuseries infâmes.


La conclusione è affilata e spudorata, l’attacco è diretto a coloro che ancora restano aggrappati alle convenzioni, al rispetto e all’onore, che si crogiolano nella propria condizione di prestigio sociale e culturale, innalzandosi al di sopra dei propri concittadini:

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Qu’elles vous profitent de toutes manières ; engraissez encore, crevez sous l’admiration et le respect de vos concitoyens. Ecrivez, priez et bavez ; nous réclamons le déshonneur de vous avoir traité une fois pour toutes de cuistre et de canaille.


Lo stesso giorno della pubblicazione della lettera indirizzata a Claudel i surrealisti partecipano a un banchetto dedicato a un poeta che Breton apprezza molto, Saint-Pol-Roux (Paul-Pierre Roux, dit Saint-Pol-Roux, né à Marseille dans le quartier de Saint-Henri le 15 janvier 1861 et mort à Brest le 18 octobre 1940, est un poète symboliste français: les membres du mouvement surréaliste le considèrent comme un prédécesseur. André Breton avait publié son "Hommage à Saint-Pol-Roux" le 9 mai 1925 dans Les Nouvelles Littéraires, où il revendiquait Saint-Pol-Roux comme “le seul authentique précurseur du mouvement dit moderne). Il banchetto ha luogo alla Closerie des Lilas, noto locale in cui gli artisti del tempo hanno l’abitudine di incontrarsi, situato nel quartiere di Montparnasse (diventerà il quartier generale, non a caso, anche della neo-avanguardia di Tel Quel, e resta oggi il luogo in cui il fondatore del gruppo, Philippe Sollers, ama ricevere amici scrittori e artisti).

Sotto tutti i coperti degli invitati i surrealisti ripongono una copia della lettera pubblicata la mattina e, dopo averne presa visione, la discussione tra i presenti si fa rapidamente accesa e violenta:
« Consternation, propos aigres, injures, pluie de coups; la foule des badauds, assemblée sur le boulevard du Montparnasse s’en mêle et Michel Leiris, qui profère des cris séditieux, manque de peu d’être lynché.  Le sage de Camaret [Saint-Pol-Roux] raconte Maurice Nadeau, tel le pilote sur un navire en perdition au plus fort de la tempête, navré de ces incidents, veut ramener le calme. Ses paroles d’apaisement ne sont pas entendues par ses amis officiels. L’occasion est trop bonne de réduire à néant ces « provocateurs  surréalistes ». Et comme on n’en peut venir à bout, on a recours aux défenseurs naturels de la poésie bafouée : les policiers, à qui on désigne ceux qu’il doivent passer à tabac.

(tiré de Claude Abastado, Introduction au Surréalisme, Paris, Bordas, 1971, p. 43)


Al convivio è presente Mme Rachilde, figlia di un militare e sostenitrice degli ideali nazionalisti. Si tratta di una celebre « femme de lettres », particolarmente maltrattata in questa occasione dai surrealisti, avendo affermato che una Francese non poteva sposare un Tedesco. I surrealisti approfittarono del pretesto per denunciare ogni forma di manifestazione nazionalista.
Gli spiriti infuocati dei convitati aprono dunque il dibattito a numerose questioni politico-sociali:

– vengono discusse le relazioni attuali tra Francesi e Tedeschi;

– si analizzano alcuni episodi della guerra;

– si dibatte a proposito del nazionalismo.


Gli animi via via si scaldano al punto da degenerare in aperta violenza; la polizia, chiamata a intervenire, arresta alcuni convitati.
Gli incidenti di questo banchetto mostrano una volta di più le posizioni politiche surrealiste che cercano ancora la via giusta per definirsi : Breton e compagni seguono la strada della rivoluzione, del cambiamento attivo all’interno della società. Al contempo però ambiscono alla pace, alla libertà dei popoli, all’eliminazione del nazionalismo.

Essi vogliono trovare una voce possente e decisa che possa risuonare nel panorama internazionale. È l’inizio di una nuova stagione del movimento il quale va cercando un nuovo posto nel mondo.

Depuis plus de vingt ans, l’éditeur Jean-Michel Place exhume des documents surréalistes d’une grande valeur : leurs revues. Confectionnées dans la tourmente de l’après-grande guerre, elles ont conservé leur virulence.

Entretien (à lire comme témoignage)
Quelle importance ont-eu les revues surréalistes ?

Les revues ont été, à des moments clés de l’histoire, des agents de bouleversement. Elles ont été de fabuleux lieux de rencontres, d’amitiés, littéraires ou artististiques, en rupture avec la société. La revue a quelque chose d’essentiel, elle porte la vie en elle. Oeuvre de plusieurs personnes, dont les idées s’entrechoquent parfois, elle vit sur plusieurs numéros, avec toutes les engueulades et les retrouvailles qu’on imagine.



Comment êtes-vous arrivé à vous spécialiser dans les revues ?

Mon activité a d’abord été fondée sur la recherche et la conservation bibliographiques des revues du XIXème et du début du XXème. Une fois leur histoire et leur substance décrites, j’ai eu l’idée dans les années 70 de rééditer ces revues, notamment celles issues du surréalisme comme Littérature, La Révolution surréaliste, Le Surréalisme au service de la révolution. En 1975, la réédition des douze numéros de La Révolution surréaliste s’est vendue à 6000 exemplaires en six semaines, ce qui était absolument colossal. Aujourd’hui, il s’en vend 2-300 par an...

Les revues contemporaines paraissent sages en regard de ce que les Surréalistes publiaient...

On a besoin de refaire le monde à des moments stratégiques. Dada est né des massacres, de Verdun : il remettait en cause la vie. Le surréalisme est né lui aussi de 14-18 et de profonds bouleversements sociaux. Bien sûr, on peut trouver actuellement des lieux où cette violence pourrait s’exprimer artistiquement mais elle ne le fait pas forcément dans la dérision. L’enjeu des Surréalistes était de dire que seule la dérision pouvait permettre de sortir de la folie du monde. Aujourd’hui, je ne crois pas que la dérision puisse sortir de la guerre en Yougoslavie : l’accélération de l’information et la banalisation de la violence nous en empêchent. Les photos de massacres, qu’on peut voir dans certaines revues surréalistes, sont devenues monnaie courante. Elles choquent moins aujourd’hui. Ça va plus loin : la dérision elle-même s’est banalisée. La dérision perd de son interêt puisque tout est traité sur le même mode... dérisoire.


Pensez-vous que les Surréalistes auraient apprécié que leurs revues soient rééditées 60 ans après ?

Ça a été un débat à l’époque, lancé notamment par ceux qui n’ont pas osé les rééditer, soit par peur du risque, soit par retenue (« est-ce qu’on a droit de toucher à ça ? »). Dans un entretien, Breton aurait été interrogé sur cette question. Il aurait répondu « allez vous f... ». Mais ça ne signifie pas grand chose. Les avis sont partagés. Le génie des Surréalistes a aussi été d’avoir des actions brèves, douze numéros de La Révolution surréaliste, six pour Le Surréalisme au service de la révolution, etc. Dès qu’ils en avaient fini avec leurs propos, ils passaient à autre chose. Au final, leurs différentes revues en forment une grande, riche en rebondissements, engueulades et rabibochages.



De tous les documents que vous avez publiés, desquels êtes-vous le plus fier ?

Compte tenu du travail que font les éditeurs en général, j’aurais tendance à dire qu’il n’y a pas un livre que j’ai sorti dont je ne sois pas content. Mes livres sont une cellule d’un tissu, chacun d’eux répond à l’autre. Passé cette réflexion, je parlerai des bouquins sur Jacques Vaché, et surtout de L’imprononçable jour de sa mort. C’est ce que nous pouvons faire de mieux ici : le sujet, son origine, la manière de le traiter, le texte, la mise en page. C’est complètement fou. On y trouve le duplicata d’une lettre-collage que Breton envoie à Vaché. La lettre part, Vaché vivant ; quand elle arrive, il est mort. Le livre est né de la découverte de cette lettre. Il a fallu retrouver l’origine de chaque morceau avec l’écriture de Breton et essayer de trouver le message. Quarante trois morceaux. Regardez ça : « en mémoire de Jacques Vaché mort pour la France »! C’est fabuleux, la prémonition qu’il y a dans tout ça. Si il y en a un que j’aime particulièrement, c’est évidemment celui-là.



Appel contre la guerre du Rif

Lo stesso giorno del banquet de Saint-Pol-Roux, sulla rivista di ispirazione comunista L’Humanité, appare un appello contro la guerra del Rif lanciato da Henri Barbusse ai lavoratori e agli intellettuali.

La guerre du Rif : si tratta di un conflitto coloniale che contrapponeva dal 1921 le tribù del Rif, una catena montuosa del Nord del Marocco, all’esercito spagnolo, colonizzatori del luogo. I Rifani, i ribelli marocchini, guidati dal loro capo Abdelkrim, hanno l’ambizioso progetto di ottenere l’indipendenza.

Le azioni di guerriglia si erano moltiplicate fino alla fine del 1924, anno in cui la Francia aveva deciso di intervenire al fianco degli Spagnoli al fine di evitare il prolungarsi delle tensioni nella zona e la possibile diffusione dello spirito rifano ai gruppi vicini.

L’attacco si era subito rivelato efficace decretando, nell’autunno del 1925, la vittoria degli Europei, i quali si impongono sugli abitanti locali, grazie anche all’impiego di alcune armi chimiche.

L’articolo del 2 luglio fa parte di una vigorosa campagna di protesta contro l’azione francese in Marocco, campagne menée par le Partito Comunista Francese al quale Barbusse appartiene. I comunisti combattono una battaglia politica solitaria e isolata, ma il testo viene firmato da numerosi intellettuali dell’epoca, i quali aspirano anch’essi alla pace e sostengono la causa rifana.

L’appello vuole mostrare l’impopolarità della guerra in Marocco, punta a spronare le coscienze dei Francesi e a saldare le relazioni tra intellettuali e operai.

Il 4 e il 5 luglio a Parigi è in programma il Congrès des Ouvriers, Employés et Paysans de la Région Parisienne ; all’ordine del giorno, oltre alla discussione su diversi temi sociali, vi è anche la questione del conflitto marocchino.

L’appel comincia con una domanda retorica e con il rapporto preciso, giornalistico, dei fatti che si stanno producendo in Africa. Vi è inoltre un appello alla presa di posizione, all’importanza di esprimere la propria opinione sul ripetersi di una serie di violenze che già in passato hanno sconquassato l’umanità. Ora che esse si ripropongono nella loro veste coloniale, lasciando intravedere anche delle conseguenze nei futuri rapporti tra popoli, è necessario prendere posizione e opporsi:
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Oui ou non condamnez-vous la guerre ?

Les tragiques événements du Maroc mettent en demeure les écrivains, les "travailleurs intellectuels", tous ceux qui, par quelque point ou à quelque degré exercent une influence sur l'opinion et jouent par là un rôle public, de juger ce qui se passe en ce moment en Afrique ; de dire si oui ou non ils sont d'accord avec des iniquités politiques dont la trame est trop visible ; si oui ou non il leur suffit d'émettre contre la sanglante réalité, quelques béats regrets humanitaires. Les faits sont là.

Contre la guerre du Maroc, cette nouvelle grande guerre qui se déploie et s'allonge sept ans après le massacre de six-sept cent mille Français et de dix millions d'hommes dans le monde, nous sommes quelques-uns qui élevons hautement notre protestation.

Nous avons trop médité l'expérience de l'histoire et surtout l'histoire des guerres coloniales, pour ne pas dénoncer l'origine impérialiste, ainsi que les conséquences internationales probables de cette guerre. Émus et révoltés par les atrocités commises de part et d'autre sur le front de l'Ouergha, nous constatons qu'elles sont inhérentes à toutes les guerres, et que c'est la guerre qu'il faut déshonorer.

Nous protestons contre le nouveau régime de censure établi depuis le commencement des hostilités dans l'intention de cacher des vérités que le pays a besoin de connaître.



Appel contre la guerre du Rif, « L’Humanité », Paris, 2 juillet 1925

L’articolo si conclude proprio con un appello alla Società delle Nazioni (quella che diventerà l’ONU): l’autore domanda che quest’ultima giustifichi la propria esistenza con un intervento deciso ed efficace a favore della pace nei territori del Rif.

Accanto al nome di Henri Barbusse, in fondo al testo appaiono numerose firme di intellettuali del tempo e tra queste quelle di Louis Aragon, André Breton, Jacques-André René Crevel, Robert Desnos, Paul Eluard, Michel Leiris, Bénjamin Peret, Paul Soupault, Robert Vitrac, tutti appartenenti al gruppo surrealista.

Nel mese di ottobre del 1925, Breton e compagni pubblicano sulla rivista La Révolution surréaliste , “La révolution d’abord et toujours!”, un articolo che esplicita le idee politiche del gruppo e che dimostra la sete di cambiamento dei suoi membri.

È un testo che ottiene un successo immenso e immediato, facendo discutere l’intero ambiente culturale parigino e attirando numerose critiche.

Esso inizia con una dura condanna alla guerra e, sebbene il riferimento diretto sia al conflitto in Marocco, essa si traduce in una severa riprovazione nei confronti della violenza e delle sue disastrose conseguenze:

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Le monde est un entre-croisement de conflits qui, aux yeux de tout homme un peu averti, dépassent le cadre d’un simple débat politique ou social. Notre époque manque singulièrement de voyants. Mais il est impossible à qui n’est pas dépourvu de toute perspicacité de n’être pas tenté de supputer les conséquences humaines d’un état de choses absolument bouleversant.



Plus loin que le réveil de l’amour-propre de peuples longtemps asservis et qui sembleraient ne pas désirer autre chose que de reconquérir leur indépendance, ou que le conflit inapaisable des revendications ouvrières et sociales au sein des États qui tiennent encore en Europe, nous croyons à la fatalité d’une délivrance totale. Sous les coups de plus en plus durs qui lui sont assénés, il faudra bien que l’homme finisse par changer ses rapports.

octobre 1925, “La révolution d’abord et toujours!”, La Révolution surréaliste


L’articolo segue con una dichiarazione di assoluta presa di distanza da ogni tipo di guerra, di nazionalismo, di violenza interessata a raccogliere dei frutti grazie al conflitto. Il concetto di Patria è abbassato a un’idea bestiale, brutale, lontana da ogni tipo di caratteristica umana:
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Bien conscients de la nature des forces qui troublent actuellement le monde, nous voulons, avant même de nous compter et de nous mettre à l’œuvre, proclamer notre détachement absolu, et en quelque sorte notre purification, des idées qui sont à la base de la civilisation européenne encore toute proche et même de toute civilisation basée sur les insupportables principes de nécessité et de devoir.

Plus encore que le patriotisme qui est une hystérie comme une autre, mais plus creuse et plus mortelle qu’une autre, ce qui nous répugne c’est l’idée de Patrie qui est vraiment le concept le plus bestial, le moins philosophique dans lequel on essaie de faire entrer notre esprit.

Ibid.

I surrealisti proseguono dichiarando nuovamente il disgusto per la civiltà occidentale, definita barbare e il testo termina con l’enucleazione di cinque principi, provocatori e accusatori, che mirano a denunciare coloro che esaltano la patria e la guerra in nome di alti valori morali, et con un appello al disarmo immediato in nome di una rivolta, di una rivoluzione individuale e sociale che possa cambiare per sempre il volto dell’umanità:


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1° Le magnifique exemple d’un désarmement immédiat, intégral et sans contre-partie qui a été donné au monde en 1917 par Lénine à Brest-Litovsk, désarmement dont la valeur révolutionnaire est infinie, nous ne croyons pas votre France capable de le suivre jamais.

2° En tant que, pour la plupart, mobilisables et destinés officiellement à revêtir l’abjecte capote bleu-horizon, nous repoussons énergiquement et de toutes manières pour l’avenir l’idée d’un assujettissement de cet ordre, étant donné que pour nous la France n’existe pas.

3° Il va sans dire que, dans ces conditions, nous approuvons pleinement et contresignons le manifeste lancé par le Comité d’action contre la guerre du Maroc, et cela d’autant plus que ses auteurs sont sous le coup de poursuites judiciaires.

4° Prêtres, médecins, professeurs, littérateurs, poètes, philosophes, journalistes, juges avocats, policiers, académiciens de toutes sortes, vous tous, signataires de ce papier imbécile : “Les intellectuels aux côtés de la Patrie”, nous vous dénoncerons et vous confondrons en toute occasion. Chiens dressés à bien profiter de la Patrie, la seule pensée de cet os à ronger vous anime.

5° Nous sommes la révolte de l’esprit ; nous considérons la Révolution sanglante comme la vengeance inéluctable de l’esprit humilié par vos œuvres. Nous ne sommes pas des utopistes : cette Révolution nous ne la concevons que sous sa forme sociale. S’il existe quelque part des hommes qui aient vu se dresser contre eux une coalition telle qu’il n’y ait personne qui ne les réprouve (traîtres à tout ce qui n’est pas la liberté, insoumis de toutes sortes, prisonniers de droit commun), qu’ils n’oublient pas que l’idée de Révolution est la sauvegarde la meilleure et la plus efficace de l’individu.

Nel 1927 Breton, Eluard e Aragon aderiscono al PCF.

Tale accordo avrà vita breve, tra i due gruppi vi è una netta contrapposizione ideologica che impedirà un sano e proficuo confronto: i surrealisti non potevano rinunciare alle esperienze della vita interiore, all’idea di inconscio ecc. E a quell’epoca i comunisti dottrinari condannavano il freudismo come una “dottrina pericolosamente idealista”, incompatibile con il materialismo storico. Consideravano i conflitti della personalità come dei falsi problemi, il cui unico scopo era quello di mascherare la necessità dell’azione sociale. Per loro, la dittatura del proletariato, poi il passaggio alla società comunista, avrebbero risolto qualunque problema di ordine etico e psichico.


Oltre al contrasto sull’importanza dello studio della psiche umana, vi sono altri punti che creeranno un divario incolmabile tra surrealismo e comunismo : Breton rifiuta di consacrare la letteratura e l’arte alla propaganda, egli nega l’esistenza di una letteratura proletaria e attacca il realismo artistico e letterario qui domine in URSS.

Inoltre egli considera il lavoro come l’obbligo più degradante e avvilente per un essere umano, opponendosi così all’esaltazione della produzione, alla celebrazione dell’uomo stakanovista elogiate da Stalin.

Le forti divergenze spiegano perché l’alleanza tra i due gruppi sia stata così breve e complicata:

Il fatto è, in effetti, che Breton era arrivato all’idea di rivoluzione non attraverso una riflessione sulla storia o una meditazione sulle opere di Marx, ma in maniera passionale. Il suo pensiero si era nutrito piuttosto della lettura di scrittori, come Rimbaud, Lautréamont, Sade…


Ne visitez pas l’exposition coloniale

Nel 1931 a Parigi è organizzata un’esposizione coloniale avente per scopo di permettere ai visitatori di conoscere e apprezzare la grandezza della Francia e di poter fare le tour du monde en un jour come cita lo slogan pubblicitario. In poco più di sei mesi la mostra attira otto milioni di visitatori, accorsi da tutta Europa per assistere a quello che viene considerato un grande spettacolo, un’attrattiva che conduce alla scoperta dell’Africa, dell’Indocina, della Siria e del Libano, laddove i Francesi possiedono le colonie più belle e ricche. L’Exposition de Vincennes risponde a una logica di propaganda, portata avanti da giornali, cartoline, manuali scolastici…, il cui scopo è quello di dimostrare la superiorità dell’uomo bianco e le motivazioni che legittimano la colonializzazione. L’Exposition ad esempio mette in scena dei neri in villaggi indigeni ricostruiti, con accompagnamento di pannelli che oppongono barbarie e civiltà, libertà e schiavitù, religione e feticismo, e che propongono discorsi inneggianti ai pregi e ai meriti del colonialismo.


Il clima è entusiasta, incuriosito, soddisfatto; soltanto poche voci discordanti si alzano contro la propaganda coloniale, tra queste quelle dei comunisti e di alcuni studenti, e quelle dei surrealisti.

Come già in occasione della guerra del Rif, e come faranno in seguito quando la decolonizzazione diventerà un fatto di cronaca diffuso e complesso, Breton e compagni si mettono dalla parte dei colonizzati, aspirando a difendere le vittime degli abusi francesi.

Essi fanno stampare un volantino su cui pubblicano il loro sdegno e la loro accusa nei confronti delle violenze perpetrate dall’uomo bianco; le attività occidentali nei luoghi colonizzati vengono denigrate e aspramente criticate, attaccando l’ipocrisia dei colonizzatori che nascondono i propri crimini dietro alla maschera di portatori di benessere e di progresso.
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L'idée du brigandage colonial (le mot était brillant et à peine assez fort), cette idée, qui date du XIXe siècle, est de celles qui n'ont pas fait leur chemin. On s'est servi de l'argent qu'on avait en trop pour envoyer en Afrique, en Asie, des navires, des pelles, des pioches, grâce auxquels il y a enfin, là-bas, de quoi travailler pour un salaire et cet argent, on le représente volontiers comme un don fait aux indigènes. Il est donc naturel, prétend-on, que le travail de ces millions de nouveaux esclaves nous ait donné les monceaux d'or qui sont en réserve dans les caves de la Banque de France. Mais que le travail forcé - ou libre - préside à cet échange monstrueux, que des hommes dont les mœurs, ce que nous essayons d'en apprendre à travers des témoignages rarement désintéressés, des hommes qu'il est permis de tenir pour moins pervertis que nous et c'est peu dire, peut-être pour éclairés comme nous ne le sommes plus sur les fins véritables de l'espèce humaine, du savoir, de l'amour et du bonheur humains, que ces hommes dont nous distingue ne serait-ce que notre qualité de blancs, nous qui disons hommes de couleur, nous hommes sans couleur, aient été tenus, par la seule puissance de la métallurgie européenne, en 1914, de se faire crever la peau pour un très bas monument funéraire collectif - c'était d'ailleurs, si nous ne nous trompons pas, une idée française, cela répondait à un calcul français - voilà qui nous permet d'inaugurer, nous aussi, à notre manière, l'Exposition Coloniale, et de tenir tous les zélateurs de cette entreprise pour des rapaces.

Tract, Ne visitez pas l’Exposition coloniale, 1931

I surrealisti proseguono denunciando la pretesa giustificazione morale che le coscienze europee vorrebbero darsi di fronte alle azioni violente, spesso belligeranti, che vengono compiute nelle colonie. È un modo di pensare, definito borghese da Breton e compagni, che sembrerebbe rispondere alla necessità di costruire una grande Francia, un impero forte e compatto, celando il prezzo e i metodi che hanno condotto al risultato sperato. Essi tengono a dimostrare che l’Exposition è il simbolo di un massacro organizzato e che la Francia è un oppressore.


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Le dogme de l'intégrité du territoire national, invoqué pour donner à ces massacres une justification morale, est basé sur un jeu de mots insuffisant pour faire oublier qu'il n'est pas de semaine où l'on ne tue, aux colonies. La présence sur l'estrade inaugurale de l'Exposition Coloniale du Président de la République, de l'Empereur d'Annam, du Cardinal Archevêque de Paris et de plusieurs gouverneurs et soudards, en face du pavillon des missionnaires, de ceux de Citroën et Renault, exprime clairement la complicité de la bourgeoisie tout entière dans la naissance d'un concept nouveau et particulièrement intolérable : la « Grande France ». […] Il s'agit de donner aux citoyens de la métropole la conscience de propriétaires qu'il leur faudra pour entendre sans broncher l'écho des fusillades lointaines.



Ibid.
Il testo si conclude poi con la richiesta di una decisa presa di posizione, da parte di tutto il popolo, affinché le colonie vengano immediatamente liberate dal piede degli oppressori occidentali.
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A propos, on n'a pas oublié la belle affiche de recrutement de l'armée coloniale : une vie facile, des négresses à gros nénés, le sous-officier très élégant dans son complet de toile se promène en pousse-pousse, traîné par l'homme du pays - l'aventure, l'avancement. […] Aux discours et aux exécutions capitales, répondez en exigeant l'évacuation immédiate des colonies et la mise en accusation des généraux et des fonctionnaires responsables des massacres d'Annam, du Liban, du Maroc et de l'Afrique centrale.



Ibid.
Nel luglio dello stesso anno i surréalisti pubblicano un secondo volantino, Premier bilan de l’exposition coloniale, e organizzano una contre-exposition a partire da alcune collezioni private di sculture dell’America e dell’Oceania, di oggetti e monili primitivi, ma anche di documenti di aperta denuncia dell’azione coloniale.

La contre-exposition vuole riassumere la reale situazione coloniale e screditare la mistification orchestrée par les nazionalisti. I surrealisti denunciano il lavoro coloniale, il facile patriottismo, il militarismo e la religione che sostiene, spesso con forza, l’azione coloniale.


Altro testo che segna l’inizio del distacco dai comunisti : La mobilisation contre la guerre n’est pas la paix.

Il 1929 aveva segnato una svolta decisa e profonda nel panorama economico mondiale : le ripercussioni della crisi economica annientano definitivamente le speranze traballanti di poter costruire un futuro migliore. Nuove minacce si profilavano in Europa, il Fascismo in Italia, il Nazismo in Germania, mentre in Unione Sovietica Stalin aveva definitivamente sconfitto Trotskij e aveva imposto la sua dittatura.

Le guerre che tormentano il mondo in questi anni servono da laboratorio per testare le nuove armi studiate e per mettere in campo le innovazioni apportate alle tattiche belliche. Le guerre civili in Cina e in Spagna per esempio.

Nel 1933 il Partito Comunista Francese organizza un congresso internazionale contro la guerra, il Congrès d’Amsterdam-Pleyel, promosso soprattutto da Henri Barbusse e Romain Rolland. I surrealisti vi partecipano, ma essi denunciano l’idea di un pacifismo incondizionato: è lo spunto per un testo, pubblicato su un volantino, che mette in evidenza la posizione di Breton e compagni nei confronti della guerra:


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Prières à la vache pour obtenir la paix, pleurnicheries idiotes sur la misère, voilà où nous en sommes et voilà où nous ne permettrons pas qu’on reste.

NOUS ADHERONS AU CONGRES INTERNATIONAL CONTRE LA GUERRE ET DEMANDONS A Y ETRE REPRESENTES.

Et si nous y adhérons, en dépit des réserves très graves que nous avons cru devoir formuler quant aux personnalités de Barbusse et Rolland, c’est que nous faisons, comme nous n’avons jamais cessé de faire, toute confiance aux masses et aux organisations ouvrières révolutionnaires qui doivent y prendre part pour avoir raison du confusionnisme des intellectuels auxiliaires de leurs oppresseurs.

Tract, La mobilisation contre la guerre n’est pas la paix, 1933

I surrealisti lamentano la debolezza della voce che richiede la pace, che si fa così complice dello sviluppo dell’imperialismo e dell’oppressione borghese, e mettono in evidenza le contraddizioni che attraversano l’idea di pacifismo. Breton e compagni mostrano dunque in modo chiaro e altisonante la loro posizione nei confronti dell’illusione del pacifismo e della presenza strisciante della guerra in ogni contesto:


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Il n’est rien de plus fallacieux que l’opposition du terme de paix au terme de guerre, en régime capitaliste. Il nous paraît impossible de justifier, sinon d’une manière toute relative, le mot d’ordre de paix mis en avant par les organisateurs du Congrès de Genève, à une époque où l’impérialisme multiplie de tous côtés ses exactions. Tout au moins importe-t-il de dégager un tel mot d’ordre des illusions déplorables qu’il ne peut manquer de faire naître et contre lesquelles s’inscrivent, avec un relief croissant les événements symptomatiques dont la scène mondiale est le théâtre : bien plutôt que de voler au secours d’une passivité déjà trop grande par l’évocation des « atrocités » soi-disant inhérentes à la guerre, convient-il d’attirer l’attention et la colère du prolétariat sur les crimes journaliers dont le capitalisme se rend coupable.



Ibid.
Manifestare conto gli oppressori è pericoloso in tempo di guerra come nei periodi di pace, ma è necessario, scrivono i surrealisti, denunciare i crimini di coloro che continuano a perpetrare azioni dispotiche e brutali, nascondendosi dietro una maschera di ipocrisia o dietro al potere conquistato con la forza.

Occorre capire, e le autorità di Ginevra in particolare lo devono fare, che la guerra è in qualche modo presente ogni giorno, anche nella quotidianità del tempo di pace; è necessario quindi agire, denunciare, prendere posizione e farlo senza arbitrarietà né mezzi violenti. Per sottolineare meglio tale aspetto i surrealisti citano a esempio la rivolta avvenuta su due incrociatori peruviani: i ribelli che hanno osato esporsi contro il potere dittatoriale dei loro comandanti hanno dovuto subirne le dure conseguenze: senza affrontare alcun processo, ma soprattutto senza che l’opinione pubblica se ne preoccupasse, alcuni sono stati condannati a morte, altri imprigionati arbitrariamente:


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Dans la paix comme dans la guerre, les risques sont identiques pour ceux qui se soulèvent contre leurs oppresseurs. Nous pensons particulièrement ici à l’abominable sentence qui vient de frapper les marins des croiseurs péruviens Almirante Grau et Coronel Bolognesi qui se révoltèrent le 8 mai dernier pour protester contre la mauvaise nourriture et les excès de la discipline : huit condamnés à mort exécutés sur l’heure, quatorze condamnés à 15 ans de prison, douze à 10 ans de la même peine par la Cours martiale du dictateur Sanchez Cerro qui avait pour la circonstance rétabli la peine de mort. Nous élevons avec indignation contre cette vengeance de lâches et comptons sur les organisations révolutionnaires du prolétariat international pour qu’elles mènent contre ses auteurs l’action qui s’impose. C’est sur la dénonciation de tels crimes et leur explication rationnelle par les contradictions dans lesquelles le capitalisme se débat que nous entendons que soit porté l’accent de l’intervention à laquelle, à Genève, les masses ouvrières sont conviées.



Ibid.

Il manifesto, firmato da Breton, Caillois, Char, Crevel, Eluard, Péret, e altri surrealisti si chiude su un tono provocatorio e polemico: sostenere l’ideale della pace dichiarando guerra alla guerra è una contraddizione in termini, è un approccio ipocrita e impostore.


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En réponse au pacifisme officiel qui fait se muer les anges gardiens de la paix en ministres de la guerre; en réponse à la plus vieille des formules impérialistes : «  Si vous voulez la paix, préparez la guerre » ; en réponse encore à l’hypocrite mot d’ordre de guerre à la guerre, nous disons : « Si vous voulez la paix, préparez la guerre civile ».



Ibid.
I surrealisti non smettono di esprimere la propria opinione né di cercare una modalità d’azione sul contesto storico-sociale al quale appartengono.

L’internazionalizzazione del gruppo li spinge a non limitarsi agli avvenimenti che hanno luogo in Francia, ma a osservare l’evoluzione dei fatti in diversi angoli del mondo e a denunciarne le cause e le conseguenze.

L’evoluzione storica è certamente ricca di spunti di riflessione e il carattere antibellico del movimento trova un terreno fertile su cui lavorare e verso il quale esprimere la propria contrarietà.

I surrealisti condannano per esempio lesa bus accomplis par Stalin in Unione Sovietica i quali hanno come scopo l’eliminazione dei bolscevichi promotori della rivoluzione d’ottobre del 1917. I metodi applicati hanno condotto alla morte quasi un migliaio di persone e all’arresto di circa il doppio di ex-collaboratori di Stalin. L’accusato principale, Trotskij, personaggio politico stimato e apprezzato da Breton e compagni, riesce a fuggire e a riparare in Messico dove però è trovato e ucciso da un agente sovietico nel 1940. Varie dichiarazioni condannano, in 1936 e 1937, il « procès de Moscou » : « En notre simple qualité d’intellectuels, nous déclarons que nous tenons le verdict de Moscou et son exécution pour abominables et inexpiables… » (ibid.).


Nel luglio del 1931 Louis Aragon pubblica un testo poetico nel quale inveisce contro Léon Blum, contro altri politici francesi. A causa di questo testo egli è accusato di incitamento all’assassinio e rischia una pena di cinque anni di prigione. I surrealisti, con alla testa Breton, prendono immediatamente la difesa del loro compagno e scrivono su un volantino:
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Surréalistes, nous nous déclarons solidaires de la totalité du poème « Front Rouge » puisque aussi bien, aux termes mêmes de l'inculpation, c'est la totalité de ce poème qui est à retenir. Nous saisissons cette occasion de dénoncer - et nous voudrions pour cela emprunter les mots magnifiques de « Front Rouge » - la pourriture capitaliste et spécialement celle du capitalisme français impérialiste et colonisateur et d'appeler de toutes nos forces à la préparation de la Révolution prolétarienne sous la conduite du Parti Communiste

Tract, L’Affaire Aragon, 1932
È però una situazione non priva di ambiguità : mentre Breton e la maggior parte dei surrealisti sembrano volersi allontanare da una posizione politica, la visione di Aragon è sempre più intrecciata con l’ideologia sovietica.

È l’inizio di un deciso allontanamento dalla politica:


Nel 1935, infine, per difendere l’autonomia del movimento e la possibilità di libera e completa espressione, i surrealisti abbandonano il PCF : la loro scrittura sarà rivoluzionaria per la forma più che per il contenuto. Invece di sostenere la propaganda rivoluzionaria, cercheranno forme poetiche di contestazione (ibid.).
Contrariamente ai compagni, Louis Aragon sceglie di continuare a prendere attivamente parte al lavoro pratico nelle organizzazioni del partito e di mettere la sua opera a disposizione dell’ideologia comunista. Tale posizione determina una netta rottura con il movimento surrealista e rompe un sodalizio che si era protratto nel tempo per più di quindici anni.

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