Nouveaux Bleus


Part des licences obtenues en trois ans après une première inscription en L1 (1



Yüklə 5,05 Mb.
səhifə12/96
tarix02.01.2022
ölçüsü5,05 Mb.
#21492
1   ...   8   9   10   11   12   13   14   15   ...   96

Part des licences obtenues en trois ans après une première inscription en L1 (1ère année de licence ou d’IUT) dans le total des licenciés

%

37,9

37,7

38,7

38,3

37,8

36,4

33,8

33,3

33,5

Part des inscrits en L1 accédant en L2 l’année suivante

%

nd

nd

47,7

46,6

43.2

44,3

42,3

43,1

Disponible
au PAP 2015






INDICATEUR 2.4 : Réussite en M







(du point de vue du citoyen)



Unité

2011
Réalisation

2012
Réalisation

2013
Prévision
PAP 2013

2013
Prévision actualisée
PAP 2014

2013
Réalisation

2015
Cible
PAP 2013

Taux de réussite en M2

%

79,0

80,2

78

79,39

nd

80



Commentaires techniques

Source des données :

Données administratives recueillies via le Système d'information sur le suivi de l'étudiant (SISE) - MESR / DGESIP-DGRI / SIES



Mode de calcul :

Cet indicateur rapporte le nombre d’étudiants ayant obtenu leur diplôme dans le courant de l’année n au nombre d’étudiants inscrits pour la première fois en M2 (année n-1).



L’année 2012 concerne les étudiants diplômés au titre de l’année 2011-2012. Les valeurs de réalisation sont disponibles en novembre de l’année n+1 pour la session de l’année n et pour analyse au RAP n+1.

Historique des valeurs de l’indicateur :




unité de mesure

réalisé

réalisé

réalisé

réalisé

réalisé

réalisé

réalisé

réalisé







2005

2006

2007

2008

2009

2010

2011

2012

Taux de réussite en M2

%

76,3

75,8

77,0

77,2

76,5

77,8

79,0

80,2



INDICATEUR 2.5 : Réussite en D







(du point de vue du citoyen)



Unité

2011
Réalisation

2012
Réalisation

2013
Prévision
PAP 2013

2013
Prévision actualisée
PAP 2014

2013
Réalisation

2015
Cible
PAP 2013

Part des doctorats obtenus en moins de 40 mois

%

37,2

39,6

39

40,9

nd

42

Part des doctorats obtenus en moins de 52 mois

%

70,0

72,3

72

75,9

nd

75

Part des doctorats obtenus en moins de 72 mois

%

87,9

89

88

ns

nd

90



Commentaires techniques

Source des données :

Remontée de données à partir des écoles doctorales accréditées (285 pour 2012) – MESR / DGESIP-DGRI / SIES



Mode de calcul :

Les données sont issues d’une enquête sur les écoles doctorales. Celles-ci répartissent les docteurs ayant soutenu l’année n dans 4 modalités décrivant la durée de réalisation de la thèse (moins de 40 mois, 40 à moins de 52 mois, de 52 à moins de 72 mois, plus de 72 mois). À partir de l’enquête 2013, cette répartition est obtenue par durée de réalisation de la thèse et domaine scientifique de la thèse.

Au PAP 2013, un 3e sous-indicateur « part des doctorats obtenus en moins de 72 mois » avait été introduit, mais il a été supprimé au PAP 2014 car il n’avait qu’une faible valeur informative. Le palier des 72 mois (6 ans) est toutefois retracé ci-dessous pour information dans le tableau historique des valeurs.

Les pourcentages indiqués reprennent en cumul chacun des paliers.



Les valeurs de réalisation sont disponibles en juillet de l'année n+1 pour les docteurs de l’année civile n.

Limites et biais connus

La mesure propose une vision partielle de la réussite en D puisqu’elle ne porte que sur les thèses soutenues et donc sur les doctorants ayant abouti sur le parcours en D. L’indicateur ne permet pas de statuer sur la réussite globale de l’ensemble des inscrits en D puisque ne sont pas comptabilisés les doctorants n’ayant pas soutenu pour diverses raisons, qui ne sont d’ailleurs pas toujours significatives d’un échec dans le parcours de formation et relèvent souvent d’une insertion professionnelle anticipée.



Commentaires :

En 2012, près de 40 % des nouveaux docteurs ont soutenu leur thèse en moins de 40 mois, soit à peu près la durée prévue par les textes. Pour près d’un tiers, une année supplémentaire a été nécessaire. 11 % des doctorats délivrés ont nécessité plus de 6 années de préparation.



Entre 2008 et 2010, les durées paraissaient assez stables. Depuis 2010, une tendance à la réduction de la durée semble s’amorcer, résultant à la fois d’une diminution de la part des thèses les plus longues et d’une augmentation des thèses les plus courtes.

Historique des valeurs de l’indicateur :




Soutenances 2008

Soutenances 2009

Soutenances 2010

Soutenances 2011

Soutenances 2012




nbre

%

en cumulé

nbre

%

en cumulé

nbre

%

en cumulé

nbre

%

en cumulé

nbre

%

en cumulé

Moins de 40 mois

4 403

34,4

34,4 %

4 724

35,1

35,1 %

4 857

35,3

35,3 %

5 282

37,2

37,20%

5 864

39,63

39,63 %

De 40 mois à moins de 52 mois

4 211

32,9

67,3 %

4 734

35,1

70,2 %

4 590

33,4

68,7 %

4 663

32,8

70,00%

4 829

32,64

72,27 %

De 52 mois à 72 mois (6 ans)

2 445

19,1

86,4 %

2 511

18,6

88,8 %

2 684

19,5

88,2 %

2 542

17,9

87,90%

2 478

16,75

89,02 %

Plus de 72 mois (+6 ans)

1 741

13,6

100 %

1 503

11,2

100 %

1 627

11,8

100 %

1 720

12,1

100%

1 625

10,98

100 %

Total

12800

100 %




13472

100 %




13758

100 %




14207

100 %




14796

100%




ANALYSE DES RÉSULTATS

L’amélioration des taux de réussite dans les différentes filières et aux différents niveaux de l’enseignement supérieur doit s’intensifier. De nombreux dispositifs sont mis en place ou expérimentés, que ce soit à l’université pour favoriser la réussite étudiante en licence (parcours adaptés, accompagnement personnalisé, tutorat…) ou en sections de techniciens supérieurs (modularisation des enseignements, dispositifs d’accompagnement…). Plus globalement, la politique amorcée de décloisonnement et de passerelles entre les filières post-baccalauréat doit être amplifiée, et le sera dans le cadre des différents textes d’application de la loi relative à l’enseignement supérieur et la recherche de juillet 2013, qui entreront en application à partir de la rentrée 2014.

La part des jeunes sortant de l’enseignement supérieur sans diplôme post-bac (indicateur 2.1) reste stable, dans le cadre, il est vrai, de flux croissants de primo-étudiants et dans un contexte particulier pour l’année 2012 qui a vu une forte augmentation du nombre de bacheliers professionnels entrant dans l’enseignement supérieur. C’est dans le cadre d’une démarche volontariste sur la base d’un diagnostic des raisons de l’échec relatif du plan réussite en licence, que le renforcement des dispositifs d’orientations doit être soutenu. Puisque les chances de réussite dans les différentes filières de l’enseignement supérieur sont variables en fonction du parcours antérieur de l’étudiant, les lycéens doivent pouvoir prendre conseil et anticiper leurs choix en fonction de leurs goûts et de leurs aptitudes. Ainsi, le dispositif d’orientation active, déjà mis en place en terminale, est désormais étendu à la classe de première depuis la rentrée 2011. Par ailleurs un traitement particulier doit être réservé, en sections de techniciens supérieurs, à l’accueil des bacheliers professionnels et au sein des instituts universitaires de technologie pour les bacheliers technologiques. Des instructions spécifiques à cet effet sur la mobilisation des places vacantes ont été données aux recteurs à la rentrée 2012 et ont fait l’objet de modification en ce sens de l’article L. 612-3 du code de l’Education par la loi relative à l’enseignement supérieur et la recherche en juillet 2013.

Élément essentiel pour l’atteinte de l’objectif de 50 % d’une classe d’âge diplômée de l’enseignement supérieur, la réussite en DUT et BTS (indicateur 2.2) au premier niveau de diplômation du supérieur (bac+2) poursuit sa croissance légèrement entre 2012 et 2013. La réussite en BTS après une croissance régulière depuis plusieurs années se stabilise tant en taux général que pour chacune des filières de baccalauréat d’origine, au niveau des cibles fixées pour 2013. Cependant les efforts engagés pour mieux préparer en première ou en terminale les futurs bacheliers professionnels qui souhaitent poursuivre en enseignement supérieur et les accueillir de façon adaptée dans les STS doivent être poursuivis pour favoriser une plus grande réussite de ces bacheliers professionnels dans ces parcours. Pour ce qui concerne les DUT, les taux de réussite doivent encore progresser notamment pour ce qui concerne les bacheliers technologiques et les bacheliers professionnels. Pour l’ensemble de ces filières courtes, la rénovation des programmes pédagogiques nationaux, qui est entrée en vigueur à la rentrée 2013, a pour ambition de se situer dans le prolongement de la réforme du lycée et d’adapter les enseignements aux nouvelles compétences des bacheliers, notamment ceux issus des séries technologiques rénovées. Elle permet aussi une meilleure adaptation des formations à l’accueil de public diversifié, ayant des compétences initiales différentes en fonction de filières du baccalauréat d’origine.

Concernant la réussite en licence (indicateur 2.3), la part des licences obtenues en trois ans après une première inscription en L1 dans le total des licenciés a amorcé une baisse en 2007 qui s’est poursuivie depuis. Le taux de passage de première en deuxième année de licence pour 2012 reste faible et éloigné de l'objectif fixé pour 2015. L'évolution sociologique de la population des primo-entrants à l'université avec une arrivée significative de bacheliers professionnels non préparés pour ce type de cycle est une des raisons qui peut expliquer la faible valeur de ces indicateurs. Le constat justifie donc le renforcement de la politique d’orientation active ainsi que la mise en place de moyens spécifiques et d’emplois créés dans les universités à partir de 2013 en faveur de l'amélioration de l’encadrement pédagogique, du suivi plus personnalisé des étudiants, de la mise en œuvre des dispositifs de soutien au bénéfice des étudiants en difficulté ou en situation de décrochage et des préparations aux réorientations dans des filières mieux adaptées. Les conventions liant les lycées accueillant des sections de l’enseignement supérieur et les universités, introduites par l’article L. 612-3, doivent contribuer à la constitution de passerelles entre les différents parcours de formation disponible dans une même académie.

Par ailleurs, la réussite au niveau M (indicateur 2.4) poursuit son évolution positive : après une progression globalement croissante depuis de nombreuses années, le taux dépasse dès 2012 l'objectif initialement fixé pour 2015. Il atteint ainsi la plus forte valeur atteinte par cet indicateur. Ceci traduit le fait que le master s’est imposé comme le diplôme de référence du deuxième cycle de l’enseignement supérieur, en cohérence avec l’architecture européenne des diplômes. C’est à rapprocher du taux d’insertion professionnelle des titulaires du master qui, 30 mois après l’obtention du diplôme, atteint 91,4 % toutes filières confondues.



S’agissant, enfin, de la réussite en D (indicateur 2.5) l’objectif de réduction de la durée moyenne de soutenance d’une thèse, lié notamment à l’harmonisation de l’enseignement supérieur en Europe, doit prendre en compte la diversité de situations matérielles et/ou scientifiques dans laquelle les doctorants préparent leur thèse : travail salarié ou non, charge d’enseignement ou non, spécificité de la recherche inhérente à la discipline. On observe une certaine stabilité des 2 valeurs de l’indicateur, même si sa nouveauté ne permet pas de tirer à ce stade des conclusions définitives. Il faut souligner la croissance régulière (+15 % de 2008 à 2012) du nombre de diplômés au plus haut niveau de l’enseignement supérieur, en cohérence avec l’élévation globale des compétences de la société et les besoins de qualification supérieure favorable à l’innovation et au développement économique.


OBJECTIF n° 3 : Produire des connaissances scientifiques au meilleur niveau international









INDICATEUR 3.1 : Production scientifique des opérateurs du programme







(du point de vue du citoyen)

indicateur de la mission 



Unité

2011
Réalisation

2012
Réalisation

2013
Prévision
PAP 2013

2013
Prévision actualisée
PAP 2014

2013
Réalisation

2015
Cible
PAP 2013

Part des publications de référence internationale des opérateurs du programme dans la production scientifique de l’Union européenne

%

8,75

8,73

8,64

8,76

8,72p

>= 8,5

Part des publications de référence internationale des opérateurs du programme dans la production scientifique du monde

%

2,72

2,60

2,66

2,68

2,59p

>= 2,5

Part des publications de référence internationale des opérateurs du programme dans la production scientifique de l’espace France-Allemagne-Grande-Bretagne

%

19,0

19,1

19,25

19,57

19,2p

>= 19,5




Yüklə 5,05 Mb.

Dostları ilə paylaş:
1   ...   8   9   10   11   12   13   14   15   ...   96




Verilənlər bazası müəlliflik hüququ ilə müdafiə olunur ©muhaz.org 2024
rəhbərliyinə müraciət

gir | qeydiyyatdan keç
    Ana səhifə


yükləyin